Pendant que la RTS diffuse le réquisitoire passionné de Michelle Obama contre Trump, des petits Blancs sont massacrés par sa secte «antiraciste»

Michelle Obama lance un réquisitoire passionné contre Donald Trump

https://www.rts.ch/info/monde/11539301-michelle-obama-lance-un-requisitoire-passionne-contre-donald-trump.htmll

***

Cenator : Alors que M. et Mme Obama n’ont jamais cessé de faire l’apologie des Black Lives Matter, des Blancs sont massacrés partout où ce mouvement règne par la terreur. La RTS s’empresse de rapporter le discours de Michelle Obama, alors même qu’à Portland un jeune homme vient de se faire massacrer par un BLM uniquement parce qu’il était Blanc (voir ici et ici).
La RTS ne parle jamais de ces atrocités en cours, ni de l’anarchie et des destructions que les BLM sèment partout.

La RTS, dans son sentiment de toute-puissance, invite le monde entier à voter Démocrate, ce qui est bien compréhensible, puisqu’elle ne se donne plus pour mission de diffuser des informations impartiales mais, étant la première force politique en Suisse, se voit déjà diriger la marche du monde.

Une capture d'écran du discours de Michelle Obama en ouverture de la convention démocrate, le 17 août 2020. [AP/Keystone]

voir aussi: Le vol plané de la Convention nationale Démocrate (Michelle Obama Inside)

De Ronald (Reagan) à Donald (Trump)

Trump-9

   
Michel Garroté - Donald Trump mettra-t-il fin à l'islamisme comme Ronald Reagan a mis fin au communisme ? Trump (il entrera en fonction le 20 janvier 2017) a annoncé qu'il renoncera à son salaire de président des Etats-Unis, soit 400'000 dollars annuels. En outre, Trump a déclaré qu'il compte expulser des Etats-Unis jusqu'à trois millions clandestins qui ont commis des délits graves. "Ce que nous allons faire, c'est retrouver les criminels, les personnes ayant des délits à se reprocher, des membres de gangs, des trafiquants de drogue, et ces personnes, probablement deux millions, peut-être trois millions, nous les expulserons", a-t-il dit. De plus, Trump a déclaré vouloir nommer à la Cour suprême des juges pro-vie et favorables au port d’armes à feu.
-
“Je suis pro-life et les juges seront pro-life”, a-t-il dit. “Ils vont être très favorables au Deuxième amendement” de la Constitution, qui fait de la détention d’armes un droit pour chaque citoyen américain. Enfin, Trump, intelligent, a refusé de dévoiler les détails de la stratégie qu'il utilisera pour venir à bout de l'Etat islamique, précisant que l'opération à Mossoul se heurte à des difficultés liées au fait que la Maison Blanche a annoncé ses plans à l'avance (fallait le faire, sacré farceur ce Barack-Hussein...). Il n'a rien précisé non plus sur son éventuelle intention de recourir aux forces terrestres (il est intelligent vous dis-je). Quel rapport avec Ronald Reagan, élu en novembre 1980 (deux mandats de quatre ans chacun : 1981-1989) ?
-
La réponse à cette question est donnée par Romain Huret, directeur d’Etudes à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales, aux lecteurs du 'Monde' (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : "On se focalise aujourd’hui sur l’Amérique déclassée, mais il faut bien voir que Donald Trump a réussi ce que Ronald Reagan avait réussi en 1980 (1981-1989) : il a réussi à créer une alliance électorale entre, d’un côté, une élite conservatrice, et de l’autre côté, une Amérique pauvre et ouvrière. C’est une alliance tout à fait étonnante, il ne faut pas réduire le vote pour Trump à celui d’une Amérique déclassée. L’histoire se répète, Reagan avait de la même façon réussi à rassembler ces deux Amériques".
-
Le Brexit, le vote pour Trump, n’est-ce pas la confirmation d’une montée du nationalisme ou d’un retour à un souverainisme ?
-
Oui, absolument, dans les deux cas on voit bien se réaffirmer l’idée de Nation, l’idée de souveraineté des peuples, mais je dirais aussi que, ce qui rapproche ces deux événements, c’est le volontarisme. Dans les deux cas, les citoyens ont eu le sentiment de reprendre leur destin en main et Trump a parfaitement incarné ce retour du volontarisme politique. Il a été élu pour agir et pour mettre un terme à ce qui apparaît comme inéluctable. L’Union européenne apparaissait comme un horizon indépassable en Grande-Bretagne, tout comme la mondialisation aux Etats-Unis apparaissait comme inéluctable, et Trump a promis de mettre un terme à ça et de faire en sorte que l’Amérique reprenne son destin en main.
-
Est-ce que l’arrivée au pouvoir de Reagan a provoqué la même consternation ?  Dans quelle mesure peut-on établir une analogie ?
-
Oui, l’élection de Ronald Reagan a provoqué la même consternation et incompréhension. Beaucoup pensaient qu’il était incapable d’exercer la fonction suprême, n’oublions pas que c’était un ancien acteur hollywoodien. Beaucoup, y compris dans son propre camp, ne croyaient pas à son programme économique : George Bush père parlait d’« économie vaudoue » pour désigner son programme de réduction des impôts. Il ne faut pas oublier cela quand on voit qu’aujourd’hui Reagan est présenté comme l’un des plus grands présidents américains du XXe siècle. Une fois de plus, l’analogie est très, très forte avec Ronald Reagan et ce qui s’est passé en 1980.
-
Plus qu’un clivage gauche-droite, ou démocrate-républicain, n’a-t-on pas assisté à un clivage politique entre les « anti-élites » et les « autres » ? N’est-ce pas là, au vu des évolutions politiques de ces dix dernières années en Europe, et du Brexit en particulier, la vraie redéfinition du débat politique mondial pour les années à venir ?
-
Je ne crois pas à cette vision simpliste de la campagne et du résultat pour la bonne et simple raison qu’une grande partie de l’élite américaine a voté Trump. Comme je l’ai dit précédemment, il a réussi à recréer l’alliance qui avait permis à Reagan de l’emporter. Ce qui peut se jouer en France et en Europe, c’est de voir le même type d’alliance se mettre en place. Mais en tout cas, je crois qu’il ne faut pas oublier que l’électorat de Donald Trump ne peut pas se résumer au seul électorat populaire et ouvrier. Et n’oublions pas que lui-même appartient au monde des élites médiatiques et économiques (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
-
http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2016/11/10/l-election-de-ronald-reagan-a-provoque-la-meme-incomprehension-que-celle-de-donald-trump_5028931_829254.html
-

