Lord Christopher Monckton veut faire interdire certains passages du Coran
Cet ancien conseiller politique du Premier ministre Margareth Thatcher, aujourd’hui journaliste, a appelé dans une tribune du site d’information The World Net Daily à interdire certains passages du Coran. Il souhaite notamment rendre illégale leur lecture orale. Selon lui, «presque tous les actes de terrorisme perpétrés à travers le monde dans le dernier quart de siècle, ont été réalisés par les musulmans, au nom d’Allah». Il ajoute que toute personne qui lirait à haute voix en public ces passages serait passible de poursuite judiciaire, et d’une peine de prison.
Sans scrupule, Christopher Monckton se permet de laisser au bon vouloir d’hommes politiques l’interprétation et l’interdiction de passages du Coran. Il accuse également le Coran d’être responsable d’entreprises terroristes, et il omet aussi une bonne partie de l’histoire sur les auteurs de certains actes terroristes : extrême-droite, divers groupuscules et mouvances aux revendications identitaires, religieuses ou politiques, et même certains Etats à travers le monde.
Bravo à ce journaliste clairvoyant. Suivons son exemple.
Pour protéger les citoyens suisses, il y a bien longtemps que les fabricants de cigarettes doivent inscrire sur chaque paquet de cigarettes que les cigarettes sont dangereuses pour la santé. Il n’y a pas de différence avec les dangereuses écritures de l’islam. Elles ne sont pas bonnes pour la santé physique, mentale et spirituelle des Suisses et des résidents de Suisse. Nos gouvernants doivent ordonner d’enlever de tous les écrits de l’islam ou d’une autre « religion » tout vers, versets, commandement, affirmation qui, entre autres menaces, encouragent leurs fidèles à la haine, à tuer ceux qui ne croient pas comme eux, qui ont quitté leur religion et se sont convertis à une autre, qui sont athées, ou encore qui ont, soit-disant, déshonorés l’homme de la famille ou un quelconque musulman.
Il est grand temps, qu’un échantillon de citoyens suisses et de résidents portent plainte contre notre gouvernement (« class action » ou plainte groupée), voir lancent une initiative populaire pour que nos vies, nos lois, notre culture, nos valeurs et notre morale soient protégées. Notre confédération a été crée premièrement pour assurer la sécurité de ses citoyens. Il faut s’allier pour porter plainte et exiger que tout appel et encouragement à tuer, torturer, esclaviser, humilier et mentir, en particulier de terroriser les non-musulmans, soient enlevés de tous les écrits de l’islam importés, envoyés, vendus, enseignés dans les écoles coraniques et prêchés dans les mosquées en Suisse. Tant que cette mesure n’est pas mise en vigueur, l’islam ne peut aucunement être assimilé à une secte ou une ONG, l’islam ne peut avoir ni passe-droits, ni écoles privées islamiques remplaçant nos écoles publiques, ni réduction ou exemption d’impôt, ni subsides des contribuables, ni aumôniers en particulier dans les prisons et à l’armée, et doit être considéré comme une idéologie totalitaire et fasciste qui est une menace pour les citoyens, la sécurité nationale, notre constitution fédérale, nos constitutions cantonales et nos lois. Quelques angéliques crieront que c’est introduire une censure et manquer de tolérance, mais que font les pays musulmans chez eux? Le principe de réciprocité doit être strictement appliqué; ce qui est loin d’être le cas actuellement. Comment nos dirigeants acceptent-ils que l’islam, pour construire une mosquée en pays chrétiens, se fonde sur la liberté religieuse de ces mêmes pays, alors que justement l’islam n’accepte pas la liberté religieuse dans les pays musulmans?
Les musulmans doivent comprendre que notre droit humain à la vie, à la liberté et au bonheur est au dessus du droit de n’importe quelle religion ou idéologie, en particulier l’islam-idéologie qui veut nous prendre ce droit. Les musulmans ont besoin d’entendre un non ferme, afin que leur « religion » de l’islam cesse d’être la justification obscurantiste du VII ème siècle d’un statu quo politique, social et idéologique. Les musulmans doivent se poser la question de savoir si la charia est encore tolérable au XXI ème siècle, parce que l’islam ne parviendra jamais à la démocratie, ni au respect des droits de l’homme, de la femme et des minorités, aussi longtemps qu’il s’en tiendra à la charia et qu’il n’y aura pas de séparation entre la mosquée et l’État.
Sans scrupules ? Mais laisserait-on lire publiquement des passages de Mein Kampf (du moins chez nous) ? Le nombre de victimes du terrorisme islamique est mille fois plus important, en peu d’années, de celui des autres en un siècle. Et ces méfaits sont tous dictés par les sourates supposées données à Médine. Alors les scrupules, hein…. ! Il faudrait tout de même remettre les pieds sur terre !
Une interdiction légale (impensable dans le climat de dhimmitude européen) n’aurait qu’une portée restreinte; ce n’est pas ainsi que l’on couperait le radix omnium malorum, mais ce serait pourtant un premier pas.