Les patrons des industries d’armement françaises, ce sont les Arabes

Si le conflit russo-ukrainien se produisait en France (via l’attaque d’un autre pays contre notre patrie), Macron et ses sbires, à bout de souffle, seraient obligés de solliciter le Qatar et les émirats arabes unis, qui ont racheté la quasi-totalité des industries d’armement français. Vous imaginez un instant le scénario ?

Un an après l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, le fabricant de machines de munitions Manurhin, ex-fleuron de l’armement français, a été cédé au groupe de défense des Emirats Arabes Unis Edic (Emirates Defense Industries Company).

Mulhouse : Manurhin repris par un groupe de défense des Emirats …

Dès l’annonce, après que d’autres entreprises soient tombées dans l’escarcelle des monarchies arabes les plus radicales, qui financent la construction de mosquées intégristes en France, la rédaction de Riposte Laïque a dénoncé ce scandale mettant en péril la sécurité nationale de notre pays.

Mulhouse : l’armurier Manurhin bradé aux Emirats …

https://ripostelaique.com/mulhouse-larmurier-francais-manurhin …

Nous insistions à l’époque sur les défaillances de l’état, car aucun autre grand pays, de la Russie eux Etats-Unis n’auraient permis une telle mainmise sur un fleuron essentiel de notre armement, sur une entreprise stratégique qui fabrique les munitions flèches. Ce fut un coup dur pour l’industrie d’armement française ! Pire : un scandale. En plein mois d’août, alors que les deux tiers du pays sont en vacances, la chambre commerciale du tribunal de grande instance de Mulhouse (Haut-Rhin) a décidé « que le fabricant de machines de munitions Manurhin, ex-fleuron de l’armement français, fabricant historique des pistolets de la Police, sera repris par le groupe de défense des Emirats arabes unis Edic (Emirates Defense Industries Company) », selon le greffe de la juridiction joint ce 16 août par téléphone. Alors que plusieurs repreneurs français solides ou européens étaient sur les rangs. Fondé en 1919, Manurhin s’était rendu célèbre avec la fabrication des revolvers de la police nationale, activité aujourd’hui abandonnée au profit de la production de machines de cartoucherie. L’offre de reprise de l’émirati Edic prévoit de conserver 104 des 145 employés que comptait l’entreprise au moment de la mise en redressement judiciaire.

Bien sûr, cette entreprise connaissait de grosses difficultés financières depuis trois ans. Société stratégique travaillant pour la Défense Nationale, Manurhin aurait dû être repris par l’État. Du moins, c’est ce qui se passe dans n’importe quel grand pays de l’Ouest, de l’Est ou du continent américain. Car, jusqu’à présent, Manurhin avait un actionnariat 100 % français.

Les ateliers d’armement Manurhin à Mulhouse à l’époque où des salariés français fabriquaient sur place le fameux pistolet, les munitions pour nos mitrailleuses et nos chars. Repris par les Emirats arabes unis, suite à une décision du tribunal de Mulhouse, les fabrications ont été transférées dans le Golfe Persique.

Le made in France résiste aux pétrodollars

Le made in France résiste sur le terrain dans de très nombreux secteurs et s’ouvre petit à petit à des budgets plus raisonnables.

Bien plus qu’une tendance, c’est un état d’esprit et la volonté de défendre ou de maintenir un savoir-faire français qui ont motivé les entreprises à s’implanter, à rester ou à relocaliser leurs productions en France.

En matière d’armement, la société stéphanoise VERNEY-CARRON est l’une des rares entreprises de ce secteur à avoir résisté à la « mainmise » de l’étranger. La société stéphanoise VERNEY-CARRON, faiseur de fusils d’excellence depuis 1820, dont les actions sont admises aux négociations sur le marché Euronext Access à Paris a réussi à se protéger des ingérences étrangères. Son secret ? Une multitude de petits actionnaires français, souvent des chasseurs, et un capital réparti en 444 366 actions avec 856 090 droits de vote.

