Des Suisses – avec UNIA fonctionnant comme un parti politique – participent à une campagne contre l’État d’Israël

Cenator: Voici une campagne mensongère et calomnieuse, pareille à celle que la Gauche avait menée contre l'Afrique du Sud (boycotts, hystéries incessantes des ONG, des milieux académiques et politico-médiatiques), alors que l'Afrique du Sud était en train de se « démocratiser », et planifiait des changements en douceur, tout en voulant préserver la sécurité des personnes et des biens de tous les habitants du pays.

Le résultat, nous le connaissons. Beaucoup de fermiers blancs sont torturés, massacrés par des Noirs avec cruauté, pillés, chassés des terres de leurs ancêtres, privés de leurs droits. Par ailleurs, les Blancs subissent des lois racistes anti-Blancs et des humiliations. Beaucoup, après ces exactions, ont dû fuir, sont devenus des réfugiés que la communauté internationale et les ONG redresseuses de torts refusent de voir, ou contemplent avec une totale indifférence, comme si ces horreurs n'étaient qu'une forme de justice. Alors que l’Afrique du Sud s’enfonce dans une insécurité jamais connue et une régression économique, deux tendances hautement préjudiciables à tous.

Nous ne doutons pas une seconde que beaucoup souhaitent aux Israéliens le même sort que celui fait aux Boers (le sort misérable des Noirs, ils s’en fichent royalement), et les islamo-gauchistes qui sont dans nos universités se trouvent de nouveau au premier plan. Mais ils ne sont pas les seuls...

Cette campagne « anti-Israël », montée de toutes pièces par toutes sortes d’organisations subventionnées (par Soros, etc), va probablement tenter d’occuper le devant de la scène médiatique au maximum.

Par contre, aucune remise en question de la dilapidation de l'argent des contribuables n'est possible quand il s’agit de l’aide financière pour les réfugiés palestiniens, ces « réfugiés professionnels » de père en fils, ne voulant/pouvant pas quitter ce statut, commode à plus d’un titre, et échapper au règne de la corruption et de chefs tyranniques et cruels.

Et en pleine pandémie covid et crise économique majeure: [...] La Suisse continuera de soutenir l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA).

Le Conseil fédéral a décidé mercredi de lui accorder 40 millions de francs pour 2021 et 2022, une aide comparable à celle apportée jusqu’à présent. [...]
Le Conseil fédéral a décidé mercredi de lui accorder 40 millions de francs pour 2021 et 2022, une aide comparable à celle apportée jusqu’à présent. [...]

*****

[...] Le DFAE prévoit effectivement d'allouer 30 millions de francs par an pour la période 2015 à 2018, mais cette somme représente le budget annuel pour l'ensemble des activités de la Suisse dans tout le Territoire palestinien occupé, constitué de Gaza et de la Cisjordanie y compris Jérusalem-Est. Ces fonds seront destinés aux activités financées par la Suisse dans les domaines du développement, de l'aide humanitaire, et de la promotion de la paix. Le DFAE ne prévoit pas de s'engager à grande échelle dans la reconstruction de la bande de Gaza.[...]

***

Notre contributeur, Antoine : […] Ismail Haniyeh et Khaled Mashaal, disposaient d’une fortune personnelle évaluée à 9 milliards de dollars ; Mahmoud Abbas était estimée à 200 millions de dollars. »
Cette situation malsaine dure depuis trop longtemps !
L’enrichissement de ces dirigeants terroristes doit être dénoncé et porté à la connaissance du peuple palestiniens.
L’utilisation de civils embrigadés depuis des décennies doit prendre fin. Les sommes faramineuses de ces  »aides » doit cesser.
Pas d’argent, pas de corruption, pas de guerre … Le nerf de la guerre : l’argent !!

