Une psy de New York déclare dans sa conférence à Yale qu’elle fantasme sur le fait de tirer sur des blancs dans la tête

Note: Rappelons-nous que les fantasmes de cette psychiatre se sont déjà traduits en actes lorsqu'une jeune maman de 24 ans, aux Etats-Unis, a été abattue - d'une balle dans la tête tirée à bout portant par derrière - par une manifestante de BLM après la mort de George Floyd.

La manifestante noire n'avait pas supporté que la jeune femme blanche ait dit aux manifestants "All lives matter", c'est-à-dire toutes les vies comptent.

Sa mort est passée inaperçue, étant inexploitable par les médias de propagande. A notre connaissance, aucun média subventionné n'en a parlé en Suisse romande.

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Une psychiatre basée à New York a déclaré à un auditoire de la Yale School of Medicine en avril qu'elle avait le fantasme de "décharger un revolver dans la tête de toute personne blanche qui se mettrait sur mon chemin".

La Dr Aruna Khilanani a craché en ligne ces propos racialement haineux –  en ajoutant qu'elle quitterait les lieux "d’un pas léger" et que les Blancs "me font bouillir le sang" et "sont fous depuis longtemps » – au Child Study Center de l'institution Ivy League le 6 avril.

Vendredi, l' audio de la conférence a été publié sur la plate-forme en ligne Substack de Bari Weiss, ancienne rédactric au New York Times, en même temps qu'une interview de Khilanani menée par l'écrivaine et podcasteuse Katie Herzog.

Un prospectus publié en ligne par Weis donnait comme titre de la conférence « Le problème psychopathique de l'esprit blanc » et mentionnait des « objectifs d'apprentissage » tels que « Définir l'absence d'empathie des blancs envers la rage noire comme un problème » et « Comprendre comment les blancs sont psychologiquement dépendants de la rage noire.

Le Dr Aruna Khilanani a accusé les Blancs d'être dépendants de la « rage noire » lors de son discours sur.Twitter

Khilanani a ouvert sa conférence en disant à son public: "Je vais dire beaucoup de choses, et cela va probablement provoquer beaucoup de réactions, et je veux juste que vous les observiez peut-être en vous-même."

Elle a ensuite ajouté « des prières pour DMX»  [ndt: rappeur noir récemment décédé d’une overdose] avant de discuter de ce qu'elle a décrit comme « la rage intense et l’impression d’inutilité » que les personnes de couleur ressentent lorsqu'elles parlent de racisme aux Blancs.

"Nous sommes calmes, nous donnons, donnons trop, et puis lorsque nous nous mettons en colère, ils se servent de nos réactions comme d’une confirmation que nous sommes fous ou avons des problèmes émotionnels", a dit Khilanani. «Ça se termine toujours comme ça, ça arrive à chaque fois. Comme un p*** de minuteur, vous pouvez le voir venir."

"Rien ne me met plus en colère qu'une personne blanche qui me dit de ne pas me mettre en colère, car ils n'ont pas encore vu ce que c’est que la vraie colère", a-t-elle dit – avant de parler de la façon dont elle a "systématiquement" coupé avec la plupart de ses anciens amis blancs "depuis environ cinq ans".

"J'ai arrêté de regarder les infos", a poursuivi Khilanani. "Une fois que j'avais commencé, je ne pouvais plus m'arrêter."

"C'était aussi un service public", a-t-elle déclaré. "J'avais le fantasme de décharger un revolver dans la tête de toute personne blanche qui croiserait mon chemin, d’enterrer son corps et d’essuyer mes mains couvertes de sang tout en m'éloignant d’un pas léger, relativement sans culpabilité. Comme si j'avais fait une p*** de faveur au monde."

Plus tard dans son exposé, Khilanani a affirmé que converser avec les Blancs sur les questions raciales était "inutile parce qu'ils ne sont pas au bon niveau de conversation".

"Les Blancs ont perdu la tête, et cela depuis longtemps... Les Blancs ont l'impression que nous les tyrannisons lorsque nous parlons de race", a-t-elle ajouté.

"Ils pensent que nous devrions les remercier pour tout ce qu'ils ont fait pour nous. Ils sont déconcertés, et nous aussi."

"Nous continuons à oublier que c'est une perte de temps de parler directement de la race", a poursuivi Mme Khilanani. "Nous demandons à un prédateur dément et violent qui se prend pour un saint ou un super-héros d'accepter ses responsabilités. Ça n'arrivera pas. Ils ont cinq trous dans le cerveau. C'est comme se taper la tête contre un mur de briques."

Khilanani a dit: "s'attaquer au racisme suppose que les Blancs puissent voir et traiter ce dont nous parlons".

"Ils ne le peuvent pas. C'est pour cela qu'ils semblent déments. Ils ne savent même pas qu'ils portent un masque. Les Blancs pensent que c'est leur vrai visage. Nous devons apprendre à reconnaître le masque."

La psychiatre – qui déclare dans son profil sur le site des médecins indépendants de New York qu'elle a "une expertise dans le traitement des patients qui peuvent être curieux des questions concernant leur identité" – a affirmé que Yale lui avait promis que les images de la conférence seraient rendues publiques le lundi suivant.

Au lieu de cela, après une série de retards, la vidéo a été diffusée en interne et n'a été accessible qu'aux titulaires d’une carte d'étudiant.

Ces dernières semaines, Khilanani s'est rendue sur TikTok pour demander que la vidéo de son discours soit rendue publique.