Trump avec “T” comme Triomphe

   
Michel Garroté - Trump s’est accroché et a montré à tous les experts qu’ils se trompaient (extraits adaptés ; voir les liens vers toutes les sources en bas de page) : sa victoire est tombée comme la foudre sur le microcosme médiatique, l’oligarchie politique, et la bien-pensance installée. La victoire de Trump signe la défaite de l’establishment mais surtout met en évidence que tous les médias officiels, américains, européens et français, sont des médias de propagande et plus des médias d’information. L’ensemble des médias officiels aux Etats Unis comme en France ont fait 18 mois de campagne anti-Trump, n’hésitant pas à propager des mensonges, de fausses déclarations, et surtout de faux sondages.
-
Malgré des propos parfois décoiffants, Donald Trump n’a pas vu se dresser contre lui les minorités immigrées ou noire. Les femmes n’ont pas massivement choisi une femme pour qu’elle soit la première Présidente des USA. Au contraire, il a attiré derrière lui beaucoup d’Américains qui voulaient un changement, voire une révolution et qui désiraient en finir avec un système, celui d’une caste politique qui cumule les privilèges alors qu’elle accumule les erreurs. Il faut que son exemple puisse inspirer ceux qui en Europe, en France en particulier, souhaitent déloger la caste qui monopolise le pouvoir tout en trahissant les intérêts primordiaux des peuples qu’elle dirige.
-
L'élection de Trump est portée par des citoyens silencieux qui n’en peuvent plus d’étouffer sous la chape de plomb du politiquement correct, consolidé par huit ans de présidence Obama. C’est cette nouvelle pensée totalitaire, ce terrorisme intellectuel devenu omniprésent dans les universités américaines, qui ont été rejetés par une opinion rebelle. Elle s’est identifiée à ce milliardaire indomptable, devenu paradoxalement le porte-parole des perdants de la mondialisation. Ceux-là réclament le retour aux frontières, la fin de l’immigration massive, la riposte au terrorisme islamiste, la renaissance de la fierté patriotique.
-
Notons que la très grande majorité des protestants évangéliques et la majorité (52%) des catholiques ont voté pour Trump. Notons que Trump va se rapprocher de la Russie, qu'il va prôner une politique réaliste au Moyen-Orient tout en ayant l'Iran chiite et les pétromonarchies sunnites dans le viseur. Notons aussi que dans le sillage du tour de force opéré par Trump à la présidentielle américaine, les républicains ont conservé le contrôle du Congrès, verrou stratégique qui permettra à la majorité de mettre pleinement en oeuvre le programme du président élu.
-
Enfin, notons que dès l’annonce de la victoire de Trump, les gangsters de "l’Autorité palestinienne" (en clair le Fatah et l'OLP) se sont empressés de menacer les Etats-Unis. L’Autorité palestinienne - arrogante et menaçante - a appelé Trump à œuvrer à « l’établissement d’un Etat palestinien indépendant coexistant avec Israël », tout en le mettant en garde contre les risques encourus s’il négligeait la question palestinienne.
-
Quand Donald Trump avait annoncé sa candidature à la présidence américaine le 16 juin 2015, descendant avec sa femme Melania l'escalier roulant de la Trump Tower à New York, il était probablement le seul à y croire. Dix-sept mois plus tard, le républicain a été élu mardi 45e président de la première puissance mondiale, porté au pouvoir par la colère d'une partie de l'électorat : des Américains se sentant laissés-pour-compte, trahis par les élites, inquiets de la mondialisation et d'accords commerciaux internationaux qu'ils voient comme une menace à leurs emplois. Donald Trump avait promis dans ses meetings de campagne un "Brexit puissance trois", référence au vote surprise des britannique pour une sortie de l'Union européenne.
-
Il a tenu parole. Et faisant mentir des sondages qui tous donnaient gagnante son adversaire Hillary Clinton, une majorité des Américains ont décidé de lui donner une chance, même si les deux-tiers pensent que le milliardaire de l'immobilier n'a pas le tempérament pour occuper la Maison Blanche. Les médias américains, au départ, s'étaient amusés de ce formidable bateleur au franc-parler décapant, ancien animateur d'une émission de télé-réalité célèbre aux Etats-Unis, 'The Apprentice'.
