Après le Mali, la Centrafrique. Combien de soldats européens aux côtés des Français pour lutter contre la barbarie et sauver des milliers de vies ? Aucun.
Malgré un gouvernement au dessous de tout, produisant des décrets par-dessus la tête du peuple d’une incroyable stupidité sur le mariage des homosexuels ou la chasse aux clients des prostituées, promouvant la chasse aux riches, la France est encore ce grand pays capable d’envoyer des troupes en Afrique pour empêcher le pire, malgré les critiques des sempiternels idiots du tiers-mondisme en phase terminale. Dans cet infâme marigot de la presse internationale et ses grandes célébrations des icônes de l’anti-occidentalisme – la Mandelamania en cours -, il serait important de le souligner. Pas beaucoup de Sud-Africains pour sauver le continent....
Mais où est l’Europe ? Et que fait-elle, à part produire des normes hyper-pointues sur la taille du poulet moyen ou le taux d’hydrogénosulfure de couillonum admissible dans le camembert, pendant que meurent les chrétiens en Syrie, au Liban, en Egypte, et en Centrafrique ? Rien. Et ça aussi, il est bon de le souligner et de le resouligner. Rien de rien. Ce continent de sociaux démocrates dominés par les femmes ne s’intéressent qu’aux fonctionnaires et à l’égalité des salaires entre hommes et femmes. Et à quoi d’autre vous attendiez-vous ?
Alors disons-le carrément : merci aux Français pour ce que vous faites au Mali et en Centrafrique. Et la honte soit de l’Europe !
Très bon article et la situation décrite est on ne peut plus juste.Cependant il est dommage de deviner au travers des intentions forts louables de Monsieur Hollande comme une espéce de fanion afin de redorer son blason.Comme si cette guerre à elle seule était sa dernière planche de salut pour sauver son honneur .Tandis qu’à l’arrière des ministres essayent de sauver les meubles suite à certaines décisions prises par leur Président *pyromane ” qui fait penser à un enfant jouant avec les allumettes aimant voir le feu prendre quitte ensuite à trouver une porte de sortie en laissant tout le monde se débrouiller mais surtout sans lui.