Biden ne peut pas être légitime, c’est un roi nu

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Biden ne peut pas être légitime, c’est un roi nu

 

L’élection présidentielle américaine fait de plus en plus penser au syndrome des habits de l'empereur, dans lequel un diagnostic erroné peut être confirmé par plusieurs médecins par «contamination» du diagnostic précédent. A force de vouloir convaincre que Biden aurait été élu dans les règles, beaucoup ont oublié cette dimension essentielle du pouvoir qui est la légitimité. Et de ce point de vue Biden n’en a aucune, c’est un roi nu. Que le Congrès le consacre ou non.

Faut-il rappeler que le pouvoir ne découle pas uniquement et abstraitement de la loi mais qu’il découle de plus loin et de ce que la théorie anglo-saxonne (Locke) appelle le consentement de tous.

Biden et Harris pour peu que le Congrès les consacrent ne pourront jamais être au pouvoir avec le consentement de tous. Après tout ce qui s’est passé durant l’élection c’est devenu strictement impossible. Ils ne peuvent plus ni l’un ni l’autre revêtir le manteau du pouvoir légitime.

La légitimité a besoin de la reconnaissance du peuple, de tout le peuple, et pour cela il faudrait que toutes les règles essentielles de l’élection aient été respectées, or chacun sait aujourd’hui ce qu’il en est. A la base de l’élection de Biden il y a de graves et nombreuses violations des principes fondamentaux de l’Etat de Droit.

On a voulu nous expliquer que Biden aurait respecté toutes les lois, la preuve étant les échecs de Trump en justice, mais deux mois après l’élection on constate que le voile qui dissimule la vérité s’est largement déchiré, déjà l’on voit des jugements insoutenables qui maintenant se contredisent et se télescopent, on voit au grand jour des rapports statistiques et forensiques qui amènent des précisions et des preuves qu’il y a encore quelques semaines les juges rejetaient sans même les regarder en les déclarant insuffisantes. Le défaut est énorme, il ne fait que grossir avec le temps.

Des incohérences incroyables sont apparues jours après jours et viennent désormais contredire l’appareil judiciaire des Etats-Unis. On ne sait pas comment les Américains vont faire avec ça, parce qu’il s’est passé des choses véritablement inacceptables pour une démocratie.

Déjà au Michigan. Dans cet Etat le citoyen y jouit du droit constitutionnel, et l’on souligne bien du droit constitutionnel, de demander que les scrutins soient soumis à des audits, c’est-à-dire que la validité des bulletins soit vérifiée et non pas seulement qu’ils soient recomptés [Article II, Section 4(1)(h) of the Michigan Constitution].

Dans cet Etat de nombreuses personnes ont signé des déclarations sous serment (affidavits) constatant de graves fraudes électorales, et leur requêtes ont toutes été rejetées par les juges faute de preuves suffisantes. Comment cela est-il possible ?

Comment explique-t-on, puisqu’il s’agit d’un droit constitutionnel, d’un droit fondamental qui appartient à tout citoyen de cet Etat, que devant de tels affidavits les autorités n’aient pas elles-mêmes immédiatement demandé des enquêtes approfondies ? Et qu’au contraire la Secrétaire d’Etat Démocrate n’ait cessé de freiner des quatre fers.

Dans le Michigan, il aura fallu un mois et demi pour qu’une étude forensique privée dans le seul comté d’Antrim soit enfin possible et après une bataille juridique homérique pour l’obtenir.

Donner des droits constitutionnels c’est bien, ici celui pour le citoyen du Michigan de demander des audits, mais ces droits ne servent à rien si l’appareil judiciaire et le Gouvernement peuvent réduire ce droit à néant.

Et que dire du cas choquant du Wisconsin ? [1]

Devant l’irresponsabilité des juges et si la justice n’est pas rendue par le Congrès alors cela finira devant le peuple, devant une moitié du peuple qui a été flouée. Le manteau de légitimité de Biden ne lui arrive ici déjà même plus aux genoux.

Quel que soit le cas que l’on regarde ce qui apparaît c’est une «résistance institutionnelle» monstrueuse à ne pas vouloir chercher la vérité.

Comment Biden Harris pourraient-ils jamais être reconnus légitimes dans ces conditions ? Ce n’est pas possible.

Où que l’on regarde, dans la plainte du Texas pour ne reprendre qu’elle, soutenue par 17 autres Etats, on voit partout des violations de la Clause électorale de la Constitution des Etats-Unis. [2]

Tant que ce qui s’est passé durant cette élection n’est ni jugé ni purgé il ne pourra jamais y avoir de légitimité pour Biden et Harris, c’est strictement impossible.