Contacté par téléphone, un cadre dirigeant de Verney-Carron SA, qui préfère conserver l’anonymat, lâche, «Le scénario de Manurhin est inimaginable chez Verney-Carron, créée en 1820 par le quadrisaïeul du dirigeant actuel. La société Verney-Carron est une société française implantée à Saint-Étienne, capitale de l’armurerie française. Outre son activité pluriséculaire de fabrication d’armes de chasse par L’Atelier Verney-Carron (armes de chasse artisanales de luxe réalisées sur mesure) et La Manufacture Verney-Carron (large gamme de fusils et carabines de chasse fabriqués en série), Verney-Carron SA a su se diversifier pour proposer une solution globale à la létalité atténuée autour du Flash-Ball avec Verney-Carron Security et pour s’adresser aux marchés militaire et policier avec des armes précises et efficaces avec VCD (Verney-Carron Defense). »

Dans les secteurs non militaires, en Alsace, les scientifiques mulhousiens de la biotech Cellprothera ont une longueur d’avance. En effet, ils ont mis au point une solution médicale révolutionnaire permettant de régénérer des tissus du cœur endommagés par un infarctus, grâce à l’injection de cellules souches récupérées via une simple prise de sang du patient (Actuellement en cours d’essai clinique phase 2). Une 1ere mondiale et Made in France pour laquelle il a fallu développer un automate permettant de démultiplier les cellules souches récoltées. C’est chose faite en collaboration avec différents partenaires français qui font de cette technologie et cette solution, une prouesse 100% française. Plus d’information ICI

Dans le centre Val de Loire, à Saint Jean de la Ruelle, à côté d’Orléans, une entreprise fondée en 1931 innove sans relâche pour le confort thermique des maisons. Faisant évoluer ses gammes de produits au gré de l’évolution des styles de vie, les ingénieurs de l’entreprise Thermor conçoivent plus de 500 références design et connectées à consommation intelligente.

En 2019, la marque presque centenaire, sort son dernier modèle de radiateur électrique nommé « Equateur 4 », labélisé d’Origine France Garantie. Une fierté pour le constructeur et ses équipes. Un savoir-faire bien français. Plus d’information ICI

Enfin au bord du Rhône, depuis 1993, AST Groupe s’est construit dans l’objectif de devenir l’un des leaders de la construction en ossature bois. Pour cela ils ont développé une activité de promotion immobilière et de création de maisons neuves et d’appartements neufs dans toute la France. « Troisième constructeur de maison de l’hexagone, AST Groupe bénéficie désormais d’un rayonnement national au travers de ses 9 marques de maisons individuelles et d’une marque de studio de jardin / d’agrandissement de la maison et de bientôt 60 établissements franchisés. Son usine POBI à La Charité-sur-Loire (Nièvre, 58) est unique, les maisons en ossatures bois y sont construites et assemblées, ce qui est rare dans ce secteur. Elle symbolise l’innovation made in France au service de la construction » nous précise Antoine Monnier de l’Agence Médiatiser.TV . Plus d’informations ICI

On l’a compris, à la lumière des explications passionnées fournies, les prédateurs de tout poil s’acharnent pour dépecer la France. Heureusement, certaines entreprises résistent.

Disparitions de nos fleurons industriels : et cela continue !

2 mai 2020 - par

Tous plus nuls les uns que les autres, nos Présidents. Tous incapables de garder français les fleurons de nos industries. Mais ils servent à quoi, bon  sang de bon sang !!

J’ai été alertée par mon ami Patrice sur un fait que j’estime grave : c’est à l’étranger que l’on confie la tâche d’armer nos troupes. Par un communiqué de presse de janvier 2020, Florence Parly annonçait  le renouvellement de près de 75 000  pistolets semi-automatiques. Et qui allait les produire ? Les Français ? Que nenni ! Les Autrichiens. La société autrichienne Glock alliée aux sociétés tchèque Sellier et Bellot pour les munitions, et américaine UTM pour les kits d’entraînement. Merci pour les emplois en France, Messieurs-dames du gouvernement. Merci pour nos travailleurs. Déjà ces armes de guerre employées contre des civils non armés que sont les lanceurs LBD provenaient, elles aussi, de l’étranger.

