Il est interdit d’utiliser des thérapies pour contrer l’épidémie de transgenres qui se répand par les réseaux sociaux

Première vidéo

Dennis Prager reçoit Abigail Shrier pour parler de son nouveau livre Irreversible Damage: The Transgender Craze Seducing Our Daughters.

AS: Le livre parle de l’épidémie d’identification transgenre qu’on observe actuellement chez les adolescentes.

Ce sont des filles qui n’ont eu aucun symptôme antécédent de dysphorie de genre durant dans leur enfance. Et tout à coup, à l’adolescence, à travers les réseaux sociaux, l’idée de changer de genre se répand pas mimétisme parmi elles. Soudainement, dans un groupe d’amies, elles décident qu’elles sont transgenres et elles réclament des  hormones et des interventions chirurgicales. Ce phénomène a explosé en Occident : Scandinavie, Angleterre, Etats-Unis. Cela réclame absolument une explication.

On connaît depuis cent ans la dysphorie de genre, mais jusqu’ici il s’agissait toujours des garçons qui voulaient devenir filles. Dès l’âge de deux à quatre ans, des garçons disent : je suis une fille, appelez-moi par un nom de fille, je ne veux jouer qu’avec des filles. Maintenant, depuis une dizaine d’années, il s’agit d’adolescentes, elles exhibent fièrement cela sur internet, elles appellent cela dysphorie de genre, mais ça n’y ressemble pas. Ce sont des filles qui se plongent dans les réseaux sociaux, qui regardent des gourous du transgenrisme et des . Sur Instagram, Faceboo, TikTok, elles décident entre amies qu’elles sont trans.

Les nombres sont stupéfiants : des milliers de pour cent d’augmentation en dix ans aux Etats-Unis. On est passé de 2 cliniques spécialisées dans le pays à 50. Entre 2016 et 2017, le nombre des chirurgies de genre pour les personne nées filles a quadruplé.

DP: Si ma fille a 15 ans et dit : ‘Papa, Maman, en réalité je suis un garçon’, est-ce que j’ai légalement le droit de l’envoyer en psychothérapie pour qu’elle puisse travailler là-dessus et garder son identité de fille, ou est-ce contraire à la loi?

AS: C’est une des raisons du problème. C’est la cooptation dans les organisations médicales. Dans 18 États, les “thérapies de conversion” pour homosexuels sont interdites [n.d.t. : en Europe également]. Et maintenant des activistes, de manière très habile, ont ajouté du jargon d’identité de genre de telle façon que les thérapeutes ne peuvent plus aider un enfant à être à l’aise avec son sexe biologique, partout où ces lois s’appliquent, sinon ils risquent de perdre leur autorisation d’exercer.

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Pendant des décennies et des décennies, les thérapeutes ont eu de très bons résultats en aidant les enfants à accepter leur genre biologique.

DP: Est-ce que la dysphorie de genre est encore dans le DSM?

AS: Oui, mais certainement plus pour longtemps. Ils ont déjà changé le nom: on disait auparavant “désordre de l’identité de genre”, on dit maintenant “dysphorie de genre” pour éviter le mot “désordre” dans le  nom lui-même, même s’il figure dans la symptomatologie.

Deuxième vidéo :

AS: Selon le Center for Disease Control, 2 % des élèves de high schools s’identifient actuellement comme transgenres. C’est une augmentation massive. Auparavant, ce chiffre était de  0,01 %.

DP: Si une fille de 15 ans dit: ‘Je suis un garçon, je veux qu’on m’enlève le seins’, trouvera-t-elle un chirurgien pour le faire?

AS: Oui: l’âge du consentement pour les traitements médicaux est 15 ans en Oregon.

J’ai parlé à des médecins qui ont enlevé les seins à des filles de 16 ans. La pression culturelle est si forte, il y a tellement de mensonges à ce sujet... Un médecin ne devrait pas détruire les fonctions biologiques saines de quiconque. C’est le serment d’Hippocrate.

Tout cela est basé seulement sur des autodiagnostics vagues – car c’est avec cela que les jeunes filles arrivent. Les médecins croient bien faire, car ils voient comme ces filles sont heureuses et enthousiastes après l’opération. Nous avons laissé ces mensonges continuer et ils pensent qu’ils les ont sauvées du suicide. C’est faux.

De nombreux autres traitements suivent, L’homme et la femme sont biologiquement très différents, donc la chirurgie ne finira jamais.

Voir aussi:

http://townhallreview.com/2020/06/irreversible-damage-the-transgender-craze-seducing-our-daughters-dennis-prager-with-abigail-shrier/ (audio 24:45)

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