POURQUOI UNE NOUVELLE AFFICHE CHOC SUR LES MURS DE SUISSE DES LE LUNDI 6 SEPTEMBRE

ndlr: Merci à Info!

Mariage pour tous – PMA  Télécharger le PDF

En 2005, lors de la campagne « pour le partenariat enregistré », partis politiques et groupes d’intérêts ont juré que la nouvelle loi ne conduirait ni au mariage ni à la procréation médicalement assistée (PMA). Pour emporter le suffrage, ils ont dit ne pas vouloir de la fécondation in vitro, dont ils ont jugé l’interdiction « raisonnable » concernant les homosexuels[1].

Le peuple leur a fait confiance.

Au lendemain de la votation, un porte-parole militant (Jean-Paul Guisan, association Pink Cross) désignait clairement l’adoption comme la prochaine étape. En 2008, Les Verts, qui avaient soutenu l’interdiction de l’adoption, lançaient les premières motions en sa faveur…

Quant au Conseil fédéral, en quelques années, son discours est passé de «il n’existe aucun droit à l’adoption »[2] à l’invention d’une sorte de droit fondamental des enfants à être adoptés[3]. Pour finir par consacrer le droit des homosexuels « d’organiser librement leur vie privée et familiale »[4].

Du droit de l’enfant, on est passé au «droit à l’enfant».

Du droit d’être et exister pour soi, à celui d’être consommé. L’enfant est devenu un produit, une marchandise comme une autre. Vendue dans ce «oui au mariage et à la PMA pour tous» comme le révélateur d’un «amour» qui ne saurait exister sans «ça»…

PMA pour non couple non malade

Jusqu’à maintenant, la PMA était réservée aux couples mariés frappés de problème de fertilité ou de maladies transmissibles (art. 5 et 6 de la loi fédérale sur la procréation médicalement assistée du 18 décembre 1998 (LPMA – RS 810.11)).

En sa qualité de traitement médical, la PMA est aujourd’hui étendue aux lesbiennes, dans une conception artificielle du couple. Pour être un couple, encore faut-il pouvoir s’accoupler et concevoir. Ainsi, assimiler les lesbiennes à un couple souffrant d’infertilité ou de maladie relève du délire, et d’une volonté d’étendre, dans une perspective strictement commerciale, un traitement médical à un nouveau genre de clientèle qui n’en a pas besoin.

Délire de représentation sociale

Ainsi, les couples mariés continueront de devoir justifier leur besoin de PMA, pas les lesbiennes. Or, l’enfant existe par lui-même et non pour satisfaire un désir, pour ne pas dire un délire de représentation sociale. Pour paraphraser le Conseil fédéral: « La nature veut que chaque enfant ait un père et une mère qui jouent chacun un rôle important dans son développement[5]. »

Une fois voté, le « Mariage pour tous » fera sauter les garanties constitutionnelles et légales des art. 119 de la Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 (Cst – RS 101) et de l’art. 3 LPMA intitulé « Bien de l’enfant ».

Don de sperme d’un donneur mort

Ce même article « Bien de l’enfant » (alinéa 4) autorise le don de sperme d’un donneur mort. Cette exception, déjà difficilement compréhensible dans le cas de couples mariés, prend un tournant tragique dans celui de l’industrie de la fertilisation des lesbiennes.

Cette industrie fonctionne déjà à flux tendu par manque de donneurs, la loi suisse imposant une limite de huit enfants par donneur (art. 22 al. 2 LPMA), nous en sommes déjà à près de 5 enfants selon l’OFSP. Cette industrie aura inévitablement recours à ce type d’excès.

Il convient de mettre une limite au nombre de traumatismes que l’on s’apprête à infliger aux futures générations.

Droit fondamental des homosexuelles

Il n’existe aucun droit à l’adoption, selon le Conseil fédéral[6]. Il n’y a pas de droit à l’enfant non plus, autre que celui que confère la nature et que reconnaissent la Déclaration des droits de l’Homme et la Convention relative aux droits de l’enfant.