Mais ils n’ont fait que cela, démanteler notre tissu industriel !  Allez, et sans que cela soit exhaustif car j’en ai oublié des quantités, voyons les catastrophes Présidence par Présidence.

PRÉSIDENCE MITTERRAND :

C’est Petit Navire qui fout le camp en 1990, happée comme un petit poisson par le géant thaïlandais de la conserve Thaï Union. L’une des conserveries est encore à Douarnenez. Pourvu qu’elle y reste.

PRÉSIDENCE CHIRAC :

 Bye bye Vico, le roi de la pomme de terre, né en Picardie. Monsieur Patate est devenu allemand puisque racheté en 1998 par Intersnack, numéro 2 des chips et biscuits en Europe. Bon, Vico est encore produit en France, c’est toujours ça. Mais pour combien de temps ?

Bye bye aussi Maille, notre chère moutarde, et nos vinaigres. La marque qui continue à être produite près de Dijon a été rachetée en 1999 par le géant anglo-hollandais Unilever, auquel appartiennent également les marques Planta Fi,  Amora, Alsa, Maïzena.

Continuons : Saupiquet, du nom de son inventeur, est devenue italienne en 2000, rachetée par le groupe Bolton qui possède aussi les marques Rogé Cavaillès, Sanogyl, UHU. Bon, l’Italie, c’est des amis, n’est-ce pas ?

Allez Chichi, voyons la suite.  En 2003  Pechiney, le premier groupe industriel privé de France, spécialisé dans l’aluminium, passe sous le contrôle  du canadien Alcan qui avait lancé une OPA hostile de 4 milliards d’euros. Lequel Alcan passe à son tour sous contrôle du géant minier anglo-australien Rio Tinto. Tout cela pour se débarrasser d’un concurrent gênant. Car Alcatel est démantelé et ses milliers de travailleurs balayés. Qu’a fait Chirac pour sauver un fleuron de notre économie ? Rien. Il aurait pu nationaliser pour garder les emplois. Il préférait aller manger de la tête de veau au salon de l’Agriculture en prétendant s’intéresser à nos entreprises.

Mais ce n’est pas tout. En 2006,  Arcelor, autre fleuron de notre économie, européen celui-ci, est absorbé par l’indien Mittal après une autre OPA hostile. Avec comme terrible résultat la fermeture de l’aciérie de Gandrange en Moselle en 2009, sous le Président suivant. Bravo messieurs !

Et en 2006 également les Chantiers de l’Atlantique, reste de ce qui fut une gloire de la France, basés à Saint-Nazaire, passent sous le contrôle du norvégien Aker Yards par Alstom, puis sous celui du Sud-Coréen STX Shipbuilding en août 2008. Ce sera un échec cuisant.

PRÉSIDENCE SARKOZY :

Ah la bière française ! La Kronenbourg ! Mais la Kronenbourg n’est plus française depuis son rachat en 2008 par le Danois Carlsberg, propriétaire également de la Tourtel. Bon, c’est moins grave que pour Pechiney et Arcelor, on continue de la produire à Obernai dans le Bas-Rhin.

Allez, c’est au tour de Bénédicta, presque centenaire, de passer la même année dans les griffes de Heinz, le géant américain des sauces et du ketchup.

Et pour faire bonne mesure, toujours durant cette terrible année 2008, les investisseurs chinois se jettent  tels des vautours et pour des années sur les vignobles de France. La chanteuse chinoise milliardaire Vicki Zhao Wei s’est offert Saint-Émilion en 2011, le château Monlot, et le château Patarabet. Depuis 2008, au moins 75 propriétés ont été rachetées par les Chinois. Une seule consolation : ils ne peuvent pas ramener en Chine les châteaux eux-mêmes et surtout les terres.

PRÉSIDENCE HOLLANDE :

 En 2012 le site de Florange est menacé. Mais Hollande ne le sauvera pas par la nationalisation, et les deux haut-fourneaux ferment l’année suivante.

Encore en 2012  Gefco,  l’ancienne filiale logistique de PSA, est rachetée par RZD, les  chemins de fer russes, et perd une bonne partie de ses emplois.