***

Soros - ong - 257 millions également versés à l'autorité palestinienne, utilisés notamment pour aider les familles des terroristes tués et emprisonnés

https://www.valeursactuelles.com/societe/comment-lunion-europeenne-finance-des-ong-radicales-du-reseau-de-george-soros-129308

*******

https://www.cath.ch/newsf/geneve-des-suisses-temoignent-des-souffrances-du-peuple-palestinien-a-gaza/https://lecourrier.ch/2018/04/05/de-lapartheid-disrael/

swissinfo: Rebekka Wyler: «Il est important de faire la différence entre antisémitisme et antisionisme»

*****

Radio Lac: «Israël pratique un régime d’apartheid»

Dans le cadre de la semaine qui mène à la journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale de ce dimanche 21 mars, le collectif AFZ Genève lance la campagne zone libre d’Apartheid israélien. La démarche s’inspire du mouvement anti-apartheid en Afrique du Sud mené par l’ANC. Une cinquantaine de lieux genevois ont signé la Déclaration zone libre d’Apartheid israélien. 

Israël pratique – à l’égard des Palestiniens – un Apartheid comparable à celui que pratiquait l’Afrique du sud. C’est ce que dénonce le collectif Apartheid zone libre à Genève et un rapport de l’ONU datant de 2017, tout comme l’ONG B’tselem en 2021. Le collectif lance une campagne à l’occasion de la journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale du 21 mars.

Une cinquantaine de lieux culturels genevois, associations, magasins, syndicats et cafés ont déjà adhéré à la Déclaration suisse Apartheid zone libre.

L’idée est de rendre visible la cause palestinienne et de rappeler qu’en Israël, la ségrégation est institutionnalisée.
Ecoutez Mona, étudiante en psychologie et membre du collectif AFZ.

source, audio: https://www.radiolac.ch/actualite/a-geneve-un-collectif-denonce-lapartheid-que-subissent-les-palestiniens/

*******
La cause "palestinienne" fait partie de l'intersectionnalité des luttes.
La haine du juif est de nouveau métaphysique et devient extrêmement dangereuse. La toute récente incrimination d'Israël par la Cour pénale internationale de La Haye n'est que la partie visible de l'immense iceberg d'hostilité structurelle dont font preuve nombre de pays du Vieux-Continent vis-à-vis de l'Etat juif depuis des décennies. Pour en parler, Richard Darmon s'entretient cette semaine avec le Pr. Shmuel Trigano, philosophe, sociologue et auteur de plus d'une trentaine d'ouvrages sur le judaïsme et Israël.

 

******

lecourrier.ch - 2021/03/15/

«Israël pratique un régime d’apartheid»

Les amis des Palestiniens vont lancer une nouvelle campagne de solidarité, "Apartheid Free Zones". Unia Genève soutient cette initiative inspirée de la lutte de l’Afrique du Sud

Les amis du peuple palestinien s’apprêtent à lancer une nouvelle campagne de solidarité, «Apartheid Free Zones» (lire ci-dessous). Dans une situation catastrophique, les Palestiniens ont plus que jamais besoin d’un soutien international, explique Mary Honderich, l’une des chevilles ouvrières de la démarche à Genève. Interview.


Avec les événements des derniers mois, on a un peu oublié les Palestiniens. Quelle est la situation économique et sociale aujourd’hui en Palestine?

Catastrophique. En Cisjordanie, plus de 70 ans d’une occupation caractérisée par une expropriation massive des terres, la colonisation et le mur d’apartheid ont détruit l’économie. Le taux de chômage est de 25%, les femmes et les jeunes étant les plus touchés. A Gaza, soumis à un blocus depuis 13 ans, le chômage atteint 60%. Des experts de l’ONU estiment que Gaza sera invivable d’ici à quinze ans.

Dans les Territoires palestiniens occupés (TPO), la politique israélienne poursuit deux buts: d’une part, accaparer le plus possible de terres et de ressources naturelles, en particulier l’eau, en chassant les Palestiniens de leurs sols et de leurs villages et, d’autre part, implanter le plus possible de colons sur cette terre volée. Actuellement, il y a plus de 650000 colons établis illégalement sur le territoire. L’économie locale étant étranglée, les travailleurs palestiniens deviennent de fait une main-d’œuvre bon marché, corvéable à merci et condamnée à acheter des produits israéliens.

