Michel Garroté - Pour commencer, je souhaite avertir nos lectrices et nos lecteurs, que l'analyse ci-dessous, est très longue et très détaillée. Le plus simple, pour lire cette analyse, c'est de jeter un coup d'oeil sur le début de chaque "chapitre" (paragraphe...?). A mon sens, la partie la plus intéressante est la dernière, celle écrite par Daniel Greenfield. De plus, je souhaite faire une remarque très personnelle : "Fin de la Palestine, seul Etat fantôme de la planète ?" est un titre en apparence très provocateur. Mais il n'en est rien.
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Depuis 1948, le politiquement correct nous intoxique avec la cause dite "palestinienne". Or, si nos lectrices et nos lecteurs prennent la peine de lire l'analyse ci-dessous, ils et elles s'apercevront qu'en effet, la cause dite "palestinienne" pose un sérieux problème de crédibilité.
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Je me permets d'écrire cela, car dans ma jeunesse, lorsque j'étais à l'université, j'ai été pendant quelques années, farouchement pro-palestinien, farouchement anti-sioniste et farouchement israélophobe. J'ai été, pour être clair, de 1976 à 1979, habité par la "Haine des Juifs Israéliens", sans avoir pris la peine de me documenter sur la réalité historique et géographique de cette région du monde.
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Et depuis 1980, je me documente sur cette région du monde, et, oui, depuis 1980, je suis pro-israélien (on peut toujours me taxer de "sale sioniste" car je m'en moque et la plupart des gens ne savent même pas ce qu'est le sionisme...). J'ai lu les travaux de Bat Ye'or, Michel Gurfinkiel, Gilles William Goldnadel, Alexandre Del Valle, Lucien Samir Oulahbib, Albert Soued, Rachel Franco, Caroline Glick, Daniel Pipes, Manfred Gerstenfeld et Daniel Greenfield, dont l'on trouvera, ci-dessous, l'analyse, déjà mentionnée plus haut (Fin de la « Palestine », Etat fantôme).
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Un grand merci, en toute simplicité, pour leur travail qui m'a fait changer d'avis - et qui a fait changer d'avis bien d'autres personnes - sur le Proche et le Moyen Orient, sur l'intégrité des dirigeants israéliens (les rares qui n'ont pas été intègres ont été jugés et condamnés par la justice israélienne alors qu'ils étaient encore en fonction : qui dit mieux ?), sur l'OLP et le Fatah, bref, sur la maffia de Yasser Arafat, Mahmoud Abbas & Consorts. Voilà. Bonne lecture.
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Ce n'est pas le sujet de la présente analyse, mais j'en fais tout de même mention car c'est éclairant : Aisal al-Qassem, animateur de la chaîne télévisée Al-Jazeera, a présenté une photo du libanais Samir Kuntar (ndmg - assassin psychopathe ayant massacré à coups de crosse une fillette juive israélienne), Samir Kuntar qui a « quitté la prison israélienne avec une bedaine et un doctorat », près d'une photo d’un détenu syrien décharné. Bachar Al-Assad devrait « traiter les prisonniers et les détenus syriens de la même manière qu’Israël traite ses ennemis dans ses prisons », a dit Aisal al-Qassem sur Al-Jazeera (ndmg - bien après sa libération par Israël et son retour au Liban, le libanais Samir Kuntar aurait, dit-on, trépassé -- en Syrie -- lors d'un malheureux "accident"...).
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Ce n'est pas non plus le sujet de la présente analyse, mais j'en fais tout de même mention, car cela aussi, est éclairant : lors d’une récente interview avec la chaîne de télévision libanaise Al-Manar, appartenant au Hezbollah, Salah Al-Zawawi, ambassadeur de « Palestine » en Iran et représentant de l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas (et donc du Fatah), appelle à faire disparaître Israël et souhaite que l’Iran fabrique des atomiques.
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Ce n'est toujours pas le sujet de la présente analyse, mais j'en fais tout de même mention, car cela encore, est éclairant (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Hélène Keller-Lind révèle qu'en 2016 plus de 130 posts sur la page Facebook officielle du parti de Mahmoud Abbas, le Fatah, glorifiaient le terrorisme et le meurtre d’Israéliens. À ce jour, en 2017, nombre de posts tout aussi violents ont continué à présenter les terroristes en héros et modèles à suivre. Cette page, suivie par soixante-dix milles personnes, est l’un des vecteurs utilisés par pour inciter à la violence et au meurtre par les dirigeants palestiniens. Un scandale que dénonce Palestinian Media Watch mais sur lequel ferment les yeux nombre de donateurs qui financent l’Autorité palestinienne (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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A propos d'Israël et de "l'Autorité palestinienne" (en réalité le Fatah), Khaled Abu Toameh, Arabe Israélien, journaliste pour NBC News depuis 1989, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La torture pratiquée dans les prisons et les centres de détention contrôlées par l'Autorité palestinienne n'a rien de nouveau. Ces dernières années les Palestiniens se sont habitués à entendre des histoires terribles sur ce qui se passe entre les murs de ces structures. Cependant, parce que ce ne sont pas les Israéliens qui commettent ces violences, ce qui est rapporté laisse les journalistes indifférents. ais alors, comment l'Autorité palestinienne, financée par l'Occident, qui essaie depuis longtemps de faire partie d'institutions comme les Nations unies, explique-t-elle sa barbarie systématique ? Cela fait des années que l'Autorité palestinienne agit en « État indépendant » reconnu par plus de cent pays.
