On rappelle que Patrick Aebischer était inquiet du résultat du 9 février, ce qui ne le prive pas de penser à limiter aujourd'hui le nombre d'étrangers à l'EPFL. Comment se fait-il qu'il n'ait pas la même compréhension pour ses compatriotes?
Si le nombre d'étudiants continue de croître, «un numerus clausus pour les étudiants étrangers est probablement inévitable», selon Patrick Aebischer, président de l'EPFL, cité ce dimanche 19 octobre par la Schweiz am Sonntag, et dont les propos ont été confirmés par Madeleine von Holzen, porte-parole de la haute école.
Source
@ Myrisa Jones, oui et le peuple n’a qu’à payer.
Comme quoi l’élite, dont M. Aebicher est un digne représentant, est contre l’immigration de “masse” seulement quand cela touche son pré carré! Bref une Suisse à deux vitesses…
Quant à la population, qui a si mal voté le 9 février parce qu’elle est stupide, elle n’a qu’à se taire et subir!
Mais finalement, c’est tout comme moi, un sale raciste qui ai voté oui le 9 février. M Aebicher devrait se rendre compte que son numerus clausus pour étrangers est discriminatoire et incompatible avec la komandantur de Bruxelles.
Il faut savoir que l’accès aux études au-delà du bachelor se font sous dossier. Dans les branches d’étude les plus recherchées des étudiants suisses sont refoulés, car des dossiers plus intéressant viennent de l’étranger.
Il faut savoir que nos impôts contribuent à hauteur de 2’149 millions au financement d’étudiants, soit 30% de l’effectif universitaire.
En revanche, une personne en emploi, qui désire compléter une formation à ce niveau d’étude va devoir débourser de 10’000,- à 40’000,- alors qu’elle contribue à financer les études des étrangers et que l’augmentation de ses compétences pourrait impacter directement dans l’économie locale.
L’investissement dans la formation doit servir à l’économie en Suisse et non à gonfler l’ego des directions d’universités qui peuvent se vanter de monter dans les classements du Financial Time.
Il faut évidemment garder une certaine proportion d’étudiant et de corps enseignant étranger, mais aujourd’hui nous sommes clairement dans l’excès opposé.
Ah..oui M.Aebischer..après votre cinéma de l’après 9 février…(tic..de l’oeil), la girouette tourne? (tac..tic de l’oeil) Juste un tasouin pour marquer le coup..quoi…et les étudiants bobos-gauchos ont emboité le pas…pauvres chéris (tic de l’oeil) Et que je te manifeste – Berne..Et que je te casse en hurlant aux fachos à Genève..Et que je te pleurniche (en rigolant) qu’on sera sans sou vaillant. Et que je te monte le tout en mayonnaise pour enfoncer le clou et stigmatiser à fond ces cons de Suisse.
Pour un autre spectacle non improvisé, veuillez passer à la caisse d’à côté. Et tic et tac!
Devant l’évidence, même P. Aebischer se réveil! Devient-il pour ça Blochérien? Une spéculation que nos médias vont certainement faire!
… Et d’aucun croyaient que, suite à la fameuse votation, l’EPFL n’aurait plus de succès auprès des étrangers : comme souvent, le babillage de certaines “élites” c’est tout et n’importe quoi dans tous les sens, pourvu qu’elles réussissent à culpabiliser le peuple !