Il ne faut pas s’y tromper, le but certain des nouveaux dirigeants du monde arabe, de ces belles figures romantiques du Printemps du même nom, c’est la vidange du chrétien au sud et à l’est de la Méditerranée dans les plus brefs délais. Dans 20, ans il y aura toujours des pandas, des loups et des ours polaires, mais y aura-t-il des chrétiens d’Orient ?
Sauve qui peut ! Il y a cinq ans, des centaines de milliers d'Irakiens chrétiens trouvaient refuge en Syrie. Aujourd'hui, les Syriens fuient vers le Liban. Et demain, Chypre, Malte, les côtes d'Italie ?
De tout le croissant méditerranéen, les chrétiens qui le peuvent encore prennent leurs jambes à leurs cous, privant tous ces pays d'une minorité en général très cultivée, éduquée et autrefois jugée utile.
La RTS, à mille lieues de ses habitudes, livre deux courts sujets, l'un sur la fuite des coptes d'Egypte, où l'on voit la démocratie constitutionnelle au service de la pire des dictatures islamistes en gestation et où l'on apprend que Mohamed Morsi a déclaré la guerre aux chrétiens, l'autre sur le Liban, où l'on voit des salafistes promettre mille morts à tous les mécréants qui leur résisteront.
Partout ces même jeunes premiers, la barbe et le sourcil fournis, l’œil torve et chargé de colère, kalachnikov en bandoulière, le front aussi bas que les cieux qui s'abattent sur ces perles de culture qui seront toutes détruites et perdues à jamais une fois qu'il sera trop tard. Comme ces fanatiques gagneraient à venir en Europe, où on leur apprendrait que l'islam est amour, paix, tolérance, ordre et beauté, luxe, calme et volupté.
Silence on tue
Pendant que les grandes puissances de l'Occident s'apprêtent à nous rejouer, comme si de rien n'était, l'air des armes de destruction massive sur la variante chimique - armes que la Syrie n'a probablement pas et qu'elle ne serait pas assez folle pour utiliser dans un pareil contexte - les chrétiens syriens tombent comme des mouches dans une indifférence devenue presque normale dans le climat d'anti-christianisme actuel.
Au nord de la Syrie, les djihadistes - repoussés de l'est par des Kurdes endurcis par des décennies de résistance et qui rêvent de leur autonomie sur le modèle de leurs cousins irakiens - se sont abattus sur la ville d'Alep. Les derniers quartiers libres sont encerclés. Les chrétiens qui n'ont pas su fuir plus tôt sont prisonniers. Pour les chrétiens arméniens - une importante communauté vivait là depuis le génocide - fuir par la Turquie n'est pas une option, ils n'y seraient pas en sécurité.
En Suisse, la question de savoir si le fait d'être chrétien et Syrien en pareille situation est un motif d'asile ne paraît pas définitivement tranchée, sans que la chose fasse d'ailleurs bondir notre belle gauche humaniste et référendaire. L'on goûte ici à toute l'hypocrisie d'un système, une vitrine, qui sauve les uns et condamne les autres.
Musulmans victimes eux aussi
Les sunnites aleppins ne sont pas en reste, qui se mordent aujourd'hui les doigts de leur soutien passé aux islamistes. De source privilégiée, les salafistes les menacent de brûler leur maison en cas de manque d'enthousiasme pour leur cause. Dans les quartiers sous leur contrôle, patrouille désormais une police religieuse montée sur le modèle saoudien. « Si l'on attrape une femme voilé au volant, on confisque la voiture. Si la femme n'est pas voilée, on confisque la femme et la voiture », font-ils dire à leurs nouveaux sujets. Les chrétiens qui veulent rester chrétiens doivent obéir en tout aux lois islamiques et payer un tribut, le tribut des dhimmi.
