Celui qui poste des slogans xénophobes sur Facebook met en danger le contact avec son propre enfant.
Il n'y a pas besoin que cela soit un délit pour qu'un tribunal considère que le bien-être de l'enfant est en danger.
"Le facteur décisif est le bon sens», déclare Eva Becker, présidente du Groupe de travail sur le droit de la famille de l'Association du Barreau allemand (DAV).
Celui qui dit qu'il préférerait qu'il n'y ait pas de réfugiés syriens dans son voisinage ne nuirait pas au bien-être de l'enfant. Si un père ou une mère exprime ouvertement devant l'enfant une menace contre les réfugiés, il dépasse clairement la limite critique.
Si le parent concerné se montre déraisonnable ou qu'il ne change pas son comportement, le contact avec l'enfant peut lui être totalement refusé.
Source Traduction Schwarze Rose pour les Observateurs.ch