Dans le Nouvelliste d’hier.
"La Suisse doit reprendre le contrôle de sa politique migratoire, sous peine de craquer sous toutes les coutures.
[...] Sur le terrain, des sections cantonales de l'Union suisse des arts et métiers et de l'Union suisse des paysans se sont prononcées en faveur de notre initiative. Il me paraît donc erroné de dire que toute l'économie est contre notre initiative. En outre, ces grands patrons ont une perception à court terme. Pour eux, il est avantageux de pouvoir choisir sa main-d'oeuvre dans un marché de 500 millions de personnes. Mais s'il y a un côté bénéfique à la libre circulation des travailleurs, l'UDC dénonce le revers de la médaille: un taux de chômage des jeunes élevé (plus de 10% selon le Bureau international du travail), 270 000 frontaliers, de plus en plus d'entreprises étrangères qui viennent travailler chez nous, dont un quart recourt au travail au noir.
[...] - Etes-vous pour une préférence nationale sur le marché du travail?
Pour une préférence de la population résidente, Suisse ou étrangère, oui, clairement."
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