Cenator : Les émeutiers, appelés par l’ONU « manifestants pacifiques », exploitent, avec la gauche mondialiste, la bavure policière « Floyd » pour essayer, par tous les moyens, de faire passer à la caisse le peuple américain.
Le monde entier a vu avec horreur la racaille détruire la sécurité et la vie économique des Etats-Unis. Les « manifestants pacifiques » ont pillé, détruit des commerces partout, pour causer des dégâts par milliards, laissant des gens ruinés. Ces « manifestants pacifiques » ont laissé derrière eux une trentaine de morts, d’innombrables victimes de violences. Ils ont dressé les communautés les unes contre les autres, détruisant la sécurité, salissant et paralysant la police, compromettant l’avenir de certaines villes. Et ces émeutiers, sans foi ni loi, sont défendus par le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU.
L’ONU et le CDH peuvent ergoter dans leur coin, le monde entier a visionné les vidéos rapportant ces événements et toute personne n’étant pas remplie de haine envers la Civilisation occidentale et ayant un minimum de sens moral est remplie de compassion pour le peuple américain.
L’ONU discute pour savoir s’il faudrait condamner les États-Unis pour racisme systémique alors que ce sont des prétendus antiracistes qui ont mené le pays au bord de la guerre civile et à la ruine économique… anéantissant le produit de la vie laborieuse de centaines de milliers de gens !
L’indécence de cette gauche mondialiste, voulant détruire notre civilisation, ne connaît plus de limites.
Et tout cela également sur sol genevois !
Patrick Grumberg démonte la supercherie des "anti-racistes"
Posté le 19/06/2020 dans Boite à gifles
« Aujourd'hui, toute personne blanche est sommée de se sentir coupable des crimes esclavagistes commis par d'autre blancs il y a bien longtemps. Faut-il dès lors demander à chaque individu noir de présenter ses excuses pour les attaques antisémites perpétrées par d'autres personnes ayant leur couleur de peau? »
source: Grumberg démonte la supercherie de l'agenouillement "anti-raciste"
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Le débat urgent sur cette question après le décès de l'Afro-Américain George Floyd, cinquième discussion de ce format depuis le lancement de l'instance onusienne, s'était achevé jeudi à la mi-journée. De longues négociations ont ensuite eu lieu pour aboutir à un nouveau projet de résolution.
Selon des sources concordantes, Washington a manœuvré en coulisses ces derniers jours pour inciter ses alliés à faire en sorte d'éviter une commission d'enquête internationale. Un premier projet de résolution du Burkina Faso, au nom des pays africains, prévoyait un tel mécanisme "aux Etats-Unis" et dans d'autres pays après le décès de George Floyd.
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Mais elle ne demande plus qu'à la Haute commissaire aux droits de l'homme Michelle Bachelet un rapport sur le "racisme systémique" et les violations présumées des droits de l'Homme "contre les Africains et les personnes d'origine africaine" par la police, notamment contre George Floyd. Les Etats-Unis ne sont pas visés dans la résolution validée.
>> Lire: Le quartier d'origine de George Floyd, symbole d'une Amérique silencieuse
Appel à l'aide lancé par le frère de Floyd
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Philonise Floyd, l'un des frères de George Floyd, témoigne devant une commission du Congrès des Etats-Unis, Washington DC, le 10 juin 2020. [Greg Nash - Keystone/Pool via AP] Lors du débat "historique", selon la rapporteuse spéciale de l'ONU contre le racisme, Philonise Floyd avait dénoncé mercredi la "torture" dont a été victime son frère. "Vous avez le pouvoir de nous aider à obtenir justice", a-t-il dit.
"Je vous demande de l'aider. Je vous demande de m'aider. Je vous demande de nous aider, nous les Afro-Américains", a-t-il ajouté, appelant à une commission d'enquête, comme de nombreuses ONG.
Lors du débat, la Suisse s'est dite "inquiète" du "recours disproportionné à la force" par la police contre les Afro-Américains. Mais selon elle, tous les Etats doivent étendre leur engagement pour protéger tous les citoyens contre les discriminations.
>> Lire: Podcast: aux origines de la ségrégation raciale aux Etats-Unis
Les Etats-Unis, qui se sont retirés du Conseil des droits de l'homme, n'assistent pas en salle aux débats. Dès la semaine dernière, la mission américaine auprès de l'ONU à Genève avait tenté de désamorcer les reproches en condamnant le décès de George Floyd mais en relevant que ce pays œuvrait à davantage "d'égalités". Et que son attachement aux libertés fondamentales permettait à la communauté internationale de "dialoguer ouvertement" avec lui pour trouver des solutions.
Affront évité pour les Etats-Unis
Autre avancée, le président américain Donald Trump a prononcé mardi un décret pour interdire l'étranglement comme mode opératoire policier, sauf en cas de danger. Un allègement estimé insuffisant par ses opposants démocrates.
>> Lire: Donald Trump décrète l'interdiction des prises d'étranglement, sauf exception
Le scénario d'une commission d'enquête internationale aurait été considéré comme un affront par Washington. "Nous ne sommes pas exempts d'une surveillance" mais toute résolution devrait mentionner les "nombreux pays" où du racisme est observé, avait dit mercredi avant le débat l'ambassadeur américain à l'ONU à Genève Andrew Bremberg.
Parmi les ennemis des Etats-Unis, la Chine a appelé ceux-ci à se conformer à leurs obligations internationales. L'Iran a dénoncé la situation américaine et la Corée du Nord a vu dans celle-ci "le problème le plus brûlant" pour les droits de l'Homme. Le Venezuela a lancé une salve contre Donald Trump et ciblé sa proximité avec l'extrême droite dans son pays.
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De leur côté, encore vendredi, neuf experts indépendants de l'ONU se sont dits inquiets à Genève de déclarations récentes du ministre américain de la justice William Barr contre certains groupes de manifestants, celles-ci violant selon eux les libertés fondamentales.
Outre cette question du racisme, des dizaines de résolutions doivent être discutées d'ici lundi par les 47 membres de l'instance onusienne.
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Une raison pour les USA de quitter l’ONU !
« Les experts des droits de l’homme à l’ONU expriment leur profonde préoccupation face à la récente déclaration du procureur général américain décrivant #Antifa et d’autres militants antifascistes comme des terroristes nationaux. Ils affirment que cela porte atteinte aux droits de libre expression et de réunion pacifique dans le pays. »