Il y a des Bretons qui n’aiment pas la Bretagne. C’est le cas du démographe Hervé Le Bras, directeur d’études à l’Institut national d’études démographiques (Ined). On lui doit, en particulier, L’Atlas des Pays de la Loire, ouvrage dans lequel il montre « que cette région, économiquement et socialement, est très bien faite » (magazine Bretons, avril 2017).
Dans son dernier livre, Malaise dans l’identité (Actes Sud), il y démonte la notion d’identité nationale et son utilisation. «Je comprends qu’on parle d’identité bretonne, car la bretagne n’est pas un État. Le jour où la Bretagne sera un État, je m’opposerai à ce qu’on parle d’identité bretonne», indique-t-il dans le même entretien. Le sentiment d’appartenance n’est pas sa tasse de thé : «Je ne pense pas que les divisions administratives doivent correspondre avec des divisions culturelles.» Bref, notre homme est hostile au «fait de constituer une Bretagne sur des racines historiques». On peut donc supposer que des « machins » comme le « Grand Est » ou « Hauts de France » lui conviennent parfaitement.
Il n’y a pas que la question bretonne qui vaut à Hervé Le Bras de solides inimitiés. Dans sa profession, quelques esprits non inféodés au Système s’empressent de lui tailler des costards dès que l’occasion se présente. C’est le cas de Christophe Guilluy : « Dans le domaine qui est le mien, celui de la démographie et du territoire, c’est archi-caricatural. Ma discipline est verrouillée par quelques personnages qui ne sont plus là que pour ostraciser. Je reçois désormais des courriels de doctorants qui m’assurent suivre mes travaux, mais m’expliquent qu’il leur est interdit de les citer. Voilà où nous en sommes. C’est le totalitarisme soft dans sa version universitaire. Dit autrement, le système est mafieux : il l’est en ce sens qu’il s’agit de tuer, professionnellement parlant, les pensées dissidentes. C’est la mésaventure qui est arrivée à Michèle Tribalat. Cela fait plus de quarante ans qu’elle accumule les études, statistiques à l’appui. C’est quelqu’un qui produit, contrairement à des gens comme Hervé Le Bras et Emmanuel Todd. Sa carrière a été un long calvaire, elle ne pouvait même plus aller physiquement à l’Institut national d’études démographiques (Ined), elle devait travailler chez elle, tans Le Bras et ses acolytes l’ont harcelée. Pour mémoire, elle avait attaqué, dans les années 1970, Le Bras sur sa méthode, pointant ses erreurs statistiques et le coinçant sur un point de méthode loin d’être négligeable puisqu’il conditionne l’ensemble de ses travaux. Le Bras n’a rien eu à lui répondre, sinon qu’elle prenait la suite des statistiques ethniques sous Vichy. Mal lui en prit, Michèle Tribalat n’a pas eu de mal à prouver qu’il n’y a pas eu de statistiques ethniques sous Vichy ! Qu’importe, le scud était lancé. Interdit de donner les vrais chiffres de l’immigration. En grand manipulateur, Le Bras – et avec lui les réseaux du Monde et la mafia universitaire – a toujours communiqué sur le solde migratoire, arnaque complète. Le tour de passe-passe a beau être énorme, il n’en a pas moins été reçu comme vérité intangible. Or, on ne peut pas considérer qu’il n’y a pas d’immigration au prétexte que de jeunes Français surdiplômés s’installent en masse à Londres ou ailleurs. Tribalat n’en est pas restée là, puisqu’elle s’en est prise à Todd, autre vache sacrée, sur la question des mariages mixtes, autre arnaque. » (Éléments, avril-mai 2017).
Si on comprend bien, Hervé Le Bras n’est pas seulement un mauvais Breton, mais également, si l’on en croit Guilluy, un scientifique aussi douteux que sectaire.
B. Morvan
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
Source Via Fdesouche.com
Un type qui vient vous cracher à la figure “je n’aime pas les arguments d’autorité, mais là je vais faire une exception”, c’est quand même louche. Il prétend de ce fait détenir LA Vérité.