Comment font-ils pour survivre?

Aujourd'hui, environ 100000 Palestiniens travaillent en Israël, en grande partie dans la construction. Il faut ajouter à cela environ 20000 travailleurs clandestins qui ne figurent pas dans des statistiques officielles. Les permis de travail, s’ils peuvent en obtenir un, sont émis au nom de l’employeur qui peut ainsi exercer des pressions sur les salaires et les conditions de travail. Ce n’est pas sans rappeler à certains égards le statut des saisonniers dont le permis dépendait de la volonté de leur employeur, que nous avons connu en Suisse.
Environ 40% des travailleurs palestiniens doivent passer par des intermédiaires pour obtenir ce permis. En contrepartie, ces derniers prélèvent un pourcentage sur leurs salaires. Et tous doivent se lever avant l’aube pour faire la queue aux postes de contrôle pour se rendre à leur travail.

D’après la loi du travail israélienne, les travailleurs palestiniens devraient bénéficier des mêmes salaires et des mêmes assurances maladie et accidents que les Israéliens. Ils cotisent d’ailleurs pour leur retraite, 10% de leurs salaires sont prélevés et versés dans un fonds de pension géré par une agence gouvernementale. Cet argent de la prévoyance sociale devrait être reversé à une agence palestinienne, mais le Gouvernement israélien le garde comme une sorte de rançon. Les travailleurs palestiniens ne perçoivent donc aucune prévoyance sociale ni remboursement. C’est un vol pur et simple de plusieurs milliards de francs. Le Bureau international du travail dénonce cette situation depuis des années.

A cela, il faut ajouter environ 30000 Palestiniens qui, n’ayant pas d’autres possibilités, travaillent dans la construction et l’agriculture des colonies établies illégalement dans les TPO. Bien que la loi du travail israélienne s’applique là aussi, les conditions de travail des Palestiniens sont désastreuses. Il n’y a pas de salaire minimum, pas d’assurance maladie ou accidents. C’est un déni des droits élémentaires de ces travailleurs qui ne reçoivent souvent que 8 francs pour une journée de travail dans les champs. De plus, on estime qu’un millier d’enfants de moins de 16 ans travaillent dans l’agriculture.

Les syndicats ne peuvent-ils pas intervenir?

D’une part, la grande centrale syndicale israélienne Histadrout est aussi l’un des plus grands employeurs en Israël même. Elle donne la préférence aux travailleurs hébreux, excluant ainsi 20% de la population*. D’autre part, alors que Histadrout refuse de syndiquer et de défendre les travailleurs palestiniens des TPO, elle prélève néanmoins 1% de leurs salaires pour «frais de fonctionnement» sans aucune contrepartie de leur part. C’est l’équivalent de la contribution professionnelle connue notamment dans les métiers du bâtiment en Suisse. Les syndicats palestiniens, eux, ne peuvent pas agir en Israël, ni dans les colonies des TPO. Cependant, il y a plusieurs associations israéliennes, dont Kav LaOved, qui défendent les travailleurs victimes de la discrimination raciste en Israël, soit les Palestiniens citoyens d’Israël et des TPO, les immigrés et les réfugiés. Elles font un travail admirable, mais c’est une tâche titanesque, et n’ont que peu de moyens.

La situation des travailleurs palestiniens reflète un système global où un groupe opprime un deuxième groupe de manière systématique et institutionnalisée dans le but de maintenir cette oppression. C’est la définition même de l’apartheid. Si l’apartheid était inacceptable en Afrique du Sud au XXe siècle, il est toujours aussi inacceptable et intolérable aujourd’hui en Israël. La Coalition des syndicats palestiniens demande de l’aide au nom de la solidarité internationale des travailleurs pour mettre fin à ce régime d’apartheid.


