Genève: Les collectes de vêtements volées : aussi par des Roumains et des Français

Jusqu'au racket: du jamais vu en Suisse. Les joies de la libre circulation...

Les vols dans les boîtes à fringues du canton sont légion depuis 2010. Dans un premier temps, la population Rom était pointée du doigt. Des citoyens les avaient en effet surpris en flagrant délit de vol. Des adultes tenaient des enfants par les pieds pour qu’ils puissent farfouiller et prendre des habits. Puis, d’autres malfrats ont eu l’idée de changer les serrures officielles de ces containers afin de servir en un temps record.

Des cadenas ont été apposés, mais rien n’y a fait. Des bennes ont même été sciées avec une disqueuse… Il y a aussi eu des citoyens qui se sont fait racketter devant les containers: les malfrats faisaient le guet et exigeaient, parfois sous la menace, que les habits leur soient remis. «Nous avons toute sorte de catégorie de pilleurs», poursuit Pascal Mundler. Et d’ajouter: «Dernièrement, ce sont des voleurs à bord de voitures immatriculées à Lyon qui ont été surpris en train de se servir dans les containers.»

Pour sa part, la police confirme avoir interpellé des pilleurs de boîtes à fringues: «Principalement des Roumains, détaille Silvain Guillaume-Gentil, porte-parole de la police. Mais nous avons aussi interpellé un Français qui était resté coincé dans un container à Lancy.»

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Un commentaire

  1. Posté par Vautrin le

    Est-ce un VRAI Français (se souche) qui s’est retrouvé ridiculement coincé dans le container à Lancy ? Cela se peut : il y a chez nous un tas d’imbéciles autochtones. Mais j’ai des doutes.
    Il y a peu (en octobre 2013, si je me souviens bien), un exercice de votre Armée, intitulé Dupleix-Barbara, rassemblait de l’infanterie et des blindées sur la frontière franco-suisse du Jura. Thème de l’exercice :
    «Suite à une longue crise économique, politique et sociétale, l’architecture politique et sécuritaire européenne s’effondre. Une majeure partie du continent fait face à une grande dépression, qui se caractérise par une montée des tensions internes et de la violence.» Alors la France est démembrée, et apparaît sur la frontière Est une entité, la Saônia (actuel Jura français), bien équipée militairement et disposant d’une paramilitaire « Brigade Libre de Dijon » bien décidée à « venir chercher l’argent que la Suisse a volé». Les brigades blindées suisses doivent repousser l’invasion. La presse franchouillarde s’en est gaussé. Et pourtant ! Ce n’est pas une éventualité à écarter. Il y a des gens de chez nous qui vont honnêtement travailler chez vous, où ils trouvent ordre, sécurité, organisation. Mais il y a aussi des adeptes du pillage et du désordre. Selon les statistiques, ils ne sont pas autochtones. Et ceux-là peuvent bien se trouver coincés dans des containers, lorsque leur industrie crapuleuse se trouve contrariée.
    Prions pour que la Suisse tienne bon !

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