Pour le directeur de l'Union suisse des arts et métiers, Hans-Ulrich Bigler, un "oui" à l'initiative No Billag serait une chance pour le service public. Selon lui, le soutien étatique fausse la concurrence.
Un "oui" à l'initiative No Billag serait une vraie chance d'améliorer le service public, estime le directeur de l'Union suisse des arts et métiers (usam) Hans-Ulrich Bigler. Il ne donne que peu de crédit à des scénarios apocalyptiques.
Le service public peut tout à fait exister "sans arnaque, ni pression étatique", défend-il dans un entretien avec le journal alémanique Nordwestschweiz paru vendredi. Selon lui, le soutien étatique à la SSR crée une concurrence malsaine qui réfrène les médias privés.
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