Un détenu genevois condamné à 10 ans de prison pour viol est en fuite depuis jeudi matin.
Les polices genevoises et vaudoises sont à la recherche d'un détenu de l'établissement pénitentiaire de La Pâquerette à Genève, qui a disparu jeudi matin. Cet homme, condamné à 10 ans de prison pour viol, est en fuite avec une éducatrice.
Une Commission d'enquête à d'ores et déjà déclaré que l'administration ne serait pas reconnue responsable en cas de Commission d'enquête.
On a bien raison de chanter “Dans les prisons de Nantes, y avait un prisonnier”
Pour régler cette mésaventure, la magistrature genevoise pourrait mandater un procureur alémanique à la retraite (soleurois, thurgovien ou glaronais, peu importe) pour qu’il rende un rapport disant en résumé que “c’est la faute à pas de chance” et qu’il émette entre 17 et 19 recommandations pour qu’un tel cas évite de se reproduire à l’avenir, sans toutefois reprocher une quelconque faute aux intervenants, qu’ils soient juge d’application des peines, psychiatre ou agent de probation. Tout rentrerait alors dans l’ordre… jusqu’au prochain ratage de notre système judiciaire qui se donne pourtant tellement de mal à s’exciper de toute responsabilité.
Combien de meurtres faudra-t-il encore avant que l’on renonce à faire sortir, sans précaution, ce genre de prédateurs ? Quand commencera-t-on à sanctionner ceux qui laissent sortir ce genre de criminels ? Jusqu’à quand la justice protègera ses représentants, même s’ils commettent des erreurs ?
“Mais non” nous disent les gôchistes : “Il n’y a pas d’insécurité. Ce n’est qu’une sensation” !