*Selon le dernier rapport de la mission annuelle du Bureau international du travail en Israël et dans les TPO, Histadrout aurait «modifié ses statuts de manière que les travailleurs palestiniens exerçant en Israël soient maintenant habilités à devenir membres à part entière» (ndlr).

«Un parallèle évident avec l’Afrique du Sud»

Après la campagne «Boycott – Désinvestissement – Sanctions» (BDS), les amis des Palestiniens préparent une nouvelle initiative, «Apartheid Free Zones».

Inspirée de la lutte anti-apartheid de l’Afrique du Sud, la démarche aborde cette fois la question palestinienne sous l’angle de la dénonciation d’une forme de racisme institutionnalisé.
Une déclaration engage ses signataires à le condamner et à ne pas s’en montrer complices en refusant de coopérer avec des entreprises et des institutions qui contribuent à sa préservation.

En Suisse, l’initiative, qui devrait être officiellement lancée dans le courant du mois de mars, se développe pour le moment dans les cantons de Berne et de Genève. Au bout du lac, une quarantaine d’organisations l’ont déjà signée.

Le comité régional d’Unia Genève a ainsi décidé d’apposer la signature du syndicat. De même que le Centre Europe – Tiers Monde (Cetim). «Nous pensons que la solidarité envers la question palestinienne devrait être prioritaire pour toute organisation qui porte des idéaux d’égalité et de justice», explique le directeur du Cetim, Melik Özden. Mais existe-t-il vraiment un régime d’apartheid en Israël et peut-on raisonnablement comparer cet État à l’ancien régime sud-africain? «Si nous analysons le régime d’occupation imposé par Israël dans les territoires occupés à la lumière des définitions du terme d’apartheid telles qu’énoncées par l’ONU dans la Convention internationale sur l'élimination et la répression du crime d'apartheid et par la Cour pénale internationale, le crime d’apartheid perpétré par les forces d’occupation israéliennes est sans équivoque», répond le responsable de l’ONG. En 2017, une commission de l’ONU était arrivée à la même conclusion, mais son rapport avait été retiré sous pression américano-israélienne. «En Palestine, l’apartheid est constatable par la nature du régime d’occupation militaire, avec la construction du mur de séparation, les check-points, la guerre et la répression contre le peuple palestinien. Ce système raciste et belliciste permet, entre autres, l’expropriation des terres, la démolition de villages et de maisons palestiniennes, le détournement des ressources naturelles en faveur des colonies israéliennes ou l’impossibilité pour les Palestiniens d’accéder aux terres.» En Israël même, les Palestiniens font face à des obstacles administratifs et légaux qui les relèguent au statut de «citoyens de seconde zone».

«Selon la loi israélienne, un Palestinien jouit de moins de droits qu’un Juif.

La loi sur la propriété territoriale par exemple atteste que la terre d’Israël n’appartient qu’au peuple juif.

Les Palestiniens d’Israël n’ont pas le droit d’acheter ou d’échanger des terres.» Pour Melik Özden, ces politiques discriminatoires s’inscrivent dans un «plan de nettoyage ethnique de la Palestine» et il existe donc bel et bien «un parallèle évident entre la situation en Palestine et l'apartheid en Afrique du Sud, puisque la situation découle des mêmes racines et des mêmes motivations».

Il espère que l’initiative «Apartheid Free Zones» sera plus visible que la campagne BDS et qu’elle pourra ainsi dégager des «résultats positifs en faveur de la lutte existentielle du peuple palestinien». «Un magasin, une commune ou un individu peut adhérer à cette campagne, autant sur le plan moral qu’en bannissant de ses achats des produits fabriqués dans des territoires occupés illégalement.»

Déclaration et infos sur: apartheidfree.ch

source: https://www.evenement.ch/articles/israel-pratique-un-regime-dapartheid

The Untold Story of South African Land Reform and Farm Murders