Politique de voisinage : “Comment la Russie a divisé l’Europe de l’est”

post_thumb_default

Extrait de: Presseurop

 

La crise en Ukraine et la tendance de la Russie à utiliser le gaz naturel comme arme politique ont créé un écart sans précédent entre les anciens pays communistes, note România liberă : “Si les pays en première ligne — la Pologne, la Roumanie et les pays Baltes — ont eu des attitudes fermes vis-à-vis de l'annexion de la Crimée et de l’offensive de Gazprom, dans d'autres pays, comme la Hongrie”, les choses sont différentes. “Le Premier ministre Viktor Orbán a changé à 180 degrés, devenant, d’un adversaire des agissements de la Russie, un partisan ‘pragmatique’ de Moscou. D’autres encore, comme la République tchèque, ont choisi une position ambivalente pour contenter Bruxelles autant que Moscou et d’autres enfin, comme la Bulgarie, sont devenues des supporters enthousiastes de la Russie de Vladimir Poutine.

La division de l’Europe de l’est qualifiée de “surprenante” par le quotidien bucarestois, étant donnée que

l’expérience communiste et la domination soviétique du passé aurait dû constitue la base pour une position commune envers l’agression russe en Ukraine et la manière par laquelle la Russie utilise l’arme énergétique contre l’Europe.

 

Source et auteur: Presseurop

 
 

Avertissement: Cet article est issu d'une reprise informatique. Il peut arriver que certains contenus proviennent d'agence de pays "non alignés", voire de sites aux opinions clairement orientées. Ces contenus et ces opinions n'en sont pas moins relevants pour la compréhension du monde et de ce qui fait l'information, c'est pourquoi nous les maintenons. Nous nous en remettons au discernement et à la bonne intelligence de nos lecteurs pour faire le tri et distinguer les sources. Ne manquez pas de nous signaler tout abus ici, merci d'avance.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.