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Dans ces conditions, les gouvernements étrangers, les contribuables américains et européens surtout, ont le droit, ou plutôt l'obligation de tenir l'Autorité palestinienne responsable de ses violations des droits de l'homme et d'exiger transparence et responsabilité. Ce droit découle du fait que l'Autorité palestinienne demande à faire partie de la communauté internationale en obtenant la reconnaissance d'un État palestinien. À moins, bien sûr, que la communauté internationale soit prête à accueillir un État arabe de plus qui piétine les droits de l'homme et torture dans ses prisons. Les preuves les plus récentes de torture en Cisjordanie ont été révélées dans un article en ligne sur un site web affilié au Hamas. Cet article donne des détails sur certaines des méthodes de torture employées par les interrogateurs de l'Autorité palestinienne et offre un aperçu unique des conditions dans lesquelles les prisonniers sont placés en détention.
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Cet article fait référence plus particulièrement à la Prison centrale de Jéricho qui est sous le contrôle de diverses sections des services de sécurité de l'Autorité palestinienne. Ayant pour titre « Jéricho, un Fort de la Torture ? », l'article décrit des conditions à l'intérieur de la prison ressemblant à ces films à sensation qui passent sur les écrans de télévision pour attirer l'attention des téléspectateurs. Un Palestinien récemment relâché de la Prison centrale de Jéricho est cité. Il raconte que quiconque arrive dans les lieux a d'abord les yeux bandés et les mains attachées derrière le dos avant d'être battu sévèrement par entre cinq et dix agents de sécurité. L'une des formes les plus courantes de torture dans une prison de l'Autorité palestinienne, raconte-t-il, s'appelle la position « shabah » : les mains du prisonnier sont menottées et il est pendu au plafond pendant plusieurs heures.
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Pendant ce temps, le détenu est battu sur toute la surface du corps. S'il essaie de bouger ou de changer sa position, les coups empirent. Parfois ce « shabah » se pratique dans les toilettes de la prison. Une autre forme de torture notoire dans la Prison centrale de Jéricho est la « falaka » : les victimes sont battues sur les pieds nus. Selon le témoignage d'un autre ancien prisonnier, qui n'est identifié que sous le nom d'Abu Majd, il a subi cette « falaka » avec un tuyau de plastique pendant plusieurs heures à chaque séance. Parfois, l'un des « interrogateurs » le giflait pendant qu'on le frappait sur les pieds. Abu Majd raconte qu'il a également subi une autre forme de torture connue : on lui demandait de « grimper » sur une échelle inexistante sur un mur. Comme il n'y a pas d'échelle, le détenu ne peut pas y monter et il est puni par des coups.
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D'autres anciens prisonniers racontent que des privations de sommeil, une réclusion cellulaire ou une détention du détenu enfermé dans un petit placard, avec une climatisation puissante, sont des formes de torture couramment pratiquées dans cette prison. Ceci s'ajoutant à une violence verbale, bien sûr, et au fait que les prisonniers sont forcés de dormir à même le sol, sans matelas ni couvertures. En 2013, selon certaines sources, deux Palestiniens sont morts sous la torture dans la Prison centrale de Jéricho à cinq jours d'intervalle. Leur identité étant Arafat Jaradat et Ayman Samarah. Plus tôt ce mois-ci, le père de Ahmed Salhab, qui a été détenu récemment par les forces de sécurité de l'Autorité palestinienne et emmené à la prison de Jéricho, s'est plaint d'une grave détérioration de la santé de son fils à cause des tortures subies. Le père a raconté que son fils souffrait de douleurs aiguës ayant résulté de coups qui lui ont été portés à la tête par ses interrogateurs.
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On rapporte que des détenus dans des prisons palestiniennes ont fait des grèves de la faim pour protester contre leur incarcération et les tortures. Malheureusement pour eux, ce n'est pas dans une prison israélienne qu'ils font une grève de la faim, là où de telles actions attirent immédiatement l'intérêt des grands médias. Une organisation des droits de l'homme basée à Londres a rapporté trois mille cent soixante-quinze cas de violations des droits de l'homme, détentions arbitraires y compris, par les forces de l'Autorité palestinienne en Cisjordanie en 2016. Selon ce rapport, parmi ceux qui ont été détenus, des étudiants et des enseignants à l'université, ou des professeurs d'école également. Pendant cette même année les forces de sécurité de l'Autorité palestinienne ont également détenu vingt-sept journalistes palestiniens, comme l'a révélé ce rapport. Les responsables politiques et des services de sécurité de l'Autorité palestinienne rejettent ces rapports, les qualifiant de « propagande » orchestrée par le Hamas.
