Mort annoncée : nos bac+10 fuient la France, les bac-10 affluent

21 mai 2021 - par

Le tsunami migratoire repart et l’Europe est plus impuissante que jamais.

Après l’accalmie due à la crise du Covid qui avait tari les flux migratoires en 2020, les beaux jours relancent la course à l’Eldorado européen, bien connu pour ses frontières passoires et ses valeurs humanistes qui interdisent toute expulsion.

Les vagues d’immigrés affluent de toutes parts, alors que l’UE se révèle incapable de protéger ses frontières après plus de cinq années de palabres stériles depuis 2015 ! L’UE n’est qu’un fléau mortel.

On en est encore à entendre des discours éculés vieux de 40 ans. “Aider l’Afrique pour y fixer les populations”.

Discours éminemment stupide tenu par les dirigeants de l’UE, qui n’ont jamais mis les pieds en Afrique et qui n’ont toujours pas compris que ce continent corrompu jusqu’à la moëlle n’a aucune chance de monter un jour dans le train du progrès.

Quand tout un continent, avec 1,2 milliard d’habitants, produit moins de richesses que la France avec ses 67 millions de citoyens, on voit mal en quoi l’aide de l’UE pourrait changer la donne.

Les 3/4 de l’aide internationale sont engloutis dans les guerres incessantes. Et le quart restant part en Suisse vers les comptes numérotés des dirigeants en place. Et cela n’a rien d’une caricature. C’est une réalité.

Le vice-président de la Commission européenne, le Grec Margaritis Shinas, déclare : “On ne peut protéger le mode de vie européen sans protection des frontières de l’UE”.

Mais que fait l’Europe ? Rien ! On attend depuis des années son pavé de 1 000 pages censé traiter le problème des flux migratoires. Son “Pacte pour la migration et l’asile”, qui n’accouchera pas d’une “solution” avant des mois. D’ailleurs personne n’est d’accord sur rien.

Quand on veut chausser 27 personnes avec la même pointure, c’est mission impossible.

Les pays de premier accueil, Italie, Espagne, Grèce, Malte et Chypre, veulent répartir le fardeau entre les 27.

Les pays de seconde zone, France, Allemagne, Belgique, Pays-Bas etc. souhaitent au contraire que les demandes de visas soient examinées en amont, donc dans les pays d’accueil.

Quant aux pays du groupe Visegrad, Hongrie, Pologne, Tchéquie et Slovaquie, le V4, ils ne veulent tout simplement pas d’immigration ! Ce sont les seuls pays conscients du chaos racial et interconfessionnel à venir.

On nous annonce un budget de 6 milliards pour Frontex, 10 000 garde-côtes, des hélicoptères et des navires. Mais 6 milliards, c’est ce que donne l’UE  à Erdogan pour garder chez lui les 3 millions de réfugiés syriens.

10 000 garde-côtes à l’horizon 2027 ? Mais de qui se moque-t-on ? C’est la moitié des effectifs que les États-Unis consacrent à la surveillance de leurs frontières, qui sont 2,5 fois moins longues que celles de l’UE. ( Figaro )

Tous les discours des dirigeants politiques français sont mensongers. À ce jour, le droit européen, éminemment laxiste et tolérant, prévaut sur le droit national.

Quelles que soient les promesses de campagne pour un durcissement des règles d’admission des migrants, celles-ci se briseront sur les règles de l’UE.

Il n’y aura JAMAIS de moratoire sur l’immigration, sauf à sortir de l’UE ou à rejoindre le groupe Visegrad ! Ce que Macron, missionné pour détruire le pays, ne fera jamais.

Il faut donc s’attendre à une poursuite de l’effondrement économique, sécuritaire et identitaire du pays, avec au bout du chemin une désintégration de la nation, dont nul ne peut mesurer les conséquences, qui de toutes façons, ne peuvent qu’être dramatiques pour les générations futures.

En attendant, le “tsunami printemps-été” devrait satisfaire les ONG et les immigrationnistes de tout poil. Depuis le 1er janvier 2021, c’est l’assaut général.

900 000 migrants sont parqués dans les camps libyens avant de se lancer dans la traversée de la Méditerranée.

8 000 migrants sont arrivés dans l’enclave espagnole de Ceuta, au Maroc

4 500 sont arrivés aux îles Canaries (+ 139 % par rapport à 2020)

11 600 sont arrivés de Méditerranée centrale (+ 157 %)

11 600 sont arrivés par les frontières de l’Est (+ 93 %)

Une seule source s’est tarie, celle venue de Méditerranée orientale (- 58 %).