En 2013 c’est Cochonou qui s’y colle. Racheté en 2013 par le géant mondial chinois WH Gropup, il passe en 2015 sous la bannière du groupe mexicain Sigma Alimentos qui détient aussi les marques. Aoste et Justin Bridou. Ben oui, le Justin Bridou, avec son béret, il n’est pas français du tout. Il faut maintenant l’imaginer avec un sombrero ou un chapeau de cow boy. Il y a d’ailleurs souvent  dans le domaine de la charcuterie, mais pas seulement,  un abus des appellations « produits de terroir » ou « made in France ». Les questions sont posées : d’où vient la viande qui compose les saucissons ? Quelles sont les conditions d’hygiène ? Un peu d’informations seraient les bienvenues.

2013 : si Teisseire continue de produire tous ses sirops dans son usine historique de Crolles en Isère, la marque est rachetée par le groupe britannique Britvic.

En 2014  ce fleuron qu’est Alstom, le spécialiste du transport ferroviaire et des systèmes de production d’énergie, passe aux mains de General Electric, mais avec des conditions particulières, dont un droit de regard de l’État.

En 2014 encore, la Seita qui fabriquait les cigarettes « Gauloise » a fermé les sites de Riom et Fleury-les-Aubrais, mettant ainsi près de 500 personnes au chômage, pour faire produire à l’étranger, en Tchécoslovaquie me semble-t-il.

En 2015  le Français Alcatel et l’Américain Lucent Technologies fusionnent avec des suppressions de postes et des cessions de filiales pour finalement être absorbés par le Finlandais Nokia, qui supprime également des postes.

La même année, Lafarge fusionne avec le Suisse Holcim. Rien d’autre à signaler là-dessus.

EN 2016 – Mais alors là, mes amis, vous allez ressentir la haine. On vous a déjà raconté comment l’usine française très performante qui fabriquait à Plaintel les masques chirurgicaux avait été rachetée par Honeywell en 2010 et démantelée en 2013 : https://ripostelaique.com/ces-criminels-ont-foutu-en-lair-lusine-a-masques-de-plaintel.html, nous privant de ce qui aurait été un grand secours par les temps qui courent. Il n’y aurait pas eu besoin d’attendre le 5 mai pour trouver – ou pas – les masques qui nous font tant défaut.

Eh bien sachez qu’en 2016, le Monsieur de l’Élysée qui rejoignait secrètement sa dulcinée à moto a laissé s’accomplir un autre crime : le laboratoire français Anios, sis à Lille et leader en France et en Europe du marché de la désinfection, en particulier dans la santé (hôpitaux et cliniques, fabriquant aussi des gels de désinfection, a été racheté par l’Américain Ecolab. Le géant industriel américain de l’hygiène industrielle. Qu’a fait Hollande pour s’y opposer ? Rien. C’était plus important d’aller conter fleurette à Julie.

PRÉSIDENCE MACRON :

En 2017 c’est Lu Utile qui passe à la casserole, c’est-à-dire qu’il est racheté par le groupe américain Kraft Foods/Mondelez  également propriétaire de Prince, Milka, Tuc et Mikado.

En 2019 Macron privatise l’aéroport de Toulouse-Blagnac, payé par les contribuables français qui sont alors volés, afin d’en revendre une partie aux Chinois…

Quant à Ducros, j’ai oublié depuis quand il se décarcasse pour le leader américain mondial des épices, Mc Cormick, qui possède aussi Vahiné. Citons aussi en vrac le Club Med et les transports Norbert Dentressangle, ce dernier devenu américain.

Alors ils peuvent y aller, à la présidence et au gouvernement, avec leurs discours lénifiants et leurs promesses d’aide aux entreprises. ILS N’EN PENSENT PAS UN MOT. Installés par l’étranger au pouvoir pour y accomplir une seule et unique tâche, instaurer le village-monde dont personne ne veut, ils essaient d’endormir par leurs discours la colère populaire.

Et peut-être tremblent-ils, tout en s’accrochant à leurs prérogatives, car ils savent – les syndicats de police et les analystes de la Défense l’ont dit, écrit et répété, que la sortie de crise, peut-être entre les deux vagues de Corona si ce qui est annoncé se vérifie, sera terrible.