Si des audits complets des scrutins ne sont pas réalisés dans les Etats litigieux, si les nouvelles preuves amenées par les rapports qui s’accumulent, si notamment le rapport sur l’audit d’Antrim, le rapport Turner et le rapport Navarro [3] ne sont pas considérés et leurs conséquences tirées, alors nul ne pourra prétendre que cette élection a abouti en respectant les règles fondamentales d’un Etat de Droit.

Du respect véritable et sur le fond de ces règles fondamentales dépend le destin des États-Unis. La question de la légitimité de leur  pouvoir ne peut être réalisée qu’à cette condition. Le monde entier est en train de les regarder.

Personne n’a jamais pu mettre légitimement au pouvoir un gouvernement qui tirerait son élection de la violation de la séparation des pouvoirs, de modifications arbitraires des lois électorales et du déni de justice. Cela n’est tout simplement pas possible.

Si entretemps rien ne se passe, la responsabilité des représentants et des sénateurs américains va être abyssale et dépasser de très loin les considérations et les conséquences auxquelles ils sont habitués.

Michel Piccand, 2.1.2021

 

 

[1]

Elections US. La cas choquant du Wisconsin

https://lesobservateurs.ch/2021/01/01/elections-us-le-cas-choquant-du-wisconsin/

 

[2]

Le 21 décembre 2020 le président Trump lui-même déposait auprès de la Cour Suprême des États-Unis une demande de révision des jugements (writ of certoriari) contre la Secrétaire d’Etat de Pennsylvanie, Katy Boockvar, au motif précisément que cette dernière a violé le principe de  la séparation des pouvoirs dont il est question dans cet article.

(N.B. le droit américain n’utilise pas littéralement le concept de de la séparation des pouvoirs tel que l’utilise le droit continental (européen) mais sur le fond c’est pareil).

Le motif principal de Trump étant que l’Article II, Section 1, Clause 2 de la Constitution des Etats-Unis indique clairement que les processus électoraux présidentiels et donc les lois électorales sont de la compétence des législateurs (parlements) et d’eux seuls, ce dont il découle que nul autre que lesdits législateurs ne peuvent les modifier, et que si d’autres qu’eux le font (les Secrétaires d’Etat ou les clercs électoraux) alors ils violent les règles fondamentales des Etats-Unis !

La pétition de certoriari de Trump peut être lue ici :

https://cdn.donaldjtrump.com/public-files/press_assets/trump-v-boockvar-petition.pdf

 

Ce même motif était déjà soulevé par la plainte du Texas contre la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan et le Wisconsin déposée devant la Cour suprême des États-Unis, qui a refusé d’entrer en matière au motif que le Texas ne serait pas  légitimé à déposer une telle plainte.

https://www.texasattorneygeneral.gov/sites/default/files/images/admin/2020/Press/SCOTUSFiling.pdf

Extrait :

« 43. La Secrétaire d’État de Pennsylvanie, Kathy Boockvar, sans l’approbation du parlement, a abrogé unilatéralement plusieurs lois de la Pennsylvanie exigeant la vérification de la signature pour les votes par correspondance. Le parlement de Pennsylvanie n’a pas ratifié ces changements et la loi n’incluait pas de clause de divisibilité. »

 

N.B. On aura ici une petite pensée compassionnelle pour tous les grands médias, les grands journalistes, et tous leurs affidés qui nous répètent en cœur et en boucle depuis des semaines que Trump n’a aucun motif ni moyen juridique de revendiquer une quelconque violation du droit lors de l’élection. La réalité est exactement l’inverse. Cette presse s’est définitivement fourvoyée et a définitivement perdu tout crédit intellectuel et déontologique.

 

[3]

RAPPORT FORENSIC DANS LE COMTE D’ANTRIM

L’audit forensique qui a été effectué dans le comté d’Antrim sur le fonctionnement du logiciel de Dominion Voting System montre des faits qui à eux seuls interdisent de croire que le scrutin ait été intègre de manière générale. A teneur des fait révélés par l’examen du logiciel (système modifié en violation de la loi électorale, logs (journaux d’événements informatiques) supprimés et disparus, etc.) il semble évident que des activités illégales et frauduleuses ont eu lieu et que seuls des spécialistes pouvaient y procéder. Cela implique, de fait et par nature, l’existence hautement vraisemblable d’une fraude systémique et généralisée.

https://www.depernolaw.com/uploads/2/7/0/2/27029178/antrim_michigan_forensics_report_[121320]_v2_[redacted].pdf

 

RAPPORT TURNER

Ben Turner est l’ancien chef actuaire de la Texas Mutual Workers’ Compensation Insurance. Spécialiste de la fraude dans les assurances il a démontré par une étude complète (avec régressions linéaires et corrections des hétéroscédasticités) qu’il y avait clairement une anomalie statistique liée au système électronique de vote Dominion dont tout le monde a entendu parler et qui est spécialement mise en cause dans cette élection (cf. supra Comté d’Antrim).