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Mais on n'a pas besoin d'attendre que le Hamas parle au monde de torture et de violations des droits de l'homme aux mains des agents de sécurité de l'Autorité palestinienne. Parmi les milliers de Palestiniens qui ont vécu une incarcération dans les prisons et les centres de détention de l'Autorité palestinienne ces deux dernières décennies, nombreux sont ceux qui sont prêts à raconter leur histoire. Mais qui est prêt à les écouter ? Pas les gouvernements occidentaux, ni les organisations des droits de l'homme, ni les journalistes. La plupart d'entre eux cherchent le mal en Israël et en Israël seulement. Pourtant une telle politique encourage l'émergence d'une dictature arabe de plus au Moyen-Orient. Pour le moment, les habitants de Jéricho continueront à entendre dans leur ville les hurlements des détenus qui sont torturés. Le reste du monde fermera les yeux, se bouchera les oreilles, et continuera à prétendre que tout est rose au pays d'Abbas, conclut Khaled Abu Toameh (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Mais revenons à la "Palestine" : 154 députés et sénateurs français de tous bords politiques confondus ont lancé un appel au président de la République, François Hollande, par courrier (une lettre ouverte publiée dans le Journal du dimanche du 26 février 2017), pour lui demander de reconnaître 'l'État de Palestine'. "La France doit marquer sa volonté de sortir de l'impasse sur ce conflit en réaffirmant solennellement, au nom du droit inaliénable à l'autodétermination, que le peuple palestinien est fondé à se doter d'un État. Il en va du respect du droit international". Non mais de quoi se mêle la France ? Elle ferait mieux de gérer ses zones de non-droit contrôlées par des franco-musulmans parfois islamistes radicaux et accorder l'indépendance à ses territoire occupés d'outre-mer, au lieu de donner, sans cesse, des leçons totalement déplacées, au peuple juif israélien, qui de toute façon, se moque éperdument, de ce qui se dit, à son sujet, à Paris...
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Dans le climat d’incertitude quant à l’avenir de la « solution à deux États » depuis la rencontre entre Donald Trump et Binyamin Netanyahu, un commentateur palestinien a averti que l’idée d’un "Etat palestinien" comprenant Gaza et une partie de la péninsule égyptienne du Sinaï (option « Gaza-Sinaï ») gagnait du terrain. De son côté, le ministre israélien Ayoub Kara avait signifié, avant la réunion de Netanyahu avec Trump, que les deux hommes « adopteraient le plan du président égyptien al-Sisi : un Etat à Gaza et au Sinaï ; au lieu de la Judée et de la Samarie dites "Cisjordanie".
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A noter également que la nouvelle ambassadrice américaine aux Nations-Unies, Nikki Haley a déclaré : « Les Etats-Unis ne laisseront plus faire, ils exprimeront au sein de l’ONU leur alliance d’acier avec Israël ». Nikki Haley a en outre dénoncé « l’obsession anti-israélienne » et elle a affirmé qu’elle ne laisserait pas le Conseil de sécurité cibler Israël avec des condamnations unilatérales. Puis elle a ajouté : « Je pensais que le Conseil de sécurité était censé trouver des voies vers la paix et la Sécurité dans le monde, mais lors de cette séance [ndmg - du Conseil de Sécurité], au lieu de parler du réarmement du Hezbollah au Liban, de l’argent iranien qui coule à flots en direction des organisations terroristes, de la manière dont on peut anéantir Daech, la séance a été consacrée à Israël, la seule démocratie de la région.
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Daniel Greenfield - Fin de la « Palestine », Etat fantôme :
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De son côté, Daniel Greenfield, toujours à propos de la "Palestine", écrit notamment, dans une analyse fondée et détaillée (extraits adaptés par Albert Soued ; voir liens vers sources en bas de page) : Le mot Palestine représente bien des choses. Un nom romain et un mensonge de la Guerre Froide. C’est surtout la justification pour tuer du Juif. « La Palestine » est un vieux complot soviéto-saoudien qui avait pour objectif de créer une fausse nationalité à des clans arabes qui avaient envahi et colonisé le territoire d’Israël. Ce grossier mensonge a réussi à transformer des terroristes gauchistes et islamistes en des libérateurs d’une nation imaginaire. D’un coup, les efforts meurtriers du bloc soviétique et du bloc musulman pour détruire l’état juif devinrent une entreprise liée à de « sympathiques victimes ». Mais ce mensonge palestinien est périmé aujourd’hui.
