Automobiliste, son absence de gilet jaune lui coûte 487 euros.
Amélie, 23 ans, est en colère. Elle ne sait pas comment se sortir de cette situation incroyable.
Tout commence la nuit du 25 janvier 2014. Vers 0h15, des policiers lui donnent l’ordre de stopper son véhicule rue Charles-de-Foucauld, près du cinéma Gaumont à Amiens. Elle s’exécute. « Ils m’ont demandé mon permis de conduire, vérifié mon assurance, etc. », explique l’étudiante en droit. Puis, « ils m’ont demandé si j’avais mon gilet jaune. Je regarde dans la boîte à gant, partout, je ne trouve pas. Un des deux policiers me dit qu’il est peut-être dans le coffre. Je sors, et on vérifie, l’un d’eux éclairant le coffre avec sa torche ». Pas de trace de gilet jaune.
Oui un gilet….et bientôt un casque et pourquoi pas des soulier de sécurité…et une lampe clignotante la nuit…et dire qu’on trouvera toujours des abrutis pour justifier ça
Non Vautrin, ce n’est pas un abus de pouvoir, car l’obligation de porter un gillet de sécurité dure déjà depuis quelques années partout en Europe ( sauf en Suisse) moi même j’ai 4 dans la voiture, car personne ne peut sortir de la voiture en cas de panne en absence du dit Gillet .
Avant de partir en voiture dans Union, ce sera bien qui on prends quelques informations.
C’est le récit d’une situation ubuesque comme l’administration française en a le secret. L’abus de pouvoir, favorisé par une palanquée de règlement tous plus fous et contradictoires les uns que les autres, et le caractère borné de certains fonctionnaires, voilà qui fait le fonds de commerce de l’État.
De fait, l’imbécile gilet ne règle rien et ne met pas en sécurité les gens qui s’en revêtent; mais je soupçonne que le rendre obligatoire était une opération juteuse pour les amis de Sarkozy (c’est sous son administration que la “loi” a été décidée). Il y a une belle continuité de nuisance dans la succession des gouvernements.