Par Joseph Facal
Le débat sur la liberté académique et la censure dans nos universités est bien lancé.
Deux incompréhensions majeures subsistent toutefois dans le grand public.
La première est de croire que ce fanatisme se limite aux étudiants. Faux, il est aussi partagé par beaucoup de professeurs.
La deuxième est de croire que c’est un mouvement superficiel et passager, alors qu’il est profond, en gestation depuis des décennies, porté par une apparence de cohérence globale, comme le marxisme de jadis, auquel il emprunte beaucoup.
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