Le nombre de grossesses non désirées chez les demandeuses d'asile préoccupe une gynécologue zurichoise. Une politicienne pense déposer une motion.
«En Suisse, beaucoup de migrantes ne peuvent pas se permettre de se payer la pilule. Du coup, nombre de bébés non désirés naissent. Et dans certains pays, le préservatif n'est pas une option, pour des raisons culturelles», s'émeut une gynécologue zurichoise.
Eh bien si pour ces raisons culturelles elles se font refiler le sida par leur conjoint, j’espère qu’elles auront le courage de porter plainte. Très bonne initiative, la pillule au moins, elles peuvent la prendre en douce.