14 déc. 2018 - Avec AFP
Se soldant par un nouvel échec sur le Brexit, le conseil européen a été marqué par un échange houleux ce 14 décembre. La veille, le président de la commission européenne avait qualifié les débats de «nébuleux», un mot qui n'a pas plu à Theresa May.
Le script était clair: après avoir survécu à un vote de défiance à Londres, Theresa May devait repartir de Bruxelles renforcée, avec des avancées susceptible de convaincre le Parlement britannique d'approuver l'accord sur le Brexit.
Mais le scénario a déraillé. A l'issue de ce conseil européen, l'une des images qui restera est celle d'un échange tendu filmé entre la dirigeante britannique et le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker.
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Les Eurodeputés, c’est quoi? Des politiciens ratés dans leurs pays, expédiés pour des salaires de rêve dans un espace sans logique, pour faire ch… le monde. Dictature incompréhensible pour personne, punir et faire du chantage aux pays comme la Suisse et la Grande Bretagne. Où passent tous les miliards de contributions que chaque pays a l’obligation de payer. Existe-t-il seulement un contrôle? C’est désespérant!
La Suisse devrait proposer à l’Angleterre, aux pays du Visegrad (Hongrie, Pologne, Rep. Tchèque et Slovaquie) et à l’Italie, de former une alliance pour une Europe des nations, une Europe des coopérations, une Europe qui respecte les peuples et leurs identités. Une base pour une telle Europe existe déjà, c’est l’AELE :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Association_européenne_de_libre-échange
Au moins ça a le mérite de nous montrer “le piège bruxellois et l’incapacité dans laquelle ils veulent mettre les états, d’en sortir.
Mais dans “leur bras de fer” avec le Royaume Uni, on peut percevoir la peur de voir leur système s’effondrer. Alors en créant des obstacles incessants “tétanisant” Theresa May, ils pensent que cela dissuadera les autres pays de sortir du système. La politique de la “petite terreur ou de la grande terreur” n’a jamais fait durer les systèmes qui les pratiquaient.
Les Alsaciens qui traitent pratiquement directement avec Bruxelles et qui seront des ‘HORS FRANCE d’ici 2020 devraient se poser plusieurs questions :
– si demain nous sommes en conflit avec Bruxelles, pourrons-nous la quitter?
– pourrons nous continuer à avoir des échanges commerciaux avec les états de L’UE ou serons nous devenus des “parias”?
– si nous ne sommes pas satisfaits de Bruxelles, serons-nous réintégrables dans la France?
– Est-ce que la France sera autorisée à nous réintégrer, ou bien est-ce que cela lui sera interdit? (si elle ne s’est pas encore éparpillée en régions gérées par Bruxelles, bien sur)
Toute région “avide d’indépendance” a le devoir de se poser de multiples questions sur son futur engagement avec Bruxelles.Car elle n’engage pas une région, mais UN PEUPLE. Peuple qui n’est jamais consulté, ni éclairé sur les avantages et les désavantages d’une telle aventure.
L’anti-démocratie semble faire partie de la vie des citoyens européens.
Jour après jour l’UE fait la preuve qu’elle est une dictature dont on ne sort pas, tout comme l’islam-idéologie qui ordonne de tuer ses apostats.
Est-ce par masochisme ou par stupidité que d’angéliques suisses veulent céder notre souveraineté à cette UE?