-
Trump avait déjà caressé quelques années plus tôt l'ambition de se lancer dans la course à la Maison Blanche, sans la concrétiser. Dans son discours de candidature en juin, Trump avait dressé un portrait très noir des Etats-Unis dans le monde, en train de devenir un pays du tiers monde. Il avait dénoncé des politiciens qui parlent mais ne font rien. Il avait promis d'être le plus grand président des emplois que Dieu ait jamais créé, promis de construire un mur à la frontière mexicaine pour lutter contre l'immigration clandestine, accusé le Mexique d'envoyer aux Etats-Unis ses criminels, trafiquants de drogue, violeurs.
-
Le discours semblait simpliste mais tout y était. Et il a porté. Pendant les semaines qui suivent, sur les chaînes de télévision, Trump assure le spectacle, se positionne comme le candidat du changement contre la corruption des élites. Les gens s'amusent, s'indignent, mais il a touché à un malaise profond dans l'Amérique modeste que beaucoup ne voulaient ou ne pouvaient pas voir.
-
Seize autre républicains sont candidats aux primaires présidentielles, dont Jeb Bush, fils et frère de président, ancien gouverneur de Floride, qui a derrière lui le parti et d'importants soutiens financiers. Il le ridiculise, l'appelle basse énergie. Il affuble ses autres adversaires de surnoms ridicules. Trump cogne, avec des déclarations choc, promet de rendre à l'Amérique sa grandeur. Il a des solutions simples (mais pas simplistes pour autant) à tous les problèmes complexes, promet de détruire l'organisation jihadiste Etat islamique (EI). Il fait l'éloge du président russe Vladimir Poutine.
-
Les foules se pressent à ses meetings, répétant avec jubilation ses slogans et lui pardonnant tous ses excès. Elles aiment ce ton nouveau, politiquement incorrect, miroir de leurs frustrations et inquiétudes. Trump a endossé pour ces Américains inquiets l'habit de l'outsider anti-élites. Le trop plein de candidatures aux primaires lui permet de gagner l'investiture du parti républicain. Les anciens présidents George Bush père et George W. Bush, ainsi que l'ancien candidat à la présidence Mitt Romney, refusent de participer à la convention républicaine où il sera investi en juillet candidat du parti. Le gouverneur de l'Etat de l'Ohio où elle se tient, John Kasich, ancien candidat aux primaires, n'y vient pas non plus. La hiérarchie du parti, de plus en plus, tord le nez. Mais elle n'arrive pas à stopper la tornade Trump, qui finance lui-même sa campagne.
-
Sur Twitter, Donald Trump n'hésite pas à dire ce qu'il pense sans aucun filtre. La presse, qu'il accuse jour après jour d'être biaisée, le donne perdant. Le premier débat bat tous les records d'audience avec 84 millions de personnes. La presse l'a plusieurs fois donné mort. "Nous allons finalement fermer le livre d'histoire sur les Clinton et leurs mensonges, machinations et corruption", avait promis Trump. Face à son discours, et la colère qu'il captée, l'expérience d'Hillary Clinton, ancienne secrétaire d'Etat, ancienne sénatrice de New York et ancienne First Lady n'a pas fait le poids (fin des extraits adaptés ; voir les liens vers toutes les sources en bas de page).
-
Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
-
http://www.christianvanneste.fr/2016/11/09/un-peuple-a-encore-frappe-hillary-clinton-est-battue/
-
http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/11/lelection-de-trump-est-une-lec.html
-
http://www.europe-israel.org/2016/11/victoire-de-trump-cest-la-defaite-des-medias-officiels-qui-ont-fait-de-la-propagande-et-non-de-linformation/
-
http://www.courrierinternational.com/depeche/trump-president-fort-dune-majorite-republicaine-au-congres.afp.com.20161109.doc.hx44q.xml
-
http://www.europe-israel.org/2016/11/victoire-de-donald-trump-lautorite-palestinienne-menace/
-
http://www.causeur.fr/trump-iran-syrie-liban-assad-40945.html
-
http://www.boursorama.com/actualites/trump-a-su-capter-la-colere-d-une-partie-des-americains-a70e0c8ecbd90014a33f4ddb79f0d15e
-

