Affaire Mila : la mauvaise foi de la patronne des Inrocks pour justifier son silence

Pour justifier le silence de sa rédaction au sujet de l’affaire Mila, la rédactrice en chef des Inrocks a invoqué un changement de ligne éditoriale, “recentrée sur la culture”…

Les médias de gauche, d’ordinaire si volubiles, se font étrangement silencieux depuis l’éclatement de l’affaire Mila. La plupart d’entre eux (pour ne pas les citer : Le MondeTéléramaLes Inrocks, Mediapart, Libération…) ont fait le choix d’aborder le sujet avec parcimonie, n’y consacrant qu’un ou deux articles, comme le fait remarquer le site Arrêt sur images. Et pour justifier cette position, certains médias ont fait preuve d’une mauvaise foi certaine.

Une couverture sur Trump en janvier

C’est notamment le cas des Inrocks, dont la rédactrice en chef Marie Kirschen, a été contactée par le site. Sans complexe, elle l’assure : « On s’est vraiment recentrés sur la culture il y a un peu plus d’un an, il y a beaucoup moins de papiers sur des thématiques sociétales ou politiques ». Un rapide coup d’œil sur le site internet du magazine suffit à constater qu’il s’agit là d’une très mauvaise excuse. « Quand le coronavirus rime avec racisme anti-asiatique »« L’énorme coup de gueule de Ruffin contre LREM »« 10 preuves que la grève à la française a de la gueule » ou encore « A Calais, les migrants prennent le large par désespoir » : la plupart des articles de la rubrique « actu » parlent… de politique et de société.

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Valeurs Actuelles

Arash Derambarsh, élu de Courbevoie: “Le patron des Inrocks (média de gauche) m’a menacé dans l’affaire Mehdi Meklat.”

Où l'on apprend quelle est la nature exacte du patron de ce média de gauche et dont le Décodex, outil de référence du journaliste de la RSR Pierre Crevoisier, fait l'éloge:

Décodex

Nul besoin d'un "Décodex" stupide et faisandé pour constater que ces médias et ces individus se soutiennent mutuellement sur une base idéologique commune.

Mais plus encore, l'affaire Mehdi Meklat n'est guère diffusée par les médias romands. Imaginez un seul instant si ces tweets émanaient d'un élu FN. Nul doute qu'une cabale aurait été lancée par ceux-là mêmes qui se taisent aujourd'hui alors qu'ils s'excitent au moindre tweet de Donald Trump. 

Enfin, on rappelle que le personnage principal de cette affaire travaille au Bondy Blog, média en ligne qui faisait le fierté de feu l'Hebdo. Dès lors, personne ne sera surpris de constater que notre presse évite soigneusement le sujet: il s'agit de ne pas égratigner les petits copains de la profession.

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Arash Derambarsh, Conseiller Municipal de Courbevoie, affirme avoir été menacé par le patron des Inrocks, Pierre Siankowski, après s'être ému de la Une du journal avec Mehdi Meklat dont plusieurs tweets antisémites ont refait surface ces derniers jours.

Selon le paparazzi Jean-Claude Elfassi qui révèle l'info, le patron des Inrocks aurait téléphoné à l'élu et aurait proféré plusieurs menaces.

Jeanmarcmorandini.com a joint en exclusivité Arash Derambarsh, élu LR de la ville de Courbevoie, qui nous a expliqué:

"Après les retweets de messages dénonçant la Une des Inrocks avec Medhi Meklat sur mon compte Twitter, Pierre Siankowski, patron du journal, m'a contacté par téléphone en me disant:

"Reste en dehors de tout ça, sinon on va publier des trucs sur toi dans le magazine""

Et d'ajouter:

"C'est là que ça a confirmé ce que je pensais, "Les Inrocks" est devenu un magazine de propagande.

Et Pierre Siankowski s'en sert à des fins personnelles pour placer ses amis et les défendre, mais aussi et surtout pour démolir des personnalités.

marine

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J'envisage de porter plainte ou de faire une main courante.

Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que ce journal utilise des méthodes peu déontologiques pour abattre des personnalités qui ne conviennent pas à leurs idées.

Les Inrocks sont coutumiers de ce genre d'approximation et de diffamation, exemple iciavec cet article ."

Il mandate alors des journalistes qui doivent aller chercher les rumeurs les plus dégueulasses pour les publier sans aucune vérification."

Depuis plusieurs heures, le directeur des Inrocks est lui même dans la tourmente accusé d'avoir menti en affirmant qu'il ne connaissait pas Medhi Meklat et ses propos sur Twitter, alors que des dizaines d'échanges sur Twitter ont été retrouvés par les internautes.

De plus, Pierre Siankowski affirmait ne pas connaître Mehdi avant Mai 2012, alors que les deux hommes plaisantaient et échangeaient déjà ensemble en 2011...

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