Je pense quand même que l’observation de la rue permet de voir les faits.
Pour approfondir le sujet, vous pouvez consulter le site de Michèle Tribalat qui a fait une recension du livre de Douglas Murray, “The Strange Death of Europe”, l’étrange mort de l’Europe” où sont passées en revue les causes de ce suicide “programmé”.
http://www.micheletribalat.fr/435549315
Article que reprend polemia qui l’a scindé en quatre parties:
https://www.polemia.com/immigration-identite-et-islam-letrange-mort-de-leurope-vue-dangleterre-14/
L’Université française, comme sa soeur des USA, est un repaire de gauchistes où règne le politiquement correct. Toute pensée qui s’en écarte, en essayant simplement de se fonder sur des études du réel, est condamnée et ostracisée. La pensée unique est de gauche, voire d’extrême-gauche: le système, à mi-chemin entre Staline et Orwell, est bien verrouillé.
Les rares dissidents ont beaucoup de courage car ils sont d’office condamnés au goulag de la pensée, avec interdiction de s’exprimer.
Il faudrait un raz-de-marée électoral pour nettoyer les écuries d’Augias, mais comme les électeurs sont manipulés depuis une quarantaine d’années, il est à craindre que cela ne se produira pas.
ALORS PUISQU’ON MUSELLE CEUX QUI VEULENT DIRE LA REALITE ETHNO-DEMOGRAPHIQUE de l’immigration,
Il suffit de prendre son annuaire et d’estimer soi-même le chiffre chez soi.
Et de savoir donc, si ces chiffres permettent l’intégration ou le communautarisme, le repli sur soi.
A partir d’un certain chiffre, plus d’intégration possible. On entre dans le communautarisme.
Mais comment savoir quel chiffre permet l’intégration? Penchons nous sur le passé :
Des années soixante jusqu’à quatre vingt, l’immigration était raisonnée et raisonnable et permettait l’intégration. Ce rythme là permettait de s’intégrer sans mettre ses racines “à la poubelle”.
Il suffisait de s’ inspirer des chiffres de cette époque. Mais vous connaissez la suite….
Maintenant si nous ne voulons pas que “chavire la paix”, à cause de cette immigration SAUVAGE et CHAOTIQUE ce ne sont que les hommes qui “auraient besoin de venir pour améliorer leurs conditions matérielles” qui devraient entrer en France PROVISOIREMENT. Et les allocations familiales doivent aller directement dans le porte monnaie de mesdames leurs épouses, restées aux pays. Ca leur permettrait aussi de pouvoir se payer les contraceptifs qui leur permettraient d’avoir un nombre d’enfants, raisonnable, pour leur assurer une gentille qualité de vie.
Sinon on fabrique du mouton qui n’a plus assez de pâturage et qui va forcément aller voir dans le champ du voisin..
Mais ce n’est pas cela que veulent nos élites du pays d’accueil et du pays d’origine. Elles veulent une immigration déstabilisante qui CASSE le citoyen européen qui sait défendre ses droits. Alors l’immigré sera toujours utilisé, INSTRUMENTALISE.
L’immigration est sauvage,massive, et clandestine pour une partie énorme. Donc les états complices ou (et) incompétants sont incapables de donner des chiffres justes.Par ailleurs cela pourrait créer une panique. A la rue de Carouge je connais 5 Africains qui logent chez des amis “candidats à l’asile “eux déclarés.C’est une foutaise incroyable les Suisses vont payer et les Africains vont profiter…
ceci n’est au demeurant qu’un exemple du fonctionnement de l’université française où les “élites” révolutionnaire accaparent les places les honneurs et les distinctions.Ah l’arrière boutique du pays des fumeux “droits de l’homme” est loin d’être pure laine !
c’est pour quoi Le Bras est consultant à la télé : il est utile à manipuler l’opinion , comme les sondeurs et autres experts.