Les américains sont des gens bizarres

Les américains sont des gens bizarres. Par bizarre, je veux dire qu'ils ont des attitudes incompréhensibles le plus souvent pour un européen, un français en particulier et pour tous ceux finalement qui sont de culture gréco-latine en général.

Le sexe est un quasi tabou aux USA. Cacher ce sein que je ne saurai voir, mais montrer moi le sang qui gicle, les membres déchiquetés, un gosse assassiné dans la rue, des téléfilms d'une violence percutante et sanguinolente.

Trump se fait écarteler sur la place publique parce qu'il a tenu des propos de soudards il y a 11 ans. Outre le fait que celui qui l'a enregistré en douce est un parfait salaud, ces propos sont le plus souvent les propos que l'on peut entendre dans une soirée bien arrosée, et dans tous les corps de métiers ou les hommes sont très largement majoritaire. Que ce soit dans le bâtiment ou les corps de garde. Les hommes sont ainsi. La bite pas bien loin du cerveau. Ils délirent sur le fessier d'une dame qui passe son chemin, sur la poitrine d'une autre, et tous se marrent comme des gros beaufs. Chacun sait au fond, que ce fessier n'est pas à sa portée, pas plus que les seins de la dame suivante. Certes, nul n'est obligé d'apprécier l'humour balourd si ce n'est lourdingue. Cela dit, les femmes ne sont pas les dernières à jauger le contenu du pantalon d'un homme, les fesses rebondies d'un autre et les entendre se moquer et de l'un et de l'autre entre elles. En général, elles ne sont pas tendres ou quasiment grivoises.