Sur le front, les premières cibles des djihadistes sont les boulangeries (âmes sensibles s'abstenir) et les réservoirs d'eau, pour créer une dépendance matérielle totale. Selon nos sources, le kilo de pain serait passé de 20 livres syriennes à plus de 200 et il faut faire la queue aux aurores, pendant des heures. Dans les quartiers sous contrôle de l'armée régulière, l'on a encore droit à trois-quarts d'heure d'électricité par jour, la semaine dernière c'était trois heures. Le froid est vif, on arrache les arbres des jardins publics. Plus loin, on apprend à des enfants à couper les têtes des prisonniers mécréants (âmes sensibles s'abstenir), pour « purifier » la ville... quand le temps sera venu. C'est dans ces conditions qu'il faudra passer Noël... Noël.
Une voix
Quand ils ont du courant, les Aleppins envoient de leurs nouvelles à leurs proches par e-mail, l'un d'entre eux, Firas, parle du temps où chrétiens et musulmans vivaient en harmonie, de cette paix qui vient au cœur des hommes de bonne volonté au souvenir de la naissance du Christ. Voici ce qu'il écrit (1):
« Mon ami m'a appelé hier. Mohammad était triste en raison de l'absence des manifestations de joie. La joie qu'il avait l'habitude de voir dans nos quartiers, chaque année au moment de Noël. Les arbres aux mille lumières.
Ami d'enfance et compagnon fidèle pendant les années passées à l'école grecque catholique d'Alep, cette joie a été partagée par lui et par d'autres amis musulmans. Le plaisir de partager un petit cadeau distribué par le Père Noël, pour nous, à l'école. Mohammad a aimé Noël, son symbole. Pour manifester son attachement à cette fête, en solidarité avec nous, les chrétiens, il a acheté l'arbre et l'a mis dans sa maison pour voir ses enfants heureux.
Mohammed n'est pas un cas rare dans notre société syrienne. Beaucoup de voisins ou collègues de travail partagent volontiers les fêtes chrétiennes.
Non, Mohammad n'est pas le seul à manifester sa tristesse, tous les Syriens sont aujourd'hui bien tristes, en deuil, sur ce qui se passe dans ce pays bien-aimé, qui a recueilli diverses communautés depuis des milliers d'années. Nous ne pensons plus à qui peut revenir la faute, ou qui est responsable de ce qui s'est passé, nous prions que la guerre et la destruction s’arrêtent.
Aujourd'hui, après presque 20 mois depuis le début des évènements en Syrie et deux ans après le commencement du printemps que l'on appelle arabe, il est devenu clair que la direction politique dans la région arabe est la direction du musulman (fanatique), pris en charge par le système mondial ou la soi-disant communauté internationale, qui tire parti des fugues des jeunes pour atteindre le gouvernement [syrien ndlr]. Comme il est devenu clair que l'appel à la démocratie en réclamant la liberté serait balayé et remplacé par une dictature religieuse musulmane en lieu et place d'une dictature qui a assuré la sécurité de la majorité des citoyens. Cette dictature religieuse est limitée, manipule la pensée et fait retourner, reculer, la société à des centaines d'années en arrière. »
Joyeux Noël et paix sur la terre.
(1) Traduit de l'arabe.
Lire le Coran? Lequel? Celui que l’on trouve habituellement dans son classement par ordre de taille des versets qui ne nous informe pas sur l’évolution idéologique du prophète et qui permet aux prosélytes de l’islam de mentir au sujet de la secte et de la présenter comme fréquentable ou celui, remis dans un ordre chronologique probable, du Docteur Sami Aldeeb Abou Salieh?
Lire le Coran n’est pas seulement fastidieux, c’est pratiquement aussi imbuvable que lire un code de lois. Et combien de nos hommes de lois, procureurs, juges, avocats, se sont attachés à faire ce travail?
Voici diverses versions du coran et explications :
http://coranix.org/biblio/coran.htm#poche
Quel pourrait être le regard d’un enfant sur des versets tels ceux présentés sous ce lien :
http://www.occidentalis.com/blog/index.php/oui-le-coran-est-dune-violence-inouie ?
Il faut garder à l’esprit que le Coran est la voix d’Allah par l’intermédiaire de son prophète et qu’il est interdit de la remettre en question. Ce qui explique les actes des terroristes qui sont finalement meilleurs musulmans que ceux qui se disent musulmans modérés, encore que des sondages effectués en Europe montrent que ces musulmans modérés pourraient bien être moins nombreux que ce qu’on veuille nous faire croire.