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Nous percevons le « terrorisme palestinien » comme un conflit de niveau bas qui relie entre elles les diverses invasions d’Israël par les armées arabes socialistes. Après plusieurs guerres perdues, ce qui restait c’était la terreur intermédiaire (voir www.nuitdorientcom/n741.htm ). L’Egypte, la Syrie et l’Union soviétique jetèrent l’éponge, et arrêtèrent les guerres de chars et d’avions, le financement de la terreur étant moins coûteux et moins risqué pour eux. De plus, dans les opérations terroristes, les dividendes sont de loin supérieurs à la mise. Pour un prix inférieur à celui d’un avion de combat, les terroristes peuvent atteindre Israël en profondeur, tout en l’isolant sur le plan international, avec des exigences de « nation » et de « négociation ». En effet, après la Guerre Froide, la Russie était à court de liquidités et les « papas apportant des bonbons à l’Olp » s’étaient lassés de payer des collections de chaussures de mode à Mme Souha Arafat et les factures de nettoyage des « keffyeh » de son époux.
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Le groupe terroriste approchait de sa fin et la notion de Palestine apparaissait plus clairement comme une illusion, sans beaucoup d’avenir. Mais voilà que sieur Clinton, et la gauche agitée du parti travailliste israélien qui, contrairement à son homologue britannique, n’avait pas réussi à s’adapter au nouveau boom économique mondial, ont décidé de sauver Arafat et de créer une entité, « la Palestine ». Le désastre terroriste qui s’ensuivit tua des milliers d’individus, angoissa 2 générations d’Israéliens, isola le pays, et mit à la portée des bombes humaines, pour la première fois, toutes les villes israéliennes. Malgré des propositions de concessions majeures, Israël n’a pas réussi à se débarrasser du poids de la nouvelle idée des « 2 états pour 2 peuples ». Détruire Israël brutalement ou à petit feu était généralement perçu comme un petit prix, comparé à un conflit généralisé.
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Les mêmes forces économiques qui avaient transformé le monde après la Guerre Froide ont sauvé la Palestine. Arafat avait perdu ses parrains à Moscou, mais il venait de trouver de nouveaux « papas à bonbons » dans le Mondialisme. La loi et les affaires internationales, l’internet, la suppression des frontières constituaient le nouvel ordre mondial remplaçant la Guerre Froide. Les exigences d’un clan à Hébron pouvaient attirer l’attention du monde entier, car le nouvel ordre mondial pouvait mondialiser tout conflit local, puisque tout était connecté. Un terroriste qui explose une pizzeria à Jérusalem peut avoir une incidence sur les cours de bourse à New York, le développement d’une société en Chine ou sur une autre attaque terroriste à Paris. Ces interconnections sont devenues l’arme de choix des terroristes islamiques. Aujourd’hui le Mondialisme est moribond et sa mort emportera la Palestine avec elle.
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Une nouvelle génération de chefs est née, sérieusement hostile à cette Globalisation. D Trump et Brexit sont deux exemples importants opposés au « transnationalisme ». Et les sondages ailleurs montrent qu’ils ne sont pas seuls. La plupart des gouvernements cherchent aujourd’hui à avantager leur propre pays plutôt qu’à déployer un filet de sécurité transnational pour les autres nations. Et la cause palestinienne perd de son intérêt. D’ores et déjà, de nombreux pays arabes et Musulmans s’intéressent plus à coopérer avec Israël qu’à cacher leurs difficultés derrière la cause palestinienne (Note de Michel Garroté - s’exprimant lors de la toute récente Conférence sur la Sécurité à Munich, Avigdor Lieberman et le Ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir se sont alignés sur la même position face à l’Iran et ont exhorté l'ONU à sanctionner les agressions iraniennes, notamment au Yémen et aussi le tir de missile balistique par Téhéran il y a quelques jours).
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Malgré le fait que 45% des Américains sont favorables à un état palestinien dépassant de peu ceux qui le refusent, la tendance est à l’inverse et à « l’Amérique d’abord ». Les « transnationalistes » croient fermement qu’ils peuvent et doivent résoudre n’importe quel problème qui se pose dans le monde, depuis le réchauffement climatique, jusqu’à la justice internationale, ou encore l’idée de « 2 états pour 2 peuples ». L’Islam radical s’est engouffré dans les failles du système, pas de frontières, membres de coalitions qui se neutralisent, propagande et recrutement aisés… Cela ne veut pas dire que les « nationalistes », comme le Japon, qui ont par exemple besoin de pétrole, ne cèderont pas devant les exigences de leurs fournisseurs arabes, malgré leur sympathie à l’égard de la lutte d’Israël. D’un autre côté, alimenter indéfiniment les caisses de l’Autorité palestinienne sans résultat, a des limites, de même que déployer des efforts diplomatiques dans un probable trou noir.