En 2020, donc en pleine crise sanitaire, la France a délivré 220 000 visas longue durée. 

75 000 au titre du regroupement familial, 72 000 visas étudiants, 32 000 pour des critères humanitaires, 27 000 au titre de l’immigration économique et 14 000 “divers”.

On le voit, pas question pour Macron de lever le pied, alors que le pays s’effondre, écrasé par une dette de 3 000 milliards et menacé d’embrasement avec une immigration qui refuse de plus en plus de s’intégrer.

La tribune des généraux ? Déjà enterrée. Comme toutes les vérités qui dérangent, elle a été mise sous le tapis.

Pas de vague, surtout pas d’émeutes qui pourraient dégénérer avant mai 2022. Et une fois le fossoyeur de la nation réélu, tout pourra s’effondrer.

Le bilan est de plus en plus alarmant :

“Dans des chiffres inédits publiés mercredi 7 avril, l’Insee avance qu’en 2017, “44 % de la hausse de la population provient des immigrés” et que cet apport s’est beaucoup renforcé ces dernières années. L’immigration ne représentait que 26 % de la hausse en 2006. Autrement dit, désormais, l’apport migratoire fait quasiment jeu égal avec le solde naturel, c’est-à-dire l’excédent de naissances par rapport aux décès. Une situation jugée impensable il y a encore dix ans.”

En fait l’Insee ment. Car sur les 500 000 immigrés qui arrivent chaque année, légaux et clandestins, une infime minorité est expulsée.

Le solde migratoire en 2020 est au moins 4 fois plus élevé que le solde naturel des naissances qui s’est effondré, autour de 85 000.

Mais inversement, selon l’Insee, “150 000 personnes nées en France ont quitté le pays chaque année entre 2014 et 2016 et depuis 2006, le pays perd en moyenne 110 000 jeunes de 19 à 29 ans chaque année, qui partent à l’étranger et ne reviennent pas ensuite”.

https://www.la-croix.com/France/En-France-hausse-population-grande-partie-due-limmigration-2021-04-07-1201149798

Cela signifie que l’avenir fait peur à nos jeunes diplômés.

Cela signifie que nous accueillons des milliers de bac-10 pour laisser partir des milliers de bac+10.

Cela signifie que le mondialisme et le multiculturalisme sont destructeurs de richesses.

Ce ne sont pas des légions de médecins et d’ingénieurs que nous accueillons, mais en majorité des déshérités illettrés.

Et j’invite les grincheux qui voudraient contester cette réalité à lire le paragraphe ci-dessous, relatif aux 750 millions d’analphabètes dans le monde. Car c’est de ces pays que provient l’essentiel de notre immigration !

“20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50 % d’analphabètes dans leur population : l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, la Gambie, la Guinée-Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone et le Sud Soudan.”

Aucun pays moderne au monde ne peut survivre à un tel cataclysme démographique.

La France s’autodétruit et les élites applaudissent.

L’immigration extra-européenne de masse, c’est la mort de la France. Que chaque citoyen en soit conscient dans l’isoloir en 2022 !

Jacques Guillemain

Source: https://ripostelaique.com/mort-annoncee-nos-bac-10-fuient-la-france-les-bac-10-affluent.html

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A écouter également: Forum du 22 mai 2021

L'Espagne approuve une loi pionnière pour la protection de l'enfance contre toute violence. Désormais pour les mineurs non accompagnés, les examens médicaux "invasifs": (radio des os) seront interdits ainsi que la vérification génitale, ou être dénudé, pour déterminer l'âge des requérants d'asile. Les peines adoucies. Attacher les mineurs sera également interdit (les isoler, les menotter également).

Jamais plus qu'une audition jusqu'à 14 ans pour ne pas traumatiser les mineurs, mais tout abus peut être dénoncé jusqu'à 15 ans après les faits.

Ce qui ouvre la porte à toutes sortes d'accusations invérifiables, et amènera un cortège de familles et de vies détruites pour viol, inceste, pédophilie, qui seront invérifiables après tant d'années.

L'image pour illustrer cette émission: une fillette blonde et un mâle blanc qui la menace avec son poing...

