Après Omar Sy, le pape François ! Les Rohingyas sont l’objet de toutes les attentions. L’acteur français a quitté sa demeure américaine pour se rendre au Bangladesh afin d’alerter le monde sur le sort de ces réfugiés musulmans venus de la Birmanie voisine. Bien entendu, habitué des caméras, il ne saurait se déplacer sans, il a la compassion démonstrative. L’échec de son médiocre film Knock a affecté son image mais lui a donné quelque loisir, il a donc du temps pour lancer un appel et faire la quête au profit des Rohingyas. « Je suis au Bangladesh, dans le plus grand camp de réfugiés au monde où vivent les Rohingyas. Je n’ai pas l’habitude de vous solliciter pour ce genre de choses, mais je suis venu, j’ai vu, je vous montre », a-t-il lancé devant les cameramen embarqués. Et de tendre la sébile : « Ils ont besoin de première nécessité (sic), il y a certains qui ont besoin de lumière, certains qui ont besoin de chaussures, de médicaments, un tas de petites choses comme ça. Et ça, on peut le faire. » Il en est d’autres, dans le monde, qui souffrent, parfois plus cruellement, et dont les besoins sont immenses, ce sont les chrétiens d’Orient, eux aussi dans des camps où l’on n’a pas vu Omar Sy, il est vrai qu’ils sont non pas musulmans comme les Rohingyas et comme le comédien mais leurs victimes…
Le pape, lui, n’a pas parlé des Rohingyas en Birmanie, d’où ils sont originaires pourtant et dont les bouddhistes ne veulent pas, mais il ne fallait pas gêner cette icône droit-de-l’hommiste qu’est le chef du gouvernement birman, Aung San Suu Kyi. François, diplomatiquement, a préféré user d’une périphrase en évoquant les « réfugiés de l’État Rakhine ». C’est donc au Bangladesh qu’il a traité explicitement des Rohingyas. Il a lancé en leur faveur un appel solennel : « Il est nécessaire que la communauté internationale mette en œuvre des mesures décisives face à cette grave crise, non seulement en travaillant pour résoudre les questions politiques qui ont conduit à ce déplacement massif de personnes, mais aussi en offrant une assistance matérielle immédiate au Bangladesh dans son effort pour répondre efficacement aux besoins humains urgents. » Et d’insister : « Aucun d’entre nous ne peut manquer d’être conscient de la gravité de la situation, des conditions de vie précaires de si nombreux de nos frères et sœurs, dont la majorité sont des femmes et des enfants, rassemblés dans des camps de réfugiés. »
Si le pape a évoqué le sort des chrétiens d’Orient victimes de la terreur islamique, on n’a pas souvenir que, près du lieu où ils souffrent et meurent, il ait lancé un tel appel à la communauté internationale en faveur de ceux qui sont encore plus nos « frères et sœurs », l’étant dans le Christ. Car il n’envisage les rapports entre les religions que sous la forme du dialogue, et, pour cela, il doit édulcorer ce qui fâche. Il l’a rappelé dans son discours : « Dans un monde où la religion est souvent – scandaleusement – mal utilisée pour fomenter des divisions, le pouvoir de réconciliation et d’union entre les religions est plus que jamais nécessaire. » Mais comment s’unir à ceux qui vous égorgent et ne rêvent que de vous éliminer ou de vous assujettir à leur califat ?
Cet article Rohingyas : le pape après Omar Sy est apparu en premier sur Présent.
Extrait de: Source et auteur
Je viens de lire sur le Figaro que lors de son passages au Bangladesh le Pape “à demandé pardon” aux Rohingyas. On le voit, sur une photographie, s’incliner devant des dignitaires religieux Rohingyas. Ce type est une ordure !
Les propagandistes pro islamique ont très bien fait leur travail , résultat un “pape” qui gobe n’importe quoi ; avec ce type la chrétienté est mal barrée .
Bravo aux birmans qui, eux, osent se défendre !
Quant à l’imam François Mohammed 1er, je sens que ça va mal finir pour lui……