Le candidat à la primaire de gauche a été agressé par un jeune homme, mardi, à Lamballe. Il a été rapidement maîtrisé.
Un jeune homme a tenté de gifler mardi l'ex-Premier ministre français Manuel Valls alors qu'il était en déplacement à Lamballe, dans les Côtes d'Armor. L'adolescent a été maîtrisé par le service d'ordre du candidat socialiste à la présidentielle.
Sur le site du quotidien «Le Télégramme», on voit ce jeune tenter de gifler le candidat à la primaire de la gauche avant d'être rapidement plaqué au sol par la sécurité qui entoure M. Valls.
Le jeune homme, âgé d'une vingtaine d'années, aurait crié «Ici, c'est la Bretagne», selon France Bleu Armorique. Il a été interpellé et placé en garde à vue, a précisé une source proche de l'enquête.
Que de cris d’orfraie pour un si petit guili-guili au menton d’un matamore qui avait quelque peu abusé des coups dudit menton et qui n’hésita pas à faire gazer femmes et enfants aux inoffensives « manifs pour tous » ! La main du téméraire breton n’est tout de même pas un gantelet de fer, et la face de « la Tremblotte » n’est pas celle du Pape Boniface VIII que diable !
Il reste que cela flaire à plein nez le gros enfumage comme pour regonfler la cote d’un Manu bien à la peine. Car le jeune indépendantiste étrangement « égaré » au milieu de supportrices sensiblement plus proches de l’âge conseillé pour le « suicide assisté » que de celui « légal » de l’avortement – ah non, là ce ne sont pas des violences, mais d’aimables « avancées » !- était obligatoirement « logé » par les hommes de la sécurité.
Ceci étant, il faut être « la Tremblotte » pour croire à l’efficacité d’une tel sketch.
Il flotte dans l’air comme le suave parfum du « syndrome de Rocard ». Et c’est assez gai ! (a-i !)
Il y a des gestes que des millions de personnes voudraient pouvoir faire.
Des baffes… il est trop gentil le gars : avec valls le sudoripare c’est un truc à choper des mycoses aux mains, et les mycoses c’est comme les socialos : c’est dur de s’en débarrasser.
Si l’on giflait systématiquement tous les cons, tous ceux desquels on ne partage pas les idées, tous nos ennemis, on y passerait le plus clair de son temps. Or moi, j’ai autre chose à faire.
C’est vrai qu’il a une vraie tronche à baffes.
Bravo! Breiz atao!