Résumé: Albert Coroz

Motion UDC 21.3009 déposée le 22.01.2021- Expulsions par ordonnance pénale dans des cas mineurs, mais évidents

Groupe UDC: enfin une application plus dure de l'initiative sur le renvoi

source:Durant sa deuxième séance de préparation de la session d'été 2021, le groupe parlementaire fédéral de l'UDC a pris les décisions suivantes:

- approuvée en 2010 par le peuple et les cantons, l'initiative pour le renvoi des étrangers criminels n'est appliquée que de manière lacunaire. Le groupe UDC soutient donc la motion "Expulsions par ordonnance pénale dans des cas mineurs, mais évidents" adoptée par la Commission des institutions politiques du Conseil national (CIP-CN). L'objectif de cette motion est de préciser l'application de l'expulsion obligatoire. A l'avenir non seulement les tribunaux, mais aussi les procureurs auraient le droit d'imposer par ordonnance pénale une expulsion dans des cas mineurs, mais évidents. La motion exige en outre que la Confédération et les cantons harmonisent enfin le recensement de données concernant les expulsions et l'application de la clause de rigueur.- le groupe UDC s'oppose en revanche aux interventions 21.3459 et 21.3460 de la Commission des transports et des télécommunications (CTT). La motion 21.3459 exige un soutien financier en faveur des transports publics frappés par la crise due à la pandémie de Covid-19. A l'avenir non seulement le trafic local et touristique, mais aussi le trafic à longue distance bénéficieraient de l'argent des contribuables. Du point de vue de l'UDC, il s'agit là d'une violation d'un tabou, car le trafic à longue distance doit couvrir ses coûts sans subventions publiques. S'agissant du trafic local, la responsabilité en incombe aux collectivités qui le commandent, donc les cantons et les communes. Un subventionnement fédéral provoquerait des incitations contreproductives, car les cantons ne verraient plus la nécessité de réduire l'offre de prestations en cas de crise. Quant au soutien du trafic de marchandises réclamé par la motion 21.3460, il n'est pas nécessaire de l'avis de l'UDC: d'une part, les transports de marchandises ont déjà retrouvé leur niveau d'avant la pandémie, d'autre part, cette intervention chargerait la Confédération du déficit du trafic de marchandises.

- le groupe UDC est d'avis que le compte d'Etat 2020 peut être accepté dans la situation particulière actuelle. En raison de la crise due à la pandémie, ce compte boucle avec un déficit record de 15,8 milliards de francs. Concernant les crédits supplémentaires, le groupe UDC demande cependant de biffer la contribution fédérale de 64 millions de francs destinée au financement initial des tests répétitifs dans les cantons. La Confédération a jusqu'ici supporté la principale charge financière de la pandémie. Les cantons doivent eux aussi y participer, d'autant plus que la plupart d'entre eux affichent des déficits relativement modestes, voire des bénéfices.

Le groupe UDC critique la décision du Conseil fédéral de distribuer à nouveau à l'étranger des centaines de millions de francs d'argent des contribuables suisses. Concrètement, le gouvernement prévoit de soutenir avec un montant de 300 millions de francs l'initiative globale " Access to Covid-19 Tools Accelerator". Or, la Suisse a déjà apporté une aide d'une valeur de 343 millions de francs à la lutte internationale contre la pandémie sous forme de contributions financières et de prêts sans intérêt – en plus du budget ordinaire de l'aide humanitaire et la coopération au développement. L'UDC estime donc que le crédit supplémentaire de 300 millions de francs doit être refusé ou du moins être compensé dans le budget du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE).

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/enfin-une-application-plus-dure-de-linitiative-sur-le-renvoi/

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Motion 21.3009 - Expulsions par ordonnance pénale dans des cas mineurs, mais évidents

 

Déposé par: Commission des institutions politiques CN

Date de dépôt: 22.01.2021

Déposé au: Conseil national

Etat des délibérations: Non encore traité au conseil

Le Conseil fédéral est chargé de soumettre au Parlement un projet de modification du droit pénal afin que, dans des cas mineurs, mais évidents, l'ordre d'expulsion du pays puisse être prononcé par ordonnance pénale et que la liste des infractions soit précisée pour ce qui est des situations dans lesquelles surviennent particulièrement beaucoup de cas de moindre importance.

