Adrien Sénécat travaille aux Décodeurs, ceux qui prétendent faire la chasse aux "Fake News", grande fierté de la gauche contre les méchants populistes.
Double condamnation pour le journal Le Monde. Selon le média en ligne Les Crises, qui publie des analyses d’horizons variés « afin d’aider les lecteurs à se faire leur propre opinion », le quotidien a été condamné par le tribunal de Paris pour un article du 16 mars 2017 du journaliste Adrien Senecat. Le journaliste des Décodeurs avait publié un article sur l’industrie de la désinformation. Selon Olivier Berruyer, visé, l’article l’accusait « à tort » d’avoir supprimé 600 articles pour cacher des erreurs. Le directeur de la publication, Louis Dreyfus a écopé de 1 000 euros d’amende et Adrien Senecat de 500 euros. Ils doivent aussi payer 1 500 euros de dommages et intérêts à Olivier Berruyer.
Et les "journalistes" condamnés pour Fakes par la justice sont: @samuellaurent & @AdrienSnk !!!
C'est à dire les gars des @decodeurs 😅😂ceux qui sont chargés par @lemondefr et @cavousf5 de débusquer les fakes🤣
Houah j'ai mal aux cotes tellement je ris👍https://t.co/ZpWA7FPEYS— Patrick Edery (@patrick_edery) December 18, 2019
Un tweet diffamatoire
Dans le même temps, le journaliste Samuel Laurent a également été condamné. Un tweet du 16 février 2017 insultait Olivier Berruyer de « faussaire ». Là non plus, le journaliste « n’a pu démontrer la réalité de ses graves accusations », explique Les Crises. Il a été condamné à 500 euros d’amende et 1 000 euros de dommages et intérêts à régler à Olivier Berruyer. Ce dernier dit d’ailleurs ne garder « aucune acrimonie » envers Samuel Laurent dont les enquêtes passées étaient de grande qualité.