Richard Wolff, le chef de la police zurichoise, peut être amené à virer les personnes qui squattent des immeubles inoccupés. Le hic, c’est que ses propres enfants seraient des squatteurs.
Selon le quotidien «Tages-Anzeiger», les trois fils du nouveau chef de la police zurichoise, Richard Wolff, sont des squatteurs. Ils auraient, entre autres, occupé le centre autogéré de la Binz qui a été vidé dernièrement.
Une partie des occupants de cet endroit alternatif vivraient actuellement dans les anciens locaux UBS à Zurich-Altstetten. La banque prévoit de transformer ces derniers en habitations en 2016. D'ici là, les squatteurs pourront y rester.
Mais, dans le cas où un avis d'expulsion serait prononcé à l'encontre des occupants, et du moment que les fils de Richard Wolff s'y trouveraient encore à ce moment-là, le chef de la police serait amené à se récuser.
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Yaka oui vous avez raison. Cette maffia rouge, black block et co est très bien protégée. La tête des voyous n’apparait jamais dans les medias gauchistes tamedia/ringier, ni le nom de ces anarchos, gauchos, bobos. Des Avocats ripoux les coachent. Cette maffia coûte des millions aux citoyens. Depuis des années pas une tête, pas un nom n’est apparut dans la presse. Depuis des dizaines d’années
personne ne paye les dégâts causé par cette pègre. Seul la tête des criminels des blacks block Andrea
Stauffer est connue. Un journaliste de tele zurich a été attaqué par un criminel portant une cagoule et armé, il a détruit son matériel. La police n’a rien fait, ne fait rien. Pas un mot dans la presse écrite!
La Kommandantur de gauche, qui gère le 20 minutes romand, s’est dépêchée d’escamoter cet article dont la version papier du 19 juillet précise beaucoup plus. Une méprise ? les censeurs en vacances ? Toujours est-il, qu’il est précisé que le rassemblement en faveur des occupants du centre autogéré Binz (occupé par la marmaille du chef de la police) avaient dégénéré en mars et coûté plus de 1 million de francs de dégâts.
Les méthodes des journaux du groupe Tamedia par leur choix puent les mises en scènes, les occultations d’informations à des fin idéologiques. Et comme le 20 minutes est gratuit, ce n’est pas pour protéger les vente de la version papier. Les citoyens sont donc conditionnés en permanence par ces propagandes insidieuses et des omissions calamiteuses qui masquent la réalité. Ceci laisse un espace d’arbitraire gigantesque qui permet sans outrances de qualifier cette presse de “presse Pravda”.
Ne nous étonnons pas que l'”Histoire” soit une pure caricature des réalités, lorsque les historiens puissent leurs sources dans les médias. Cette dualité de références médiatiques entre le papier et l’internet crée un risque juridique important pour toutes les personnes qui pourraient être attaquées dans la presse, puisque dans les journaux internet, l’habitude est prise d’effacer des contenus et/ou de les rendre inaccessibles dans les jours qui suivent leur parution, voir même de sérieusement édulcorer la réalité.
Je pense donc qu’une disposition légale devrait s’attacher à protégé l’ensemble des citoyens en exigeant que les contenus papier ou internet soient les mêmes.
Ces gesticulations médiatiques sont doublées de combines qui toutes vont dans le mêmes sens, à savoir empêcher toutes analyses de ce qui nous est imposé. Ainsi depuis environ 2 ans il est quasi impossible de copier des articles sans subir des scalps de mise en page, d’une parties des contenus, et même parfois les caractères rendent le texte et les titres illisibles. Et cette stratégie est soigneusement étudiée pour empêcher les explorateurs internet d’effectuer une copie fidèle.
La presse tricheuse est donc bien consciente qu’elle maltraite la vérité et elle s’obstine a empêcher une analyse par tous les moyens.
On comprend mieux pourquoi les scans des journaux mis à la disposition du public, s’arrêtent en 2001. Visiblement la crainte que des particuliers sortent un ancien journal papier qui ne corresponde pas à l’intégralité de ce qui a été choisi pour falsifier à loisir la vérité historique.