Marine Le Pen comme moindre mal ?

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Michel Garroté - Pourquoi un tel spectacle - ridicule et dégradant - auquel participent tous les prétendants à la Présidence (au trône ?) de la République française ? Bonne question, pas vrai... A ce propos, je lis avec amusement, que Hollande se donne comme « ultime devoir » (tu parles...) d’empêcher la victoire de Marine Le Pen. Ah oui ? Et comment ? En mobilisant la caste politico-médiatique parisienne de gôche (CPMPG pour les intimes) au profit de Maqueron ? Bref, laissons de côté Flanby-la-fraise-des-bois et sa Scooter-stupidity et - hop - parlons d'autre chose (écrivons sur autre chose...).
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Je suis "plutôt d'accord", avec le billettiste chrétien de droite Philippe Maxence, lorsqu'il écrit, dans le média catho conservateur L'Homme nouveau (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La politique repose sur la vertu de prudence, sur ce discernement pratique au regard des circonstances par rapport au but à atteindre. Mais la prudence n’est pas la pusillanimité. Il ne faudrait pas que cette dernière nous entretienne en fait dans un état permanent de noyé, toujours sauvé in extremis, sur un certain nombre d’aspects concrets - des impôts à l’école en passant par la liberté d’entreprendre - qui empêchent de poser les fondements d’une véritable politique de civilisation, explique Philippe Maxence.
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Philippe Maxence précise : Les dernières affaires qui ont touché la vie politique française, les derniers épisodes de la montée en puissance de certains candidats ou le flot incessant de mensonges qui se déversent constamment depuis ces bouches d’égout que sont, hélas, certains journaux, ne sont réellement importants que dans le cadre d’un système politico-médiatique qui pourrait être en train de sombrer, ajoute Philippe Maxence (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Mais venons-en au thème de la présente analyse :
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"Marine Le Pen comme moindre mal ?".
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A ce propos, le chroniqueur et auteur catholique-conservateur français Bernard Antony  --  qui considère Marine Le Pen comme un moindre mal et c'est son droit  --  estime, dans le cadre des présidentielles (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page), que la vie de chacun est souvent remplie d’occurrences où s’impose le choix d’un « moindre mal ». Cela arrive fréquemment en politique, et quelquefois douloureusement. Ainsi notre grand ami, Jean-Baptiste Biaggi, grand héros de la guerre de 1940 et de la résistance, disait-il : « Il y a des moments de l’histoire où le plus difficile n’est pas de faire son devoir mais de savoir où est son devoir ».
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Jean-Baptiste Biaggi évoquait là les dilemmes terribles qui avaient assailli bien des patriotes en 1940 dont beaucoup optèrent pour ce qu’ils ne jugèrent pas toujours comme la voie la meilleure mais, tout au moins, la moins mauvaise. Le choix du moindre mal en politique nécessite évidemment au préalable de savoir où est le plus grand mal, où est le pire pour notre pays, pour nos valeurs, pour les nôtres. Ce qui j’ai m’amène à considérer deux très grandes menaces.
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Premier "pire" :
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La plus facilement et immédiatement discernable est la menace de l’islam, théocratie totalitaire et même en quelque sorte quintessence du totalitarisme, tant, dès la création du concept de l’oumma par Mahomet, l’islam a réalisé une société où tous les domaines de la vie s’enchevêtrent.
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Chacun y est à la fois observateur et observé, dans la conformité à l’orthopraxis individuelle et collective. Bien avant « Big Brother », l’islam avait inventé « l’oumma ». À bien des égards, l’islam totalitaire, en pleine expansion par-delà ses divisions, représente ce que j’appellerais « le pire, le plus immédiat ».
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Deuxième "pire" :
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le racisme anti-humain sous couvert "d'antiracisme" :
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« Transgression » et « dépossession » sont les maîtres-mots du néo-totalitarisme du racisme anti-humain qui aura sans cesse progressé sur l’entre-deux siècles sous le couvert du grand mensonge de l’idéologie nihiliste dite « antiracisme ». Ainsi, une deuxième très grande et récente menace pèse sur notre civilisation (l'antiracisme et en réalité le racisme anti-humain) et sur l’humanité. Après le nazisme, après le communisme, surgit et enfle sans cesse une nouvelle monstruosité totalitaire déjà suffisamment avancée (le racisme anti-humain) mais dont le plus grand nombre ne peut prendre conscience.
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Car le fondement même du racisme anti-humain est dans la plus grande invisibilité possible, et il n’a donc - évidemment - pas sécrété un « Coran », un « Manifeste du parti communiste », un « Mein Kampf » ou un « petit livre rouge ». Certes il n’est pas théorisé en tant que tel et il a d’abord été au fil des ans développé par une conjonction de faits économiques, de réalisations scientifiques et techniques, et, selon le vocabulaire marxiste, par une superstructure idéologico-utopique, ajoute le chroniqueur et auteur catholique-conservateur français Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.hommenouveau.fr/1934/editorial/notre-quinzaine---ne-nous-laissez-pas-brsuccomber-a-la-tentation--.htm
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/03/elections-bernard-antony-consid%C3%A8re-marine-le-pen-comme-le-moindre-mal.html
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