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Mais cela ne veut pas dire non plus qu’ils s’aligneront immédiatement sur la position israélienne. Pendant 2 décennies, s’aligner sur la solution « 2 états pour 2 peuples », avec l’objectif de créer un état islamique terroriste au milieu d’Israël, a été le prix demandé à l’Etat juif pour qu’il participe à la Communauté internationale. Ce niveau de prix ne disparaîtra pas du jour au lendemain, mais il sera plus aisé à négocier. Le changement réel viendra du côté palestinien où une cleptocratie terroriste se nourrit de la misère humaine pour construire des villas à Ramallah. Conçu au départ comme moyen de combat par les ennemis de l’Occident, lors de la Guerre Froide, cet Etat terroriste a été réanimé par conviction, par les « transnationalistes occidentaux ». L’Autorité palestinienne, créée comme entreprise par l’Olp, elle-même entreprise des terroristes du Fatah, n’est pas une structure économiquement viable.
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Elle vit de dons et ses succès diplomatiques sont dus aux réseaux « transnationalistes », l’Onu, les medias et les Ong. Rappelons que lors des négociations entreprises par l’administration Obama, c’est le Secrétaire d’Etat américain John Kerry lui-même qui représentait les Palestiniens. Si vous ôtez cet ordre « transnational », l’Autorité palestinienne aura besoin d’un nouveau « papa avec des bonbons ». Mais l’Arabie est meilleure dans les promesses que dans leur exécution. Et la Russie n’a plus les moyens de subvenir aux besoins croissants de Ramallah. Peut-être l’Iran. Mais c’est à voir. En tout cas, cette Autorité palestinienne ne peut survivre sans le soutien américain. Et la farce prendra fin, mais pas tout de suite. Aujourd’hui Israël a les moyens d’accélérer le processus, si cet état veut bien prendre le risque de transformer un statu quo corrosif en un conflit plus explosif dans le court terme, mais plus gérable à long terme.
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Contrairement à feu Peres et Sharon, B Netanyahou n’est pas un joueur. Le processus de paix était une grosse spéculation, comme d’ailleurs le retrait du Liban et l’expulsion de Gaza. Toutes ces spéculations ont échoué, laissant des cicatrices et des crises qui durent. A l’opposé des autres 1ers ministres, Netanyahou n’a pas pris beaucoup de risques. Il a été un excellent gestionnaire d’une économie en pleine croissance et d’une nation florissante. S’il est resté si longtemps au pouvoir, c’est que le citoyen est assuré qu’il ne prendra pas de folle décision. Obama était furieux contre lui, car il ne voulait prendre aucun risque, se contentant de gérer prudemment son pays, d’où sa longévité. Mais n’oublions pas non plus que Bibi était aussi un ancien commando. En fait, il ne prend aucun risque avant d’avoir une balle en ligne de mire. Et aujourd’hui, il est beaucoup plus risqué pour Israël de ne pas prendre de risque que d’en prendre.
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Il est temps de jeter les dés. Car la vague nationaliste peut ne pas durer. L’ordre « transnational » peut revenir. Ou la nouvelle vague peut se transformer en quelque chose d’imprévisible etc. Le statu quo actuel est instable : un faible état terroriste islamo-gauchiste soutenu par les Etats-Unis, un état terroriste des Frères Musulmans, soutenu par la Qatar et la Turquie, se renforçant à Gaza, et Israël utilisant sa brillante technologie pour gérer les menaces de tout bord. Cet équilibre peut s’effondrer d’un moment à l’autre. L’Olp a infligé à Israël de grands dommages sur le plan diplomatique et le Hamas terrorise la plupart de ses villes. Ensemble, ils constituent une menace existentielle qu’Israël a laissé filer, sous prétexte de la gérer. L’avenir n’est pas aussi sûr qu’il n’en a l’air. La Palestine est aujourd’hui moribonde, et Israël n’y est pour rien. Cela vient de la chute de l’ordre « transnational ». La question est de savoir quel autre ordre le remplacera. Aujourd’hui une vague nationaliste envahit l’Occident et Israël a devant lui l’opportunité de réclamer des frontières et une Nation, ajoute Daniel Greenfield (fin des extraits adaptés par Albert Soued ; voir liens vers sources en bas de page).
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Introduction & mise en page de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Source (Hélène Keller-Lind) :
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http://www.desinfos.com/spip.php?article56924
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Source (Khaled Abu Toameh) :
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https://fr.gatestoneinstitute.org/9904/palestiniens-torture
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Source (Daniel Greenfield) :
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http://www.nuitdorient.com/n24149.htm
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L'auteur : Daniel Greenfield, écrivain new yorkais spécialisé dans l’Islam radical et membre du 'Freedom Center', via 'Shillman Journalism'. Son article a été publié dans 'Front Page Mag'.