Avec la création, de toutes pièces, d’un droit fondamental des lesbiennes à l’enfant par insémination, on assiste, pour la toute première fois dans notre ordre légal, à la destruction méthodique du droit de la famille. Ce n’est plus une révolution sociétale, c’est un cri de haine contre les lois de la nature.

Nous le rejetons de toutes nos forces. Nous ne voyons en aucune façon le bien que pourrait apporter cette nouvelle injustice. Un bénéfice financier important, l’illusion que seul un enfant peut consacrer un mode de vie, rien de cela ne justifie cette entreprise systématique de démolition des fondements de notre société.

ET APRES ? PMA A L’ETRANGER, DON D’OVULES, gestation pour autrui, PMA pour célibataire…

Aucun mystère, tout est programmé : « L’exclusion volontaire des institutions de procréation médicalement assistée à l’étranger et des dons de sperme privés perpétue (…) l’inégalité de traitement des familles arc-en-ciel, ce qui devra être corrigé dans le cadre de la révision du droit de la filiation »[7]. L’accès au don d’ovules, l’autorisation de la gestation pour autrui en Suisse, l’accès à la procréation médicalement assistée pour des personnes seules, la révision du droit de la filiation. TOUT. La Commission fédérale pour les questions féminines a expliqué comprendre « la décision de la commission [des affaires juridiques du Conseil national] de limiter le présent projet de réforme à l’égalité liée au mariage et de ne pas le surcharger »[8].

Et d’ajouter : il serait en outre judicieux de réexaminer tous les aspects de la procréation médicalement assistée à l’étape suivante et, si nécessaire, de la réglementer, d’autant plus qu’actuellement, les dons d’ovules et la gestation pour autrui sont des pratiques interdites à tous les couples en Suisse. Aussi, la majorité de la Commission nationale d’éthique dans le domaine de la médecine humaine (CNE) invite les autorités à ouvrir un débat public sur les formes de famille et de parentalité actuelles et les encourage à procéder rapidement à une révision totale de la loi fédérale du 18 décembre 1998 sur la procréation médicalement assistée (LPMA; RS 810.11)[9]. Tout est prêt pour l’étape suivante.

L’association NON A L’ENFANT-OBJET invite le peuple à rejeter la modification du Code civil suisse (mariage pour tous) en votant NON.


Notes

[1]    Anne-Catherine Menétrey-Savary, conseillère nationale (les Verts/GE), Comité interpartis « oui au partenariat enregistré », 11 avril 2005.

[2]   Message du Conseil fédéral du 29 novembre 2002, 02.090, FF 2003 1192.

[3]   « Aujourd’hui déjà, de nombreux enfants grandissent dans pareilles familles, mais ils ne bénéficient pas des mêmes droits que les enfants nés de couples mariés. », Communiqué du Conseil fédéral du 29.02.2012, Adoption par les homosexuels de l’enfant de leur partenaire.

[4]   Explications du Conseil fédéral – Votation populaire du 26 septembre 2021 (PDF, 735 kB, 23.07.2021).

[5]   Message du Conseil fédéral du 29 novembre 2002 relatif à la loi fédérale sur le partenariat enregistré entre personnes du même sexe, 02.090, FF 2003 1222.

[6]   Communiqué du Conseil fédéral du 29 novembre 2002 et FF 2003 1192.

[7]   https://www.mariage-oui.ch/fileadmin/files/pdf/2021_Kurz-Argumentarium_FR.ocx.pdf.

[8]   13.468 Initiative parlementaire, Groupe vert’libéral, Mariage civil pour tous, Synthèse des résultats de la procédure de consultation du 30 août 2019, p. 15.

[9]   Idem, p. 15-16.

source: https://non-enfant-objet.ch/

La PMA : une pratique eugéniste – la filiation devient un concept social

Aude Mirkovic, porte-parole de l'association Juristes pour l'enfance, nous en dit plus sur les dessous de la PMA et du projet de loi bioéthique. 

