Le très respectable magazine économique américain “Forbes” appelle, dans ses colonnes, à bouter le feu aux maisons de ceux qui ne seraient pas en pleine adéquation avec la théorie du changement climatique.
Dans un article des plus enflammés, le chroniqueur Stephen Zwick, persuadé pour sa part que la science apporte chaque jour de nouvelles preuves de l'imminence d'une fin du monde, s'en prend avec vigueur à l'obstination des derniers hérétiques refusant de se convertir avant les affres de l'apocalypse.
Leur incroyance est cause de tous les maux, augmentation des coûts de la lutte contre le réchauffement, aggravation de la situation, etc. Pour Stephen Zwick, la solution semble toute trouvée: brûlons leur maison; ça leur apprendra!
Et l'écologiste de s'inspirer de l'exemple de pompiers du Tennessee, restés les bras croisés devant la maison en flammes d'un citoyen ayant omis de payer les 75$ de la taxe du feu, pour faire cette proposition: «Nous savons qui sont les négationnistes actifs, non pas ceux qui croient aux mensonges, ne vous déplaise, mais ceux qui les créent. Commençons par garder une trace de ces gens-là dès maintenant, et, quand les famines viendront, nous leur ferons payer. Laissons leur maison brûler jusqu'à ce que tous les innocents soient sauvés. Echangeons leurs terres pour des îles submergées. Forçons-les à assumer la hausse des coûts des denrées alimentaires. Ils ont cassé le climat, pourquoi serait-ce à nous de payer pour cela?».
Internet s'en donne depuis évidemment à coeur joie, et certains commentateurs ont même promis à Zwick de tirer à vue s'il lui prenait l'envie de s'aventurer sur leur pelouse une torche à la main. L'intéressé se confond depuis en dénégations, jurant ses grands dieux que l'analogie a dépassé sa pensée.
Reste cette dialectique qui interdit le doute et assimile la simple interrogation quant aux causes réelles du réchauffement climatique à de la responsabilité pure. Cette idéologie policière, qui veut recenser les opposants pour en obtenir vengeance au jour du grand soir climatique, rappelle par trop hélas ce à quoi se sont vus confronter les quelques malheureux à avoir transgressé le dogme du politiquement correct.
La mise à feu de maisons d'opposants a déjà connu au moins une occurrence dans notre pays. Ne reste plus qu'à prier le ciel que certains voudront bien s'interroger sur l'"impact carbone" d'une semblable initiative avant de tous nous envoyer au bûcher.
“La mise à feu de maisons d’opposants a déjà connu au moins une occurrence dans notre pays?” Allons-donc, bien plus! C’est trop d’honneur de ne penser qu’au seul écrivain Daniel de Roulet et à son dimanche à la montagne en 1975 pour y bouter le feu à la maison d’Alex Springer. En 1982, un inconnu en fit de même avec le chalet de Rudolf Rometsch, président de la société nucléaire CEDRA; alors qu’en 1979, c’était le garage de la maison de Michael Kohn, patron de Motor-Columbus, qui partit en fumée le jour d’une votation fédérale sur l’énergie nucléaire. Nos incendiaires ont même sévi à l’étranger. Faut-il rappeler l’exploit de deux fonctionnaires genevois, Chaïm Nissim et Olivier de Marcellus, qui tirèrent sept roquettes sur la centrale de Crey-Malville en 1982 à l’aide d’un lanceur RPG-7 d’origine russe acquis par l’entremise du terroriste international Carlos et de cellules communistes belges. Dans son numéro du 15 mai 2003, l’hebdomadaire d’extrême-gauche suisse-alémanique Wochenzeitung avait mentionné une quarantaine d’attaques par ceux qu’il appelait “Les saboteurs”, après une enquête auprès des milieux impliqués.
Le réchauffisme est une secte !
http://www.wikiberal.org/wiki/R%C3%A9chauffement_climatique
A consulter entre autre : The great global warming SWINDLE, et la manuel du sceptique du réchauffement climatique. Plus de 30000 scientifiques pensent que le CO2 n’est pas une cause….