Un an de Pegida ? C’en n’est pas assez.


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Pour la soirée de leur premier anniversaire, lundi 19 octobre 2015, quelques 40’000 Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident (Pegida) ont défilé pacifiquement, à Dresde, en Allemagne, pour manifester leur opposition à la politique d’islamisation par voie de migration défendue par Angela Merkel.

Le journal allemand des affaires et pro-migration musulmane Handelsblatt écrit « C’en est assez, le pays a vu beaucoup de mois passer, beaucoup de haine, et beaucoup, beaucoup de démagogie ». (…) Les manifestants de Pegida sont identifiés comme des « durs d’extrême droite », renchérit le Handelsblatt. « Il y a eu de nombreuses exactions », allègue de son côté le journal gauchiste Der Tagesspiegel.

« Beaucoup de haine, et beaucoup, beaucoup de démagogie » ? Sauf que ce sont les gauchistes et les médias qui pratiquent la haine et la démagogie en voulant, en réalité, faire interdire Pegida. « Des « durs d’extrême droite » ? Sauf que ce sont les gauchistes et leurs relais médiatiques qui font preuve d’extrémisme, en voulant à la fois diaboliser et frapper Pegida.

« De nombreuses exactions » ? Sauf que ce sont les fascistes rouges, les soi-disant antifa, et, aussi, les agents fédéraux infiltrant les cortèges de Pegida, qui commettent des exactions. Un an de Pegida, « c’en est assez » ? Sauf qu’un an de Pegida, c’en n’est pas assez.

Les médias allemands font passer 40'000 personnes, jeunes, pères et mères de famille, chômeurs et retraités pour des « néo-nazis ». C’est bien la preuve que c’en n’est pas assez justement. Pegida doit continuer, malgré les calomnies, les manœuvres et les intimidations.

Pegida, c’est le même courage que Riposte laïque ou Génération identitaire en France, le même courage que Geert Wilders aux Pays-Bas, le même courage qu’Orban en Hongrie, le même courage que l’UDC en Suisse, le même courage que Netanyahou en Israël. Ich bin Pegida.

Michel Garroté

http://www.handelsblatt.com/politik/deutschland/kommentar-ein-jahr-pegida-ist-genug/12472386.html

http://www.tagesspiegel.de/politik/jahrestag-von-pegida-in-dresden-boeller-brandreden-hass/12471518.html

   

Sébastien Jallamion, policier, suspendu pour deux ans de ses fonctions professionnelles. Interview exclusive par Pierre Cassen

Sébastien Jallamion, policier, contributeur à Riposte et Boulevard Voltaire, vient, suite à un décision administrative, d’être suspendu deux ans de ses fonctions professionnelles. Plus de salaire, pas de chômage et possibilité d’appel jugée dans au moins deux ans.

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Riposte Laïque : Vous êtes policier, et contributeur ponctuel à des revues comme Riposte Laïque et Boulevard Voltaire. D’autre part, vous avec créé une association, que vous présidez, l’Andele, pour défendre la liberté d’expression. Pouvez-vous expliquer à nos lecteurs ce que vous faites dans la police, et pourquoi avoir créé cette association ?

Sébastien Jallamion : Je suis entré dans la police nationale par le biais du concours de Gardien de la Paix en 1996, après avoir effectué mon service national dans la Police. Ce métier est venu à moi par hasard alors que j’effectuais mes études de Droit à l’université Jean Moulin (Lyon III),  je me suis rapidement rendu compte de la vocation qui était la mienne : servir et protéger mes concitoyens.

Pour ce qui est de l’Association Nationale de Défense Egalitaire de la Liberté d’Expression (ANDELE), nous l’avons créée en 2014, quelques amis et moi, après avoir constaté que nombre de nos compatriotes devaient répondre de leur liberté de parole devant les tribunaux pour des motifs fallacieux, souvent suite à des plaintes d’associations dites « antiracistes », largement subventionnées et politisées. Il s’agit en somme de rééquilibrer la balance judiciaire en permettant aux justiciables démunis de se défendre.

Riposte Laïque : Il vous est donc arrivé une mésaventure aux conséquences graves, puisque vous venez d’être condamné par le Tribunal correctionnel de Lyon à une amende assez élevée (5000 euros), suite à un dépôt de plainte du seul Procureur de la République à votre encontre. Pouvez-vous nous expliquer ce qui s’est passé ?

Sébastien Jallamion : J’ai créé un compte facebook anonyme en 2011 sur lequel j’ai pris l’habitude de m’exprimer d’abord sur des sujets culturels puis, l’actualité aidant, sur des sujets plus politiques. Ainsi, en septembre 2014, j’ai réagi vivement à l’enlèvement et à la décapitation du français Hervé Gourdel en réponse à l’appel au meurtre des « sales et méchants français » lancé par les dirigeants du groupe Etat Islamique. Une de mes collègues de travail, que j’avais invitée comme « amie » sur mon compte facebook, m’a alors dénoncé à ma hiérarchie. C’est alors que tout s’est enchaîné : procédure administrative et judiciaire, condamnation en première instance par le Tribunal Correctionnel de Lyon à 5000 euros d’amende, pour laquelle le Parquet à fait appel du fait que cette sanction n’était pas suffisante. Au vu des réquisitions du Procureur de la République (5 mois de prison ferme, plus trois mois avec sursis, 2000 euros d’amende, interdiction à vie d’exercer dans la fonction publique, 5 ans d’interdiction de port d’arme et obligation d’un suivi psychiatrique), il est clair qu’il était question de m’abattre.