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Traduit et adapté, par Albert Soued, écrivain et journaliste, pour :
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www.nuidorient.com
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'Front Page Mag' pour la version originale de l'analyse de Daniel Greenfield :
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http://www.frontpagemag.com/fpm/265820/end-palestine-daniel-greenfield
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Blog Archives
Presque tout sur Israël mais pas tout
Le président américain Barack Hussein Obama a renoncé à tout effort visant à pousser Israël à agir concernant le "processus de paix" (bloqué par les palestiniens), ont déclaré des responsables américains, précisant qu’Obama évitera une dernière rencontre avec le gouvernement israélien avant son départ, le 20 janvier 2017, de la Maison Blanche.
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J'en profite pour signaler ou rappeler (voir source en bas de page) qu'Israël est la 8ème puissance mondiale : Israël détient le record de la plus forte concentration de start-ups dans le monde, après la Silicon Valley. D’après le magazine américain US World Report & News, Israël est aujourd’hui la 8ème puissance mondiale. Israël est l’un des rares pays au monde à avoir atteint le plein-emploi en 2015 : moins de 5,3% de la population est au chômage. Israël est le seul pays où Starbucks a échoué son introduction au marché israélien, car pour la plupart des israéliens, il n’y a pas meilleur que les cafés servis dans les boutiques locales, comme Aroma ou Cafe Cafe.
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Depuis au moins 2 ans et pour toutes les innovations à venir, 100% des produits Apple intègrent des recherches et des technologies en Israël. Jérusalem est la première ville au monde à être entièrement couverte par du Wi-Fi. 12 israéliens ont déjà remporté un prix Nobel, dont 10 sur les vingt dernières années : 6 en chimie, 3 Nobel de la paix, 2 de l’économie et 1 de littérature. En juin 2013, Google rachète Waze, la célèbre application israélienne de GPS, pour 1,15 milliard de dollars. Tel-Aviv a été élue 9ème ville balnéaire du monde par National Geographic. L’espérance de vie d’un israélien est l’une des plus élevées au monde : 81,6 ans.
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Israël est le seul pays au monde à avoir instauré le service militaire obligatoire pour les femmes. Il y a plus de 40 McDonalds certifiés cacher en Israël. Le seul de ce type en dehors de l’Etat Juif se situe à Buenos Aires, en Argentine. L’équipe de basket du Maccabi Tel-Aviv fait partie des meilleurs clubs au monde. Elle a remporté l’EuroLeague 5 fois. Israël est le seul pays du globe à avoir accru le nombre d’arbres sur sa terre au 21e siècle. Grâce à Taglit, chaque jeune juif, âgé de 18 à 26 ans, a la possibilité de faire un voyage de découverte de 10 jours en Israël gratuitement. Et vous savez quoi ? Innovation de taille : il existe des glaces au houmous en Israël (voir source en bas de page).
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A propos d'Israël, le Pasteur Gérald Fruhinsholz écrit notamment (voir source en bas de page) : Fin novembre 1947, le plan de partage de la Palestine est approuvé par l’Assemblée Générale de l’ONU, à New York. Il propose le partage de la Palestine en deux États, l’un juif, l’autre arabe, Jérusalem devant être placé sous contrôle international. Alors que le plan est accepté par les dirigeants de la communauté juive, il est totalement rejeté par la totalité des Arabes, qui s’empressent de déclarer la guerre aux Juifs dès la création de l’Etat hébreu, le 14 mai 1948. La Jordanie occupera alors durant 19 ans (jusqu’à la guerre des six jours) Jérusalem et la Judée-Samarie, sans réaction des nations ; durant cette occupation arabe, le monde musulman ignorera Jérusalem.
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Le Partage est voté par 33 voix contre 13 avec 10 abstentions. L’ONU ne comptait alors que 57 membres contre 192 aujourd’hui. Le terrorisme a toujours accompagné l’histoire de l’Israël moderne. Il n’est pas lié aux « territoires » comme on veut le dire aujourd’hui. Le terrorisme préexiste à la naissance même de l’État d’Israël en 1948. Dans les années 1920-1921, une vague d’émeutes antijuives se déchaîna. Le massacre de la communauté juive de Hébron date de 1929 ; la révolte arabe de 1936-1939 fut l’occasion d’assassiner de nombreux Juifs. Le terrorisme arabe s’intensifia à la veille de la résolution 181 des Nations Unies du 29 novembre 1947 qui officialisait la partition du territoire. Ce fut en fait véritablement le début de la guerre dite Guerre d’Indépendance. Le rejet arabe du plan de partage ne se limita pas à un acte politique.
