Hongrie : La ministre de la Justice invite Clooney pour un café “what else?”

Les ministres hongrois des Affaires étrangères et de la Justice ont estimé qu'ils ne pouvaient pas laisser passer les propos critiques de George Clooney à l’encontre du Premier ministre Viktor Orbán. Cependant, leur ton s'est radouci par rapport à la première réaction du gouvernement, qui soupçonnait les propos de l'acteur hollywoodien d'être dictés par George Soros. La ministre de la Justice Judit Varga a même invité le beau George à Budapest pour un café (what else?).

La querelle en ligne a éclaté lorsque la superstar, parlant de son nouveau film (The Midnight Sky – Minuit dans l'Univers), a noté que le ton de cette œuvre reflétait la colère et la haine que l'on peut ressentir actuellement dans le monde, mentionnant et blâmant spécifiquement, entre autres, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán. Plus tard, en réponse au gouvernement et aux médias pro-gouvernementaux qui l'accusaient d'être le porte-parole de Soros, l'acteur a démenti toute influence du milliardaire américano-hongrois, mais ajouté qu'il aurait "honte" de ne pas dénoncer publiquement "l'autocratie du régime Orbán".

Source en anglais: Hungary Today

voir aussi: La ministre hongroise de la justice, Judit Varga, répond aux accusations de la BBC concernant la « démocratie malade » de son pays

George Clooney : «Donald Trump est un fasciste xénophobe»

Lors d'une interview accordée au journal britannique The Guardian, l'acteur à l'affiche du film Avé, César! est revenu sur les primaires américaines et n'a pas mâché ses mots envers le candidat républicain.

«Donald Trump, tu n'es pas Dieu». Après cette déclaration acérée de la chanteuse Miley Cyrus, c'est au tour de George Clooney de critiquer vertement le candidat en lice à la Maison Blanche, dans une interview au quotidien anglais The Guardian.

«Donald Trump n'est qu'un opportuniste mais surtout un fasciste, un fasciste xénophobe», affirme George Clooney. «L'idée que nous devons interdire les musulmans de notre pays ou construire un mur pour empêcher les 12 millions de...
source:

Le Figaro