2-Ne soyons plus des cibles faciles. Nos lieux militants non sécurisés, nos rassemblement non défendus, nos tractages ou collages en petites équipes sont autant de cibles faciles pour les fachos en embuscade. Organisons nous pour ancrer durablement au quotidien la réalité de la menace fasciste. Prenons en compte l’arsenal d’armes à feux que les nazillons possèdent. Adaptons-nous aux risques liés à la détention (et au fantasme) d’armes chez les fachos. Pour réagir face à ça, il semble important de réfléchir à ce point de discorde que constitue notre rapport à la violence, en se souvenant que cette dernière n’est pas que masculiniste, mais que tous.tes peuvent se la réapproprier dans la lutte.
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6-Identifions les ! Souvenons-nous que l’extrême-droite n’est pas un mouvement diffus et mystérieux, ces gens vont faire leurs courses et vivent à coté de nous (certes pas dans les mêmes quartiers). Nos facs, nos lieux de travail ou encore le centre-ville sont autant de lieux où l’on peut activement les déranger.
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9-Brisons le tabou : Oui, nos actions, nos campagnes, DOIVENT être efficaces. Il est temps de cesser de militer au grès de nos « envies » de nos désirs, etc… Le temps passe, l’extrême-gauche est toujours aussi marginale quand les fascistes alignent leur meilleure équipe de Goebbels (propagandiste nazi du 3e Reich) sur toutes les chaînes les plus regardées du pays : leur audience et leur capacité de diffusion d’idées est gigantesque. Nous devons peser dans l’opinion publique par des actions coups de poings, des campagnes massives et coordonnées.
La horde
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