Les français ont de la distance envers le sexe. Ils ne s'offusquent pas des partouzes des uns, du paluchage des autres, des délires de pseudo superman du sexe, et des propos grivois ou glauques, pour peu que tout cela reste bon enfant si je puis dire et n'aille pas plus loin. Ils en ont rien à faire des histoires à la DSK et autres amourettes sarkozystes. Tant mieux d'ailleurs.

Aux États-Unis, je me suis laissé entendre dire que monter dans un ascenseur seul avec une femme, pouvait vous coûter cher si la dame affirmait que vous l'aviez déshabillé du regard. Qu'il vaut mieux laisser la porte ouverte de son bureau quand une femme vient vous voir, que les vitres et donc la transparence, sont la norme. J'avoue que je ne sais pas si je pourrai vivre dans ces conditions. Je fais partie de ces hommes qui aiment la séduction réciproque. Qui laisse passer les dames, ouvre les portes, complimente, apprécie la beauté féminine, etc. Il est vrai que pour beaucoup, c'est déjà trop. Cela m'a valu une réputation de coureur de jupons lorsque j'étais conseiller municipal. Si j'avais eu toutes les femmes que l'on m'a prêtées en Mairie, j'aurai vieilli prématurément. Aux USA, je serais sûrement en taule.

Mais revenons à Trump, il a dit des conneries. Il a été dénoncé par un salaud. Doit-il pour autant, comme certains de ses amis lui ont soufflé, renoncer à sa candidature? Doit-on condamné les propos d'un milliardaire en délire qui dit en gros, une vérité simple comme: les petits gros, les grands laids, les tout mous, tout moche qui sortent, voire se marient avec des bombes sexuelles, sont en général des hommes blindés et bourrés d'argent. Nous avons des exemples en France dans le milieu du show bizness. L'inverse existe aussi. Les gigolos ne manquent pas, ni les friquées qui se les paient. C'est un fait.

Donc les américains aiment le sang qui gicle, la mort. Ils sont capables de trouver normal de balancer des milliers de bombes incendiaires sur des centaines de milliers de civils comme à Dresde en 1944 (500 mille morts civils), de détruire en trois ans la moitié de la Corée, de flinguer des milliers de civils au napalm au Vietnam, de balançer des bombes à l'uranium appauvri sur la Serbie, d'enclencher une guerre meurtrière en Irak sur la base d'un mensonge affirmé tranquillement à l'ONU, etc. L'Amérique n'est pas une sainte, mais elle ne montre pas ses seins !

Cette Amérique ne supporte pas un propos sexuel, un sein découvert, une femme nue dans un film ? Pas tout à fait finalement ! Il s'avère que pour l'intelligentsia Démocrate, leur engeance socialiste américaine, les excès de Bill Clinton ne soient pas dans la même catégorie. Trump doit aller au pilori, et Bill Clinton au sacré cœur. Allez savoir pourquoi ?

L'un est l'Âne de la fable, et l'autre le Lion. L'un, pour une lichette se fait incendier et l'autre se fait pardonner pour avoir obligé une femme à lui faire une fellation, sans compter les autres casseroles. Ah le génial La Fontaine, toujours d'actualité. Suivant que vous soyez puissant ou misérable… sauf que Trump n'a rien d'un misérable et encore moins d'un impuissant sur le plan financier. Il a contre attaqué. Il a mis sur le carreau la sorcière Hilton. Au point que l'on peut lire dans les journaux français acquis aux démocrates, que ce dernier débat fut sanglant et n'a pu démarquer les deux candidats. Suivi par un sondage CNN, pro Démocrate qui affirme que 57% des américains voteraient pour Clinton.  Je dirai que c'est plutôt bon signe pour Donald Trump.

