Elle s’appelle Barbara Hewson. On dit d’elle que c’est un avocat brillant. Sur son curriculum vitae, on croise la Cour européenne des droits de l’homme… Pas le genre à accepter de plaider pour des affaires de voisinage ou de divorce.
Et de qualifier les abus sexuels de « délits de bas niveau »…
Elle s’appelle Barbara Hewson. On dit d’elle que c’est un avocat brillant. Sur son curriculum vitae, on croise la Cour européenne des droits de l’homme… Pas le genre à accepter de plaider pour des affaires de voisinage ou de divorce.
Mais dans une Angleterre encore choquée par l’affaire Jimmy Savile, star télé et accessoirement violeur de plus de 200 gosses, elle semble s’être découvert un nouvel intérêt : le plaidoyer pro-pédophilie.
En Angleterre, un pays aussi libertaire que le nôtre, où un père laisse sa jolie gamine de quinze étés dévoiler son string aux inconnus de la rue, où les distributeurs de préservatifs fleurissent dans les toilettes des collèges, la suggestion de l’avocat d’abaisser l’âge légal du consentement sexuel à treize ans semblait avoir sa place dans le tableau.
Mais où cela commence à sentir le soufre, c’est l’argumentaire qu’elle déploie : éviter « la persécution des vieillards ». Et de qualifier les abus sexuels de « délits de bas niveau ». Malin, l’avocat a compris que l’état d’esprit « évolue » et que le législatif va pouvoir lui aussi évoluer en douce.
Reste que, face au tollé provoqué, ses idées devront attendre encore un peu pour l’ultime « évolution » libertaire. Les violeurs devront se satisfaire de leurs habituels réseaux.
La libération du plaidoyer pédophile se fait de plus en plus à visage découvert. En France, dans l’émission Ce soir ou jamais, en mai 2011, maître Lévy – encore un avocat – protestait contre « cette chape de plomb, de boucles blondes, qui tombe et qui vient interdire tous les comportements un peu différents, un peu anormaux »… Les boucles blondes… Ici, on se rapproche plus de la culotte Petit Bateau que du string, plus de Cohn-Bendit que de Nabokov.
Peut-être devrions-nous couper la plante pédophile à la racine, avant même qu’elle ne sorte de terre… Une désexualisation des enfants et des ados dans les médias, les écoles et la rue pour commencer.
Décidément, les égouts de l’enfer débordent sur notre déjà vieux monde…
Article repris de Franck Vinrech, bdvoltaire 17 mai 2013
En Afghanistan, la pédérastie (au vrai sens étymologique παιδεραστία) serait encore en usage : typiquement un homme marié, plutôt aisé, accueille chez lui un préadolescent pauvre, l’utilise, et le relâche avec un cadeau quand il devient éphèbe. D’après un récent documentaire télévisuel, long et détaillé. Certains riches Européens font presque pareil (pas de noms, je ne veux pas d’histoires avec la justice), mais plutôt en allant les exploiter dans leur pays pauvre.
Pauvre tache !
Ce qui est d’autant plus inquiétant, c’est le lâchage généralisé de la tenue et de l’honneur (ou de ce qu’il en reste). Tous les pires cochons aux comportements les plus déviants se mettent soudain à les déclarer (presque) ouvertement. Cela a l’avantage de nous dévoiler lesquels sont de ce milieu dévoyé mais le désavantage pour la masse décérébrée des téléspectateurs de rendre banales ces pratiques honteuses et dégoûtantes. Ou l’art et la manière d’imposer des comportements exogènes à l’Europe chrétienne!
J’ai de la peine à penser que tous ces défenseurs de pédophiles (De Weck étant le dernier en date) n’ont rien à se reprocher concernant la question…
“Reste que, face au tollé provoqué, ses idées devront attendre encore un peu pour l’ultime « évolution » libertaire.”
…….
Patience, patience…
On est bien arrivé au “mariage pour tous”!..qui l’eût cru il y a peu encore ?!
A force de dire que les opposants sont des ringards et des fachos,ceux-ci devront se taire et il sera impossible d’ endiguer “les égouts de l’enfer”…