Une pétition veut obliger la Suisse à financer la formation de requérants d’asile déboutés

Nombre de Suisses rencontrent des problèmes financiers pour accomplir leurs formations mais c'est pour des individus qui n'ont rien à faire ici que ce groupement se mobilise. Cela en dit long sur la mentalité qui fait loi dans notre pays.

Ainsi non seulement ces personnes ne partiront pas alors qu'elles sont déboutées (à quoi sert de statuer dans ce cas?) mais encore elles bénéficieront de notre argent de manière indue alors que nous en avons besoin pour les nôtres. Ce système de pompe aspirante permettra également à quiconque d'envoyer ses enfants en Suisse en sachant qu'il restera à notre charge sans risque de se faire expulser.  Et c'est cela le but de la gauche. Ainsi les faux requérants se hâteront de "commencer une formation" pour être à la pleine charge de la Suisse. Une telle magouille ne choque pas la Verte Lisa Mazzone.

La Suisse devient magiquement responsable de n'importe quel jeune qui pose les pieds dans notre pays. Les Suisses doivent payer et se taire. Imaginez le système de pompe aspirante que cela génère: n'importe qui dans le monde pourra nous envoyer ses enfants, en sachant que nous allons payer pour leur donner éducation, foyer, habits, nourriture, soins.

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Mardi, près de 10'500 signatures ont été remises à la Chancellerie fédérale pour soutenir la formation des jeunes requérants déboutés.

Les jeunes requérants d'asile doivent pouvoir terminer la formation qu'ils ont entamée en Suisse, même s'ils ont entre temps reçu une réponse négative à leur demande. L'association «Une formation - un avenir» leur apporte son soutien, notamment via une pétition forte de près de 10'500 signatures et transmise mardi à la Chancellerie fédérale et au Grand Conseil bernois.

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20min.ch

Nos remerciements à Wilhou

France. BTP, industrie, services : 1 000 réfugiés vont suivre une formation professionnalisante gratuite

Logés, nourris, formés, recrutés. Sept organismes paritaires et l’Afpa vont proposer à 1 000 réfugiés une formation dont le but est de les intégrer professionnellement.

Et si l’on formait les demandeurs d’asile pour leur donner un travail et un avenir en France ? C’est pour répondre à cette question que 7 organismes paritaires (Afdas, Agefos PME, Constructys, Faf.tt, Forco, Opcaim et Opcalia) ont mené une expérimentation en Île-de-France et dans les Hauts-de-France. Suite au succès de cette tentative, 1 000 réfugiés vont pouvoir profiter d’une formation complète grâce à un partenariat signé avec l’AFPA.

Logés et nourris, les bénéficiaires suivront un premier socle de cours pour mieux maîtriser notre langue : ces 200 heures de français seront dispensées “par l’Ofii (Office Français de l’immigration et de l’intégration) dans le cadre du contrat d’intégration républicaine”.

Un cursus complet et gratuit

Ensuite, dans le cadre d’une préparation opérationnelle à l’emploi collective (Poec), 400 heures de cours veilleront à les doter d’un français de qualité professionnelle. Et à leur faire découvrir les métiers qui leur sont accessibles dans le BTP, l’industrie et les services…

Une fois acquis un certain niveau de français, les candidats à l’emploi bénéficieront selon la Faf.tt, spécialisée dans le travail temporaire, “d’un contrat de professionnalisation ou d’un contrat de développement professionnel intérimaire de minimum 450 heures”. Un premier pas vers un recrutement.

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