Résumé: Les enfants d'une fratrie, tous congelés le même jour, sont dégelés et implantés selon le désir des propriétaires. La PMA engendre des risques de maladies bien plus élevés que pour des enfants conçus normalement. C'est la production technologique industrielle des enfants. Le père est éjecté de la filiation.
Le droit de l'enfant devient le droit de l'adulte, l'enfant doit correspondre aux projets eugénistes des parents.
La généralisation de la PMA va passer à la vitesse supérieure pour programmer des enfants sur commande, ce qui va changer et interdire le droit à la filiation, comme dans le cas de deux parents de même sexe.
Désormais, les parents sont ceux qui éduquent les enfants, la pluriparentalité remplace la filiation. Détaché de la filiation charnelle, l'enfant est réduit à un projet parental.
La biologie définit deux parents, mais le parentalité social, basé sur la parentalité éducative, ne détermine pas le nombre des parents.
Au nom de l'égalité, les inégalités dues aux différences naturelles devraient être supprimées, considérées comme des injustices discriminatoires, et donner les droits à y remédier.
La GPA suivra la PMA, c'est dans la logique de l'égalitarisme.
La suite, ce sont les embryons transgéniques, puis chimériques, c'est-à-dire avec des cellules humaines mélangées avec des cellules d'animaux jusqu'à 10-50%, avec des conséquences imprévisibles pour l'humanité.

Bioéthique : Les immenses dangers de la PMA et de la GPA commerciales (2/3)

Publié le 1 février 2020 - par


« Bioéthique – Les immenses dangers pour l’humanité de la PMA et de la GPA à visées strictement commerciales et sans aucun contrôle éthique ni d’aucune autre sorte. »

La GPA, c’est quoi ?

La GPA c’est la gestation pour autrui (les « mères porteuses »).
C’est une pratique qui est aujourd’hui interdite en France.
Néanmoins, les professionnels de la médecine et de la bioéthique travaillent sur la question pour tenter d’en sortir un cadre légal qui ne soit pas traumatisant pour l’enfant ni pour la mère porteuse.

La GPA ne relève pas du tout du même principe que la PMA qui est une assistance de la médecine pour aider des couples légitimes infertiles (mais dont la femme peut mener à terme une grossesse par ce moyen) à devenir parents d’un enfant qui sera de leur sang.

La GPA a pour but d’assister à la procréation des couples infertiles dont la femme ne peut pas être fécondée, pour des raisons telles qu’un utérus ne fonctionnant pas ou ne possédant pas d’utérus (de naissance ou post-opératoire).

Dans la GPA, on utilise les gamètes (ovule de la femme et spermatozoïdes de l’homme) pour les assembler in vitro et ensuite introduire le ou les embryons obtenus dans l’utérus d’une autre femme volontaire pour porter le bébé jusqu’au terme de la grossesse et l’abandonner au couple demandeur.
Mais on peut aussi faire appel à des gamètes de « donneurs » hommes ou femmes ou les deux.

C’est donc une procédure ou un protocole très compliqué et qui est, de toute façon, interdit dans notre pays et non sans de très bonnes raisons, surtout dans un monde en pleine effervescence et décadence éthique et morale où seul le profit immédiat a cours, sans raison, sans réflexion et sans scrupule…

C’est pourquoi, le plus souvent, les couples demandeurs doivent se tourner vers des pays où la GPA est autorisée ou au moins tolérée et faire un parcours du combattant pour arriver à leurs fins.

Pour mieux comprendre, je donne quelques liens sur le sujet :
Détails du cadre légal : https://www.guide-de-l-infertilite.fr/fr/solutions-et-traitements/article/la-gpa-en-france-et-en-europe
« Tout savoir sur la « gestation pour autrui » ou « gestation par autrui » » :
https://www.fondationlejeune.org/manuel-GPA/?gclid=EAIaIQobChMIr_bvr82e5wIVF-DtCh1dpQN2EAAYAiAAEgIT1vD_BwE
« La GPA, comment ça marche ? » :
https://www.justifit.be/b/guides/droit-famille/gpa-comment-ca-marche/
« Comment s’y prendre pour une GPA ? Conseils et étapes à suivre » :
https://babygest.com/fr/etapes-de-la-gestation-pour-autrui/

La GPA étant de toute façon possible pour tout le monde dans certains pays, à partir du moment où on peut y mettre le prix, elle reste une chose inégalitaire. Seuls les riches peuvent y accéder.
C’est donc une activité lucrative, un commerce.
Ce qui, pour l’égalité des droits, n’est pas envisageable en France.
La PMA, elle, peut être prise en charge par les organismes sociaux.