"Yo, l'amnésie blanche est une chose étonnante", a-t-elle déclaré dans sa dernière publication en début de semaine.

Dans son interview avec Herzog, Khilanani a également partagé un e-mail qui, selon elle, lui a été transmis par le doyen et qui disait : "Bonjour, j'ai été surpris de voir l'annonce de la [conférence] de demain."

"J'imagine que je remplace les mots "esprit blanc" par "esprit asiatique" ou "esprit gay", alors que nous travaillons à l'équité, à l'inclusion et à l'unité. Je me demande quel sera l'impact de cette présentation", écrivait le doyen.

Khilanani a répondu : "Quand j’analyse cela psychologiquement, ce qu'ils disent à un certain niveau, c'est : "Nous avons besoin que les choses soient les mêmes. Si vous pouvez dire "blanc", alors nous pouvons dire "Asiatique"". '

"Psychologiquement, ils font une fausse équivalence", a-t-elle expliqué. "Ce qu'ils font psychologiquement, c'est effacer la différence entre les blancs et les asiatiques, et si vous effacez la différence, il n'y a pas de p*** de problème ici, alors fermez-la, c'est vous le vrai raciste. C'est comme ça que ça fonctionne psychologiquement."

Khilanani n'a pas répondu à nos sollicitations, non plus que le directeur des études médicales du Yale Child Study Center, le Dr Andres Martin, qui était inscrit comme "directeur de cours" pour la conférence.

Source: NYC shrink tells Yale audience she fantasizes about shooting white people in head- New York Post

Traduction Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

Khilanani, who has previously taught at Cornell, Columbia and New York universities, made a series of stunning comments during her talk that was largely based on the psychology behind 'whiteness'. Pictured above is the flier for the talk

Manchester (GB) : l’auteur de la banderole « White lives matter », ainsi que sa compagne, ont été virés de leur travail

Nous en parlions déjà dans cet article.


 

Le supporter de Burnley qui est à l’origine de la banderole « White Lives Matter » au-dessus du stade d’Etihad a été licencié de son travail. Sa compagne, Megan, a également été sanctionnée.

Jake Hepple, 24 ans, a été licencié de son poste de soudeur chez Paradigm Precision, basé dans le Lancashire, cet après-midi, l’entreprise ayant déclaré qu’elle « ne tolérait ni n’approuvait le racisme sous aucune forme ».

M. Hepple a en effet profité d’une interview avec MailOnline pour annoncer qu’il ne regrettait pas son geste. (…)

Il a déclaré : « Cette bannière a été inspirée par le mouvement Black Lives Matter. (…) Je crois qu’il est également important de reconnaître que les vies blanches comptent aussi. C’est tout ce que nous voulions dire ».

(…) Sa petite amie Megan Rambadt, 21 ans, a également fait l’objet de critiques pour certains de ses messages racistes sur les réseaux sociaux et a été suspendue de son emploi d’esthéticienne.

L’homme a déclaré que la police lui a rendu visite à son domicile mardi soir pour lui dire qu’il ne serait pas poursuivi au pénal. Il a ajouté qu’ils lui ont également offert une protection au cas où lui ou sa famille serait menacé à l’avenir à cause de la banderole.

Il a ajouté : « La police m’a dit que je n’avais commis aucun crime et que je n’avais rien fait de mal. En fait, ils m’ont demandé si j’allais bien et si je voulais une protection, juste au cas où des gens essaieraient de s’attaquer à moi. Je ne comprends pas pourquoi on me traite comme un criminel (…) ».

Daily Mail


La mère du supporter de Burnley qui a confectionné la banderole « White Lives Matter » aurait tellement honte des actions de son fils qu’elle n’est plus capable d’aller travailler.

Son père, George, affirme que le comportement de son fils a empêché sa femme d’aller travailler à cause des réactions de rejet.

(…) Mirror



La banderole « White Lives Matter » a été fortement critiquée, alors que la police cherche les responsables. « La police a été en liaison avec les autorités aériennes et le service des poursuites judiciaires de la Couronne au sujet de la bannière « White Lives Matter »  » explique la police du Lancashire. « Après avoir analysé toutes les informations disponibles à propos de cet incident, nous avons conclu qu’aucune infraction pénale n’avait été commise à ce jour » conclut-elle.

Toutefois, « nous reconnaissons que cette bannière aura offensé beaucoup de personnes » a ajouté Russ Procter, le chef de la police régionale. « En eux-mêmes, les mots (« White Lives Matter ») ne sont pas insultants » « C’est juste le contexte. Ils montrent un rejet du débat en cours » a-t-il ajouté.

(…) Le Point

Via Fdesouche

Pour CNews, White Lives Matter est raciste

Une banderole raciste survole le stade de Manchester City en plein match.

Un avion tirant une banderole «White Lives Matter Burnley» (les vies des Blancs comptent), slogan de l'extrême-droite qui lutte contre le mouvement antiraciste «Black Lives Matter», a survolé le stade de Manchester City au tout début du match contre Burnley pour la 31e journée de Premier League, lundi.

 

 

 

Le club de Burnley a rapidement réagi dans un communiqué pour «condamner fortement» la banderole et ceux responsables de cette opération.

[...]

Cnews.fr


c'est cool et normal mais devient magiquement du racisme.

Ceci n'est pas du racisme par exemple :

 

 

Ceci, c'est du racisme et de l'extrémisme de droite à combattre par tous les moyens :