S’ils veulent vraiment relancer l’économie, il n’y a aujourd’hui qu’un moyen : cesser de pressurer le peuple à coups d’impôts et de taxes. Comment voulez-vous relancer la consommation, qui seule pourrait booster la production et être favorable aux entreprises, en étouffant fiscalement toutes les générations de ce pays ? La solution : baisser les impôts, de beaucoup et non de quelques euros, et calmer l’Urssaf qui est responsable de la fermeture de 80 % des nouvelles entreprises et dont l’agressivité et la folie, je dis bien la folie, favorisent le travail non déclaré. Mais ils sont trop bêtes, trop imbus d’eux-mêmes, trop têtus pour y consentir. Ils refusent de voir que ce qu’ils refusent au peuple, le peuple le prendra lui-même. Quelle tristesse d’être gouvernés par des borgnes et des sourds !

Louise Guersan

source: https://ripostelaique.com/disparitions-de-nos-fleurons-industriels-et-cela-continue.html

“Johann Schneider-en-panne”, le tacle de Christian Levrat au président

Ndlr : Pour une fois, nous sommes d'accord avec Christian Levrat

Le président de la Confédération Johann Schneider-Ammann assiste au démantèlement de l'industrie suisse en restant les bras croisés, critique le chef de file socialiste Christian Levrat dans le Blick lundi.

Johann Schneider-Ammann souffre d'un blocage psychologique, déclare le socialiste lundi dans une interview au quotidien alémanique Blick. Il ne fait absolument rien face aux défis économiques que connaît la Suisse.

Le ministre de l'Economie est le chantre du "laisser-faire". Son "refus d'agir" est purement idéologique et aura des conséquences catastrophiques, prédit Christian Levrat.

Un débat urgent demandé

Entre l'interventionnisme de l'Etat "à la française" en matière économique et le "laisser-faire", il y a pourtant une voie médiane, estime le président du PS.

Son parti va demander un débat urgent aux Chambres sur le démantèlement des postes de travail et la désindustrialisation lors de la session de printemps.

Il trouve aussi problématique que la Confédération n'ait pas voix au chapitre lors de la vente d'entreprises à des étrangers. Il y aurait peut-être besoin d'une procédure d'autorisation lors d'acquisitions et investissements dans des secteurs industriels importants (lire encadré).

ats/sbad

Le cas Syngenta dans le viseur

Christian Levrat cite la reprise du groupe agrochimique bâlois Syngenta par une entreprise chinoise "communiste" comme problématique. Johann Schneider-Ammann a laissé passer cela, souligne-t-il."Les Etats-Unis, qui ont une commission pour ce genre de cas, sont en train d'examiner cet achat de près. N'est-ce-pas curieux?", interroge le président du PS qui tire un parallèle avec la crise financière de 2008.A cette époque, le Conseil fédéral a réagi de façon déterminée et a mis sur pied une stratégie de la place financière, ce qui a payé."Nous avons besoin d'une stratégie de l'industrie, afin de soutenir les entreprises qui souffrent de la conjoncture défaillante et du franc fort.

No comment

Contacté par l'ats, le Département fédéral de l'économie, de la formation et de la recherche ne veut pas commenter les déclarations de Christian Levrat, selon son porte-parole Noé Blancpain.

Espionnage : L’Allemagne au service de la NSA a espionné l’industrie européenne!

Les services de renseignements allemands sont à nouveau dans la tourmente. Der Spiegel a revélé que le BND a aidé, au moins depuis 2008, la NSA dans ses activités d'espionnage industriel en Europe, outrepassant largement la coopération contre le terrorisme.

Les services de renseignements allemands sont de nouveau au centre d'un scandale. Jeudi, le Spiegel a révélé un nouveau faux pas du BND, qui semble avoir largement outrepassé son mandat. Depuis plus de dix ans, l'agence coopère avec la NSA pour surveiller certaines cibles. Mais ce qui devait être cantonné aux actions antiterroristes s'est étendu à d'autres domaines.

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