Un autre problème est venu s’ajouter à la complexité déjà existante de la GPA, c’est que des homosexuels, hommes ou femmes, par nature stériles et incapables de procréer, exigent le droit d’accéder à la GPA pour avoir des enfants.
Or, dans le cadre de la nature, du droit de la famille, de la morale universelle et des droits de l’enfant, la chose semble difficilement réalisable et acceptable en France.

Je dirai aussi que ces homosexuels en quête d’apporter de l’amour à un enfant peuvent aussi passer par l’adoption à l’étranger, dans des pays où règne une grande misère et où de très nombreux enfants sont abandonnés et vivent et meurent dans les rues.
Ah, ils veulent des bébés dès la naissance… !?
Moi, j’aurais voulu avoir des parents très riches et hériter d’une fortune…
On n’a pas toujours tout ce qu’on veut, dans la vie… !

Pour ma part, bien évidemment, je suis totalement opposé à cette légalisation. Ses conséquences SERONT dramatiques pour les générations à venir.

Les homosexuels ont donc bien compris qu’ils devaient aller à l’étranger pour bénéficier de ce protocole.
Et ils le feront dans le mépris des droits légitimes futurs d’un enfant à avoir des parents hétérosexuels, de vrais parents biologiques, une vraie maman qui l’aura porté dans son ventre dès le départ, un papa et une maman possédant les caractères indispensables à un enfant pour l’aider à s’épanouir dans un environnement familial sain et naturel et devenir un adulte équilibré.

Et non pas des pseudo-parents du même sexe glorifiant l’homosexualité dans des « gay-pride » qui donnent envie de vomir à tout le monde…
Le fait que tous ces LGBT… soient d’ailleurs devenus un lobby extraordinairement exigeant et agressif pour leurs droits à avoir des sexualités alternatives assumées, affirmées, exubérantes et provocantes sur la voie publique est devenu préoccupant pour l’intégrité des principes et des lois de nos sociétés et de nos États de plus en plus gouvernés par des psychopathes et des imbéciles.

Que des personnes soient en recherche de sensations différentes avec des partenaires sexuels hors normes ne me gêne pas. Chacun son truc. Mais que cela devienne des lobbies et des partis politiques est très dérangeant, car il me semble qu’il existe des choses beaucoup plus importantes dans un pays que leurs petits problèmes de pénis ou de vulves hyperactifs…

Cette évolution malsaine et décadente de nos sociétés est d’ailleurs le signe que les peuples sont de plus en plus désenchantés, déprimés, désespérés et sans plus aucune foi en l’avenir.
Tout est bouché, tout est sombre et on peut comprendre certaines personnes qui se donnent la mort ou font n’importe quoi.

Les risques de la GPA

La GPA présente certains risques pour la mère porteuse.
D’abord, il s’agit d’une grossesse et une grossesse est toujours une période de risques normaux pour une femme.

L’un de ces risques est d’avoir des grossesses multiples dues aux pratiques médicales de ce genre de protocoles au cours desquels les médecins ont tendance à introduire plus d’embryons fécondés que nécessaire afin d’être sûrs d’obtenir le début d’au moins une gestation.

Ensuite, la grossesse peut être accompagnée d’un traitement médical parfois assez lourd et désagréable dans le but de favoriser le bon développement de la grossesse, de protéger la mère et de protéger le bébé en formation.

Enfin, il ne faut pas oublier que si une maman normale peut faire un « baby-blues » à la suite de l’accouchement de son propre bébé qu’elle va garder, vous pouvez imaginer l’ampleur de ce baby-blues pour une mère porteuse qui sait depuis le début qu’elle ne va pas garder le bébé plus de 24 heures après sa venue au monde.
Cela peut avoir des conséquences graves sur son psychisme, surtout si elle est de nature psychologiquement fragile et si elle n’a pas été bien préparée à ce choc.