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Les Arabes de la Palestine mandataire ont lancé une campagne terroriste à grande échelle contre leurs voisins juifs, suivie par l’invasion d’Israël par cinq armées arabes qui voulaient le détruire, dès que fut proclamée son indépendance, le 14 mai 1948. La population juive se défendit contre le projet des Arabes : « jeter les Juifs à la mer », au prix élevé de près d’1% de sa population totale tout en subissant les dommages importants causés au tout nouvel Etat. La population arabe locale a également souffert en raison du refus d’accepter le plan de partage. Plusieurs ont cédé aux appels de leurs dirigeants à fuir, d’autres se sont fait prendre au combat.
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La majorité de la population arabe restée en Israël a opté pour un statut citoyen à part entière, bénéficiant de droits égaux à ceux des citoyens israéliens. Néanmoins, le problème des réfugiés palestiniens est alors créé artificiellement, entretenu par les dirigeants arabes et palestiniens jusqu’à ce jour. Le problème des réfugiés juifs, qui lui est comparable, a cependant été résolu, lui, par l’Etat d’Israël naissant. À la fin de la guerre, l’Egypte disposait du contrôle de la bande de Gaza et la Jordanie avait annexé la Cisjordanie. Sans pour autant jamais juger bon d’établir un Etat palestinien dans le territoire qu’ils ont pourtant contrôlé pendant 19 ans, ajoute le Pasteur Gérald Fruhinsholz (voir source en bas de page).
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Michel Garroté
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http://www.tribunejuive.info/israel/un-texte-jouissif-israel-8eme-puissance-mondiale
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http://www.shalom-israel.info/?p=5559
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Affrontements entre parrains du Fatah
Michel Garroté - Commençons tout de même par rappeler que Mahmoud Abbas (du Fatah palestinien) est l'ennemi idéologique N.1 d'Israël. Abbas (alias Abu Mazen) fait semblant de reconnaître qu'Israël existe, tout en ne reconnaissant pas le droit d'Israël à exister. Et notons aussi, en passant, que le président américain Barack Hussein Obama (très, très pro-palestinien) a renoncé à tout effort visant à pousser Israël à agir concernant le "processus de paix", bloqué par les palestiniens.
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C'est ce qu'ont déclaré, jeudi 1er décembre 2016, des responsables américains, précisant qu’Obama évitera une dernière rencontre avec le gouvernement israélien avant son départ, le 20 janvier 2017, de la Maison Blanche. Continuons en signalant que le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a fustigé "l’élection" (scandaleuse !) du terroriste palestinien Marwan Barghouti - emprisonné à vie en Israël - au Comité central du Fatah, lors de la Convention (houleuse) du parti.
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A ce propos, C. Jacob, chargé de recherche à MEMRI, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le 29 novembre 2016, le Septième Congrès général du Fatah s’est tenu au quartier général de l’Autorité palestinienne à Ramallah, trois ans après la date prévue par le règlement du mouvement. La date du Congrès n’est pas une coïncidence ; c’est le 29 novembre 1947 que l’ONU a adopté son Plan de partition de la Palestine, et en 1977, cette date a été déclarée par l’ONU comme la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien. Le Congrès intervient alors qu’Abbas affronte une pression grandissante de certains éléments palestiniens et des pays du Quartet arabe menés par l’Egypte, en vue de lui désigner un adjoint ou un successeur, pour deux raisons principales : tout d’abord, pour qu’il n’y ait pas de vide politique le jour où il disparaîtra de la scène, et ensuite, pour empêcher le Hamas d’obtenir le contrôle de l’Autorité palestinienne (AP).
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Selon la loi, en effet, le président du Conseil législatif palestinien (CLP) est le suppléant en cas d’incapacité du président, et cette fonction est actuellement remplie par Aziz Duwaik du Hamas. Cette pression s’est manifestée par le soutien de l’Egypte aux réunions tenues sur son sol par les partisans de l’amer rival et potentiel successeur d’Abbas, Dahlan, et par les demandes présentées à Abbas par le secrétaire général de la Ligue arabe Ahmad Abou Al-Gheit et les anciens secrétaires généraux Amr Moussa et Nabil Al-Arabi, lors d’une visite à Ramallah, pour qu’Abbas accepte la proposition du Quartet de désigner un successeur et d’accepter une réconciliation au sein du Fatah, demandes qu’Abbas a entièrement rejetées.
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Afin de promouvoir une telle réconciliation, les Egyptiens ont accepté d’accueillir toutes les factions palestiniennes au Caire, après leur rencontre avec des représentants du Djihad islamique palestinien, au début novembre 2016. Des représentants haut-placés du Fatah ont affirmé que le Septième Congrès général du Fatah pourrait choisir un adjoint à Abbas uniquement en tant que président du Fatah, et qu’il n’était pas habilité à désigner un adjoint pour ses autres fonctions en tant que président palestinien ou chef de l’OLP. Le membre du Conseil révolutionnaire du Fatah Amin Maqboul a expliqué : « Selon le règlement du Fatah, un adjoint au président du mouvement doit être choisi parmi les membres du Comité central. Cela n’a rien de nouveau ».