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Sondage-inquietant-du-Figaro-sur-les-Francais-musulmans-14568.html
http://www.nouvelordremondial.cc/2010/12/22/wikileaks-revele-un-sondage-choc-sur-lislam-en-grande-bretagne/
Il serait également intéressant de lire une biographie officielle, reconnue par les savants musulmans, comme celle d’ibn Hichâm afin de mieux cerner le personnage qu’est Mahomet.
http://coranix.org/biblio/hicham.htm
Donc oui, il est nécessaire, plus que jamais, de lire le Coran, mais également de s’intéresser à la vie du prophète, mais il faut également chercher des informations occultées par nos médias sur ces sondages qui dérangent ainsi que des actes commis par des musulmans chez nous en Europe en général. Il est vrai qu’il est plus facile d’assassiner le messager, en le traitant de fasciste ou de semeur de haine, que de lire le message.
La deuxième question est : combien de temps encore y aura-t-il des Chrétiens en Europe au rythme où vont les choses? Devant la faiblesse de nos dirigeants en face de l’islamisation rampante de tout l’Occident, de l’arrogance des tenants de la secte, non seulement nos autorités baissent le froc, mais interdisent à tout un chacun de se défendre face à ce fléau, par des lois contre le racisme par exemple. Même l’Église Catholique n’ose pas prendre parti ouvertement contre la secte qui veut sa destruction, attend-elle de voir s’ériger sur les ruines du Vatican même la grande mosquée promise par mahomet « soi-même » ? Les protestants ce n’est pas mieux.
De plus, les socialistes ont dans leur programme la suppression de notre armée, encore garante de notre sécurité, j’en ai froid dans le dos d’entendre de telles inepties. Hier soir j’entendais sur forum de la RTS1 une conseillère nationale socialiste dire qu’il n’y a plus de menace pour notre armée actuelle. Peut-elle répondre ce qui se passera quand nos voisins, France, Belgique, Hollande, Danemark et d’autre tomberont par les urnes dans l’escarcelle de la secte ? Nous qui luttons encore contre la montée de la secte ! Nous aurons alors deux ennemis, l’un intérieur les résidents membre de la secte et les pays environnants qui ne tolèreront pas que nous puissions mettre des bâtons dans les roues à la progression du fléau vert.
J’en pense que le moment est plus que venu de nous intéresser au Coran! Et de le faire avec un regard particulier! Peut-être celui d’un enfant! De l’enfant qui demande avec qui Caïn a eu des enfants, et ne sait pas comment on a noyé le poisson. Surtout pas le regard de celui qui invoque l’archéologie pour démontrer le caractère historique du Christ ou du déluge. Je sais, c’est fastidieux. Mais une parole telle que celle-ci: “Dieu ne dédaigne pas de prendre pour exemple un moustique”, est une invitation aux intégristes à en faire autant. Ou alors, “vous êtes un vêtement pour vos femmes et elles sont un vêtement pour vous”? Qui peut prétende à celà? Qui même prête attention à une telle parole? Et peut en parler avec une joie chaleureuse? Le Pape prie pour la Paix! Tous les coyants prient pour la paix! C’est pathétique et dérisoire! Comme l’est^, dans nos traductions bucoliques, la deuxième parole. Qui d’ailleurs est, dans la passivité collective, considérée comme un commandement! “TU AIMERAS TON PROCHAIN COMME TOI-MEME”! Parole qui, telle qu’elle est entendue, se prolonge dans “si tous les gars du mon-on.de voulaient se donner la main”… et autres niaiseries! Je retiens la traduction que j’ai reçue. Mais notez tout de même que cette parole est formulée au futur! “tu aimeras”, et que “ton prochain est un complément d’objet direct! Cherchant à retrouver la référence de ce texte je découvre que cette recheche est un parcours du combatant. Contentez vous d’apprendre que le mot traduit par prochain est “mal”, le même que celui de l’arbre de la connaissance! J’en conclus que je suis invité à chercher à connaître (aimer vers) le mal…. Ce sera tout! Je vous crois capable d’extrapoler fructueusement.