  1. L'ordre d'expulsion du pays peut être prononcé par le Ministère public dans le cadre d'une procédure d'ordonnance pénale, pour autant que les conditions nécessaires au prononcé d'une ordonnance pénale soient remplies.
  2. Une défense obligatoire ne doit être assurée que si l'une des autres conditions légales applicables est remplie. Le simple fait qu'il y ait un risque d'expulsion du pays ne saurait justifier de défense obligatoire dans ces cas-là.
  3. La liste des infractions énumérées à l'art. 66a, al. 1, let. d, f et h, du code pénal doit être réexaminée et, au besoin, précisée.

En outre, le Conseil fédéral intensifie ses efforts pour que la Confédération et les cantons harmonisent le plus rapidement possible la collecte des données concernant les expulsions et l'application de la clause relative aux cas de rigueur.

Les auditions de l'Association suisse des magistrats de l'ordre judiciaire (ASM) et de la Conférence des procureurs de Suisse (CPS) menées par la CIP ont confirmé que la législation d'exécution relative à l'initiative populaire " Pour le renvoi des étrangers criminels " (initiative sur le renvoi), entrée en vigueur le 1er octobre 2016, était appliquée par les autorités judiciaires conformément à la Constitution et à la loi.

L'expulsion du pays constitue la règle, alors que le recours à la clause relative aux cas de rigueur reste l'exception. Néanmoins, la commission estime que des mesures législatives ponctuelles sont encore nécessaires dans ce domaine.

ad 1. Souvent, ce n'est pas le tribunal qui doit juger les infractions figurant sur la liste, mais le Ministère public. Dans une procédure d'ordonnance pénale, ce dernier peut juger lui-même les cas mineurs, punissables de peines privatives de liberté de six mois au plus, cependant il ne peut pas prononcer d'expulsion. La loi doit donc être modifiée de telle sorte que, dans des cas mineurs, mais évidents (personnes sans statut de séjour, " touristes criminels " menacés de peines privatives de liberté inférieures à six mois), l'ordre d'expulsion puisse être prononcé par le Ministère public dans le cadre d'une procédure d'ordonnance pénale.

ad 2. Le code de procédure pénale prévoit que tout prévenu encourant une expulsion doit avoir un défenseur. Cette disposition s'applique aussi aux prévenus étrangers qui n'ont jamais possédé de titre de séjour ou qui sont entrés en Suisse uniquement dans l'intention de commettre une infraction (" tourisme criminel "). Dans ces cas-là, la défense obligatoire doit être exclue.

ad 3. Les infractions et contraventions peu importantes doivent expressément être exclues des infractions entraînant l'expulsion obligatoire, en particulier lorsqu'elles ont été commises par de jeunes étrangers qui ont grandi en Suisse. Si cette mesure aboutit à un résultat inapproprié dans certains cas spécifiques, une expulsion non obligatoire peut toujours être prononcée.

L'accent doit être mis sur une définition plus précise des infractions énumérées à l'art. 66a, al. 1, let. d (vol en lien avec une violation de domicile), f (différents délits d'escroquerie) et h (pornographie), du code pénal.
Ces dispositions doivent être réexaminées et, au besoin, précisées, parce que de nombreux cas de moindre importance se produisent en particulier dans ces domaines.

Depuis l'entrée en vigueur des modifications de la loi, des incohérences répétées ont été relevées dans la statistique des condamnations pénales en ce qui concerne les taux d'application relatifs aux expulsions.

Ces incohérences peuvent être dues à des lacunes et des imprécisions dans la rédaction des jugements et des ordonnances pénales, mais également à des divergences dans l'application du droit au sein des cantons. Il serait possible d'y remédier en partie si la liste des infractions était précisée.

Par ailleurs, les erreurs des cantons lors de la saisie des jugements et des ordonnances pénales dans les casiers judiciaires provoquent probablement des écarts concernant les taux d'application. La présente motion vise à étendre et préciser le mandat donné par la motion 18.3408 é " Exécution systématique des expulsions pénales ", qui a été déposée au Conseil des Etats et qui a été adoptée.

Dans le cadre de cette dernière, le Parlement a déjà indiqué que, pour les personnes qui ne disposent pas du droit de séjour, l'expulsion du pays devrait pouvoir également être prononcée dans le cadre d'une procédure d'ordonnance pénale.

Le Conseil fédéral propose d'accepter la motion.

Commissions chargées de l'examen

Commission des institutions politiques CN (CIP-CN) Commission des institutions politiques CE (CIP-CE)

Autorité compétente

Département de justice et police (DFJP)

Catégorie de traitement

IV

Informations détaillées concernant les catégories de traitement

 

Conseil prioritaire