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Le membre du Comité central du Fatah Azzam Al-Ahmad a déclaré : [Selon le règlement,] le président du mouvement a un adjoint. Dans ces conditions, pourquoi est-il nécessaire de soulever ce sujet alors que c’est stipulé dans le règlement ? Aujourd’hui, Abou Maher Ghneim est le président adjoint du mouvement, et avant lui, à l’époque du président martyr Yasser Arafat, c’était Khalil Al-Wazir Abou Jihad ». Le Secrétaire général du Comité exécutif de l’OLP Saeb Erekat a également déclaré qu’Abbas avait besoin d’un adjoint : « Le président Arafat est décédé sans avoir d’adjoint, et le Comité exécutif de l’OLP a choisi Abbas comme président ; le Comité central du Fatah s’est réuni et a choisi Abbas [comme dirigeant du mouvement] ; et le peuple est allé aux urnes et a choisi Abbas comme président de l’AP ».
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Si le Fatah avait déjà parlé de tenir la conférence cette année, c’est Abbas qui a décidé de manière impromptue, début novembre, qu’elle devait avoir lieu ce jour-là, dans l’intention d’en profiter pour écarter totalement Dahlan du mouvement. Dahlan, de son côté, a tenté, avec le soutien du Quartet arabe, d’empêcher ou de repousser la conférence, mais sans succès. En outre, ses partisans ont par la suite été éliminés de la liste des participants. Mais ce n’est qu’une victoire temporaire pour Abbas, qu’il doit à l’AP. Ayant agi contre la volonté du Quartet, il devra en payer le prix dans ses relations avec les pays du Quartet, et notamment avec l’Egypte. Dans l’arène intérieure palestinienne, la tension des relations Abbas-Dahlan pourrait donner lieu à une rupture totale entre les deux camps, qui aggravera encore la situation des Palestiniens.
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Deux jours avant la conférence, l’associé de Dahlan, Sufyan Abou Zaida, a appelé tous les membres du Fatah qui avaient été éliminés à participer au Septième Congrès général pour élever la voix et protester contre l’injustice qui leur est faite, « afin que le mouvement ne leur soit pas dérobé ». Entre-temps, la rivalité entre Abbas et Dahlan s’est accrue, comme en témoignent les échanges d’accusations entre les deux camps, lors de la réunion tenue début novembre par les partisans de Dahlan dans le camp de réfugiés d’Al-Amari près de Ramallah, et le harcèlement des partisans de Dahlan par les appareils de sécurité de l’AP, qui a mené à de violents affrontements au cours desquels des gens innocents ont été tués.
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Afin de neutraliser Dahlan et ses supporters, Abbas a pris des mesures supplémentaires, dont l’arrêt du versement des salaires des employés de l’AP qui soutiennent Dahlan ; la réduction de la liste des participants au Septième Congrès général pour éliminer les hommes de Dahlan, comme indiqué, faisant passer le nombre des participants de 2'500 lors du précédent congrès à 1'400 ; l’autorisation demandée à un tribunal palestinien de retirer l’immunité des membres du CLP pour pouvoir viser les hommes de Dahlan au sein du CLP ; et l’ordre aux appareils de sécurité de procéder à des arrestations préventives au sein de leurs propres effectifs affiliés à Dahlan.
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Selon des représentants du Fatah, le Septième Congrès général devait débattre d’un projet politique et de l’impasse dans le processus politique ; des méthodes de combat contre Israël ; de la réconciliation Fatah-Hamas ; du règlement intérieur du Fatah et d’une autocritique au sein du mouvement, focalisée sur un bilan des réussites, les conclusions à tirer des erreurs commises et sur l’apport de sang neuf au sein de la direction du mouvement. Les conflits au sein du mouvement ont contribué à diminuer les attentes à l’égard du Congrès. Plusieurs officiels du Fatah ont affirmé que sa seule tenue était en soi une réussite.
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Pour eux, maintenir Dahlan et ses partisans au dehors et repousser les tentatives de la moitié des pays arabes de le réintégrer au sein du Fatah, véhiculant le message que les Palestiniens sont maîtres de leur destin et que leurs décisions restent indépendantes, montrerait que le Congrès a atteint plusieurs de ses objectifs. Concernant le projet politique du Fatah, les officiels ont affirmé qu’il se focaliserait sur la poursuite de l’activité diplomatique pour isoler et délégitimer Israël et pour étendre la résistance populaire, conclut C. Jacob, chargé de recherche à MEMRI (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté pour lesobservateurs.ch
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http://www.memri.org/report/en/0/0/0/0/0/0/9580.htm
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http://www.memri.fr/2016/11/30/le-septieme-congres-general-du-fatah-se-reunit-a-lombre-de-laffrontement-entre-abbas-et-dahlan/
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