Le Palais Royal de Norvège, situé au coeur d’Oslo, est entouré d’un petit parc agréable appelé Slottsparken. Il abrite des pelouses, des parterres de fleurs, et un ruisseau bruissant enjambé par une passerelle. Derrière le palais se trouve un petit cabanon où les gardes du palais passent leurs heures de relève à faire la sieste et à regarder la télévision.
Une caractéristique moins charmante du parc est qu’il a aussi été le cadre de plusieurs viols – pas moins de cinq – rien qu’entre juin et octobre de 2011. Les choses allaient si mal que l’Hôtel Radisson – qui est juste en face du parc, à une minute à pied du palais – s’est mis à fournir à ses clients un système d’alarme en cas de viol à porter pour sortir en promenade.
Il y a deux ans, le nombre de viols dans la capitale norvégienne avait éclipsé ceux de Stockholm et Copenhague, lui valant le titre de capitale du viol de la Scandinavie. Depuis lors, cependant, les incidences de viols en Suède ont grimpé de manière exponentielle. Daniel Greenfield a rapporté en Janvier dernier, que la Suède « est maintenant au deuxième rang des viols dans le monde, après l’Afrique du Sud, qui, à 53,2 pour 100.000 a un taux six fois supérieur à celui des États-Unis. Les probabilités indiquent maintenant que sur 4 femmes suédoises il y en a une qui a 100% de ‘chance’ d’être violée.
Au cours des sept dernières années, le nombre de viols en Suède a presque triplé.
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“Les probabilités indiquent maintenant que sur 4 femmes suédoises il y en a une qui a 100% de ‘chance’ d’être violée.”
Le mot “risque” est le contraire de chance dans ce contexte.. plutôt que de mettre un mot entre guillemet 😉
Vous pouvez supprimer mon commentaire, c’était juste pour corriger la formulation maladroite.
Tout-à-fait David, mais que voulez-vous? Nos élites refusent d’analyser les statistiques, elles préfèrent mettre ces travers sur le compte de la paupérisation, du racisme ambiant et de la non-intégration de ces personnes, non-intégration dont nous sommes coupables car nous ne mettons pas les moyens pour les aider ces braves gens à s’intégrer.
Dans le genre vous avez les criminologues suivant:
– Olivier Guéniat, celui qui nous affirmait encore il y a peu, que la criminalité en Suisse n’augmentait pas.
– Martin Killias qui pense que ce sont les armes de service qui tuent le plus.
– André Kuhn qui met également en cause le niveau socio-économique des délinquants.
Les gens ont la société qu’ils méritent. Ces violeurs sont des salopards qui devraient être traités très durement et renvoyés dans leur pays. Nous devons protéger nos peuples de ces individus néfastes.