La Conseillère nationale socialiste vaudoise Ada Marra vient de déposer une initiative parlementaire pour demander la naturalisation sur simple demande des “étrangers de la troisième génération établis en Suisse”. Le bulletin officiel vient d’en publier le texte intégral.
"Conformément à l'article 160 alinéa 1 de la Constitution et à l'article 107 de la loi sur le Parlement, je dépose l'initiative parlementaire suivante, visant à ce que les étrangers de la troisième génération établis en Suisse obtiennent la nationalité sur demande des parents ou des personnes concernées.
Développement
La Suisse doit reconnaître ses enfants et cesser d'appeler "étrangers" ou "étrangères" les personnes qui ne le sont pas. Ainsi, les personnes nées en Suisse de parents qui, eux, sont nés en Suisses de parents ayant séjourné pour la plupart du temps plus de vingt ans en Suisse, ne sont plus des étrangers. Dans la plupart des cas, ces personnes n'ont plus que de vagues connaissances de la langue de leurs grands-parents. Et si elles devaient passer le test de la langue pour voir si elles sont intégrées dans le pays dont elles possèdent la nationalité, elles ne passeraient jamais l'examen. La troisième génération n'a pratiquement plus que des liens touristiques et symboliques avec le pays mythique des grands-parents. La réalité de ces personnes est bien ancrée en Suisse, quelle que soit cette réalité et le niveau socioéconomique de leur vie. Elles sont le produit de la réalité helvétique.
Leur nombre est encore inconnu puisque les statistiques indiquent le pourcentage des étrangers nés en Suisse (23 pour cent du total des étrangers) mais ne font pas de différenciation entre ceux de la deuxième et de la troisième génération. La Suisse est un pays d'immigration. Mais on ne peut plus parler d'immigrés quand nous en sommes à la troisième génération, dont certains de ses membres vont bientôt commencer à enfanter la quatrième génération."
Je rejoins en tous points la sentence de Montesquieu (allégorie du cheval et de la vache , de l’écurie et de l’étable) . Plus de 3 siècles avant nous il avait bien compris le phagocytage des peuples autochtones par les migrations incontrôlées .
Les sujets suisses sont libres de décider qui sera citoyen suisse et qui ne le sera pas. Les “Suisses de souche” perçoivent mal cette notion de droit du sol. Je pense que les politiques ne doivent pas bousculer la sensibilité de leurs concitoyens.C’est vrai que ce siècle, le 21ème, connaîtra un brassage des populations, énorme et aucun pays ne sera à l’abri. Dans quelques siècles, on pourrait vivre où l’on veut…Cela donne le tournis.
“..le droit du sol..” une sottise monumentale!
La terre que vous avez travaillée pendant des générations pourra aujourd’hui être à d’autres s’ils y campent sans rien faire assez longtemps!
Essayez le droit du sol en Chine ou en Nouvelle-Zélande! Vous n’en reviendrez pas…
La naturalisation réduite à un acte administratif, comme expédier une lettre, payer la note de gaz, changer de plaque minéralogique; Fada Amarra ne sait pas ce qu’elle demande, l’essentiel est de faire miroiter des promesses qu’elle n’aura jamais à tenir; c’est exactement la méthode de gouvernement de tout ce qui est socialiste depuis qu’ils existent. Le bon peuple n’a pas fini de s’étonner de leur sottise congénitale.
Voyez tous ces malheureux aux portes de l’Europe, embarqués sur les chaloupes de la mafia africaine ou bulgare, et qui demandent non seulement l’asile, mais aussi, grâce à Fada Amarra, tout le reste, qui dépasse les possibilités du territoire; l’Afrique continent le plus riche du monde adresse ses habitants à l’Europe qui n’a ni gaz, ni pétrole, ni or, ni platine, ni uranium et Fada Amarra force encore ce paradoxe en exigeant que tous ces gens soient naturalisés facilement; où les mettre après ? car connaissant la méthode du salami des socialistes on finira par réduire les conditions et l’on en viendra à naturaliser tout un chacun dès le poste frontière: non, merci Fada Amarra!
S’il y une votation à ce sujet, le peuple le refusera net. La nationalité suisse se mérite. Mais attention, combien de personnes l’ont obtenue et sont devenues criminelles par la suite? Plus question des les expulser. Cela donne à réfléchir. Faudra alors leur retirer la nationalité. Toutefois, je pense qu’à la troisième génération, ces personnes ont suffisamment démontré qu’elles sont bien intégrées.
Quel beau sujet de votation pour le peuple Suisse ! Quelle belle baffe pour Ada !
La troisième, puis après la deuxième…..et pourquoi discriminer la dernière catégorie, la première a quand même fait l’effort à venir jusqu’en suisse.
Moi je dis que si un jour l’économie suisse n’est plus aussi performante, faudra bien savoir qui doit retourner dans son pays avant de faire exploser notre système social.