A noter le ton victimaire du journaliste, pleurnichant sur le sort de ce pauvre Afghan venu jusqu'en Suisse pour mentir, poignarder et agresser.
Dès lors, on comprend mieux comment ces journalistes jubilent lorsque leurs protégés acquièrent notre passeport, faisant ainsi passer les exactions de ces racailles pour des agressions provenant de "Suisses".
Quant à l'altercation, elle se joue entre... Afghans: Pas un seul instant le journaliste ne se pose des questions sur la sécurité des Suisses, alors qu'ils accueillent ces gens dangereux, leur offrent le couvert, l'habitat et les soins. Pas un seul instant, le rédacteur ne s'offusque de cette violence ethnique importée. Nous n'existons tout simplement pas... sauf lorsqu'il s'agit de financer l'asile et de nous culpabiliser.
D'autant plus que tout s'envenime à la suite de ces fameux "regards", caractéristique redondante de l'immigration pour agresser à la moindre occasion le sale kouffar.
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Il a laissé sa jeunesse sur les chemins de l’exil, quelque part entre la Turquie et la Grèce, après avoir fui les exactions de son pays, l’Afghanistan. Son adresse genevoise avant la prison : un foyer pour requérants d’asile.
La veille des faits, il est déjà entré en collision ludique avec des compatriotes parlant le persan dari, l’une des deux langues officielles de son pays d’origine. Lui a grandi en apprenant le pachtoune, du côté de Jalalabad, non loin de la frontière pakistanaise. L’échange de regards confirme la différence ancestrale. Les insultes pleuvent, rythmées par les pirouettes des voitures électriques qui se tamponnent mutuellement.
On décide de s’expliquer hors de la piste, en se retrouvant vers le manège Breakdance. L’altercation monte d’un cran. (...)
«l’agresseur s’est acharné, il a mis six mois à reconnaître l’usage du couteau au cours de l’instruction, continuant à soutenir aujourd’hui qu’il n’était pas le sien, qu’il ne l’a jamais sorti de sa poche.»