Une vilaine mouche s'est posée sur Hilary Clinton ! Elle attend son heure ? Ou est-ce la mouche du coche qui lui donne des conseils ?

Clinton-et-sa-mouche-278x300

On sait les magouilles des médias français qui affirment encore que Trump avaient perdu son premier débat alors même que la majorité des sondages le donnait gagnant. La seule question que l'on peut se poser, c'est pourquoi les médias français, les journalistes prennent-ils fait et cause pour les démocrates? Qui finance dans cette affaire?

Pour conclure sur ces appréciations de savoir qui va gagner les élections présidentielles américaines, voici une donnée rapportée par Jean Patrick Grumberg.

Sur Twitter, Frank Luntz* a rapporté les conclusions du panel d’une trentaine de téléspectateurs représentant l’échantillon des électeurs américains qu’il a réuni pour commenter le débat. Il leur a posé la question suivante, avant et après le débat : « pour qui allez-vous voter ? »

  • Avant le débat : Hillary : 8, Trump : 9, le reste étant indécis où n’a pas voulu répondre (les réponses sont à main levée)

  • Après le débat : Hillary : 4, Trump : 18.

Frank Luntz est analyste politique, sondeur d’opinion, et ses panels sont considérés comme reflétant ce que pensent la majorité des Américains.

Mon dieu, cachez ce sein qui déborde…

Gérard Brazon

Soutenir Donald Trump

Trump-1

   
Michel Garroté - Il existe en France un comité de soutien à Donald Trump (extraits adaptés ; voir deuxième lien vers source en bas de page). L'un des responsables de ce comité de soutien, le docteur en philosophie et contributeur de notre site de réinformation Lesobservateurs.ch, Vivien Hoch, explique à Breizh-info (extraits adaptés ; voir premier lien vers source en bas de page) : "Donald Trump n’est pas du système politicard. Il n’est pas arrivé en politique avec une doctrine pondue par des bureaucrates et des analystes de sondages. Il est arrivé en politique avec son talent et, surtout, son bon sens. Les seules choses qui comptent en politique".
-
Breihz-info : Qu’est ce que les Européens ont a gagner à soutenir Donald Trump à la présidentielle aux Etats-Unis ?
-
Vivien Hoch (extraits adaptés ; voir premier lien vers source en bas de page) : A de nombreux égards, cette présidentielle américaine est plus importante encore que les présidentielles européennes, a fortiori la présidentielle Française. Franchement, quel intérêt pour l’avenir de l’Occident que le choix entre François Hollande, Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé ? L’impact de l’élection de Donald Trump, en novembre, sera mondial. En plus d’avoir un impact majeur sur la géopolitique et sur la défense de notre civilisation, son élection amorcera la trumpisation de toutes les droites d’Europe. La trumpisation, c’est principalement ne plus se soumettre devant le glaive de nos adversaires : les médias officiels, le politiquement correct. Se trumpiser, c’est ne plus se soumettre, comme Trump ne s’est jamais soumis.
-
Qu’est-ce qui explique par ailleurs cette méfiance qu’on de nombreux élus Républicains vis à vis de Trump ?
-
Que certains apparatchiks républicains se méfient du phénomène Trump, parce qu’il met leur système de pantouflards à plat, c’est tout à fait normal. Ils sont conservateurs dans le très mauvais sens du terme. N’oublions pas que leur petit jeu médiocre ont permis au pire président des Etats-Unis d’être élu, puis réélu. Mais derrière ces craintes enfantines et ses défections, il y a aussi de la couardise la plus élémentaire face aux médias, totalement déchaînés et entièrement organisés contre Trump et ceux qui le soutiennent. Comme le dit Clint Eastwood, soutien de Donald Trump : on en a marre des mauviettes. La soumission provoquera la chute de l’Occident. L’insoumission lui permettra de se relever (fin des extraits adaptés ; voir premier lien vers source en bas de page).
-
Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
-
http://www.breizh-info.com/2016/08/10/47752/hoch-trump-clinton-usa-france-elections-interview-comite-trump
-
http://trumpfrance.wixsite.com/trumpfrance
-