Plus de détails :
« La GPA présente-t-elle des risques médicaux pour les mères porteuses ? »
http://www.slate.fr/story/104071/gpa-risques-medicaux-meres-porteuses

« Conséquences, effets et risques de la gestation pour autrui »
https://babygest.com/fr/consequences-risques-de-gestation-pour-autrui/

« Pourquoi sommes-nous contre la gestation pour autrui GPA ? »
http://www.alternatifs.org/spip/pourquoi-sommes-nous-contre-la

La GPA a déjà fait couler beaucoup d’encre et ce n’est pas fini.
Prendre le corps d’une femme, la mère porteuse, pour un appareil à fabriquer des bébés pour les donner à des femmes qui ne veulent pas porter atteinte à leur silhouette de jeune fille, prendre le corps de cette femme pour un four où l’on fait cuire son gâteau, ce n’est déjà pas très naturel ni très joli.

Mais on sait que derrière tout ça il y a aussi beaucoup d’argent en jeu. Pas forcément beaucoup pour les mères porteuses, mais sûrement beaucoup pour les médecins et personnels médicaux intervenants et pour les actionnaires des cliniques et hôpitaux privés des pays où la GPA est autorisée, sans parler de ceux où elle ne l’est pas et où les choses se font dans la plus grande clandestinité en faisant appel à des jeunes filles pauvres qui sont appâtées par un peu d’argent pour elles ou pour leur famille…
Dans ce cas, il s’agit d’une forme de prostitution et beaucoup de ces jeunes filles à peine sorties de la puberté peuvent avoir des pathologies graves et parfois mortelles.

Par ailleurs, et on n’en parle pas souvent, mais la demande de bébés à adopter est très grande dans les pays avancés (et même dans d’autres) et des couples stériles mais riches sont prêts à payer des fortunes pour un beau bébé en bonne santé. Cela a favorisé l’apparition de réseaux internationaux d’enlèvement (dans les hôpitaux, cliniques, maternités et dans les familles) et de trafics de bébés qui rapportent beaucoup d’argent.
Mais les risques sont grands pour les kidnappeurs et pour les passeurs.
La GPA représente une nouvelle opportunité inespérée pour ces réseaux internationaux qui pourront utiliser des mères porteuses payées une bouchée de pain pour obtenir de nombreux bébés en parfait état.

On ne pourra jamais changer les choses dès qu’il est question d’argent.
Par contre, on peu légiférer pour des pratiques plus respectueuses des mères porteuses et interdire et condamner lourdement les fraudeurs qui leur font prendre de gros risques.

« Gestation pour autrui : quelles sont les évolutions du droit ? »
https://www.vie-publique.fr/eclairage/18636-gestation-pour-autrui-quelles-sont-les-evolutions-du-droit

En France, le code pénal, article 227-12, sanctionne d’une peine de six mois d’emprisonnement et de 7 500 € d’amende « le fait de s’entremettre entre une personne ou un couple désireux d’accueillir un enfant et une femme acceptant de porter en elle cet enfant en vue de le leur remettre. »
https://www.senat.fr/lc/lc182/lc1820.html

Alors, en tout état de cause, il ne faut surtout pas oublier, avant d’aller voter, que la GPA c’est avant tout politique et que ça sert surtout à faire des suffrages pour Macron, le ……. qui nous gouverne !!

Laurent Droit

source:

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Première partie du dossier :

https://ripostelaique.com/bioethique-les-immenses-dangers-de-la-pma-et-de-la-gpa-commerciales-1-3.html

Le troisième volet de cet article traitera de la PMA et de la GPA face au mouvement LGBT :

Vous retrouverez la suite de cet article dans la troisième partie : « Bioéthique – Les immenses dangers de la PMA et de la GPA commerciales (3/3) »

Des milliers de personnes à Paris réclament «la PMA pour toutes»

Samedi dans les rues de la capitale, le mot d'ordre de la Marche des fiertés était «PMA sans condition ni restriction».

La 40e édition de la Marche des fiertés, qui se tenait samedi après-midi à Paris, avait pour mot d'ordre «PMA sans condition ni restriction». La procréation médicalement assistée (PMA) est aujourd'hui accessible aux seuls couples hétérosexuels.

» À la Gay Pride, elles veulent la PMA pour toutes «maintenant»

 

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