Le procureur de Lyon, Marc Cimamonti, peut-il être étranger à cet acharnement judiciaire contre le policier Jallamion ?

Riposte Laïque : Cerise sur le gateau, si j’ose dire, vous venez d’apprendre que votre hiérarchie vient de décider la plus grave des sanctions, en dehors de la révocation, à votre encontre : 24 mois de sanction administrative, donc de suspension, pour faute professionnelle. Que vous est-il donc encore reproché ?

Sébastien Jallamion : D’après les considérants de l’arrêté administratif qui m’a été notifié ce jour, il m’est reproché d’avoir courant septembre 2014 créé une page facebook anonyme supportant plusieurs images et commentaires « provocateurs », « discriminatoires et injurieux », à caractère « xénophobe ou anti-musulman ». A titre d’exemple il y avait le portrait du Calife Al-Baghdadi, chef du groupe Etat Islamique, avec un viseur sur le front. Cette publication a été exhibée lors de mon passage en conseil de discipline avec l’accusation suivante « Vous n’avez pas honte de stigmatiser ainsi un imam ? » Mon avocat peut en témoigner…

Riposte Laïque : Une suspension de 24 mois signifie-t-elle que votre salaire, ou une partie de celui-ci, vous sera tout de même versé ?

Sébastien Jallamion : Aucunement. Depuis ce matin je sais que je suis sans ressources Ma priorité est donc de trouver un emploi.

Riposte Laïque : Comment expliquez-vous cet acharnement à votre encontre, qu’il provienne d’un procureur de la République qui a voulu vous mettre en prison, ou bien d’une hiérarchie, et peut-être même d’un ministre, qui semble vouloir vous condamner à une mort sociale ?

Sébastien Jallamion : A l’évidence il s’agit d’une sanction politique. Je ne vois aucune autre explication.

Riposte Laïque : Une autre de vos collègues, membre des Indigènes de la République, Sihem Souid, au cœur de faits autrement plus graves (suspectée de vol de documents et auteur d’une communication publique souvent injurieuse) paraît mieux traitée que vous. Qu’en pensez-vous ?

Sébastien Jallamion : Qu’il s’agit d’un exemple parmi d’autres qu’il n’y a aucune égalité de sanction chez les fonctionnaires, contrairement aux textes en vigueur..

Riposte Laïque : Que comptez-vous faire, quelles actions souhaitez-vous entreprendre pour vous défendre, voire contre-attaquer ?

Sébastien Jallamion : Ma seule voie de recours est de saisir le Tribunal Administratif, ce qui n’est pas suspensif concernant ma sanction et risque de durer entre deux et trois ans.

Riposte Laïque : Suite à un tel acharnement, quel message souhaitez-vous faire passer à nos compatriotes ?

Sébastien Jallamion : Que nos valeurs fondamentales, celles pour lesquelles nombre de nos ancêtres ont donné leur vie, sont en train de péricliter, et qu’il est temps pour nous de nous indigner de ce que devient notre pays. Ce n’est pas ça la France, celle des Lumières, qui en leur temps ont brillé dans toute l’Europe et au delà. Nous devons nous battre pour préserver nos valeurs, c’est une question de survie.

Propos recueillis par Pierre Cassen

Article publié ce jour sur Riposte Laique (y lire l'introduction de Jeanne Bourdillon)

Nos remerciements à nos amis de RL nous ayant autorisés à publier cet interview exclusif sur les observateurs.ch

Valls-Cazeneuve démission : Le rassemblement parisien comme si vous y aviez été…

A l’initiative de Riposte Laïque et de Résistance républicaine se tenait, le mardi 30 juin, à 18 heures, place de la Bourse, un rassemblement demandant la démission du premier ministre, Manuel Valls, et du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, incapables de protéger les Français, face à la barbarie islamiste qui se développe sur notre sol. Ce premier rassemblement, organisé dans l’urgence, avait pour objectif de montrer que, dans notre pays la France, il ne pouvait pas y avoir la première décapitation islamique sans qu’une réaction, même symbolique, n’ait lieu.
Tout au long de la soirée, avec beaucoup de dignité, mais aussi de détermination, plusieurs centaines de Parisiens exprimeront leur refus de l’islamisation de leur pays, mais aussi leur colère contre la trahison des collabos, coupables des terribles menaces que subissent, à présent, nos compatriotes.

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Les kapos du Mrap demandent à Taubira de fermer RL et de poursuivre Salem Ben Ammar

Les textes du Mrap sont toujours de grands moments de littérature. Mais cette fois, ils se sont surpassés, dans un communiqué intitulé « Riposte Laïque appelle à interner les musulmans, la sanction doit être exemplair ». D’abord, cela fait désordre, une faute dans un titre. De même nous avouons que nous avons du mal à comprendre cette phrase d’un Français douteux : « Le Mrap va déposer plainte pour incitation à la haine en fonction des convictions religieuses musulmanes ».

http://www.mrap.fr/riposte-laique-appelle-a-interner-les-musulmans-la-sanction-doit-etre-exemplair

Mais allons sur le fond de ce communiqué, repris par les associations palestiniennes. Notre ami Salem Ben Ammar (non cité dans le texte), au lendemain de l’internement du maire de Venelles, Robert Chardon, a commis un article, intitulé dans sa version brouillon : « Ce sont les musulmans qu’il faut enfermer pour trouble d’islam ».

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