Il n’hésite pas dans son étude à parler d’un « Effet Dominion ». Dans tous les comtés dans lesquels le système Dominion a été utilisé il a  trouvé des résultats de 1.5 % supérieurs en faveur de Biden et de 1.5 % inférieurs pour Trump par rapport aux comtés ou d’autres systèmes étaient utilisés.

Se présentant comme non partisan il a mis en garde que selon ces résultat il était absolument impératif que tous les scrutins ayant utilisé Dominion soient audités si l’on voulait que les citoyens américains puissent croire à l’intégrité du scrutin.

https://fraudspotters.com/statistics-about-dominion-election-fraud/

 

RAPPORT NAVARRO

Le Rapport Navarro a dressé un portrait statistique de l’ensemble des témoignages de fraudes et des plaintes et des événements. Après analyse de leur quantité, de leur qualité et de leur distribution il en conclut qu’il n’est pas possible d’en déduire que l’ensemble du scrutin présidentiel ait été intègre, qu’il n’est pas possible de tirer une telle conclusion.

https://fr.scribd.com/document/488495896/Navarro-Report

 

 

On remarque donc qu’il y a ici 2 axes différents qui ne permettent pas de dire que le scrutin a été respecté. 1. Les modifications illégales des lois électorales. 2. Les fraudes par logiciel.

10 commentaires

  1. Posté par Rictus le

    @mon grand ami Aldo: si la place n’était pas déjà prise, je dirais que vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. Je vous encourage donc à présenter votre candidature à la prestigieuse Académie des Travailleurs du Chapeau fondée par feu Pierre Dac. Nul doute qu’on vous y recevra à bras ouverts !

  2. Posté par aldo le

    Encore un petit verre pour la route et pour notre imposteur parasite, véritable Janus a double face Christian Rictus et autre alias multiples: https://lesobservateurs.ch/2021/01/04/il-est-tres-important-de-rectifier-immediatemen/ et pour ne pas qu’il perde son temps, il peut suivre le cours de ses amis préférés https://lesobservateurs.ch/2021/01/03/cours-de-masturbation-finances-par-berne-une-elue-udc-indignee/ … ce qui ne devrait pas trop lui fatiguer son neurone.

  3. Posté par Odidole le

    À Rictus, pour moi Trump ne demande pas de frauder les résultats mais demande que les bulletins soient recomptés car il y a eu fraude massive de la part des démocrates. Ce qui est scandaleux au delà de ces fraudes massives c’est que Trump soit espionné et qu’on enregistre ses conversations téléphoniques.
    Ceci dit nous connaissons cela depuis longtemps en France… les écoutes téléphoniques, l’espionnage de conversations privées entre un ancien président et ses avocats….
    et les “affaires” qui sortent opportunément la veille d’une élection présidentielle… au bénéfice de qui ?… Merci à monsieur Hollande entre autres qui a créé le Parquet National Financier pour détruire Nicolas Sarkozy (PNF qui continue de harceler l’ancien président encore aujourd’hui sans aucune preuve).
    Mais nous avions déjà eu le mur des cons… la gauche n’a aucune moralité et aucune retenue pour prendre et garder le pouvoir avec la complicité des médias et des juges majoritairement de gauche.

  4. Posté par Dominique le

    Avec Biden, famille et consorts à la présidence, les USA seront les champions des républiques bannières, corruption, sexe, pédophilie et soumission couronnés.

  5. Posté par leone le

    Biden, la lie de la politique américaine.

  6. Posté par Christian le

    @Antoine, un peu comme en Chine ?

  7. Posté par antoine le

    Si M. Bidon est élu sur la base de résultats falsifiés, nous allons vers une mascarade de 1èere classe !
    Après 6 mois, M. Bidon sera remplacée par la vice-présidente Mme K. Harris !!
    Les retombées de cette fraude industrielle vont faire des vagues et des dégâts pendant des décennies. TOUT le système juridique étant vérolé jusqu’à la moelle, il faudrait une remise en forme par la case ”militaire” et camp de travail pour quelques centaines de milliers de démon-rats corrompus …

  8. Posté par Don Aldo le

    Enfin du vrai journalisme. Merci pour la clarté des info. Bonne année et courage à tous dans ce combat pour la vérité!

Et vous, qu'en pensez vous ?

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