Le rouleau compresseur de la machine mondialo-immigrationniste se met en branle. A deux ans et demi de l’élection présidentielle, les règles en vigueur risquant de porter au pouvoir le parti d’opposition rassemblant plus de 30 % des voix, le gouvernement, dont l’unique obsession est de « faire barrage au Front national « , entend les revisiter de fond en comble. Ce n’est pas triste.
La première d’entre elle concerne la collecte et la publication des parrainages. Ce serait dorénavant aux candidats eux-mêmes – et non plus aux équipes de terrain qui les déposaient en préfecture, d’envoyer leurs signatures, par la poste, au Conseil constitutionnel. En outre, obligation faite de rendre publics tous les parrainages, c’est-à-dire, non plus seulement les 500 nécessaires tirées au sort. Histoire de dissuader, sans doute, toute vélléité chez les quelques démocrates dissidents…
La seconde, très hollandaise, est d’accorder aux partis qui se présentent, entre la publication de la liste des candidats et le démarrage officiel de la campagne, un temps de parole audio-visuel en rapport avec les intentions de vote à leur endroit. Il fait 12% d’intentions de vote ? Il aura donc 2 fois plus de temps de parole que celui qui affiche 6%. Ce serait drôle , si cela devait s’appliquer au parti socialiste… !
La troisième règle à déboulonner, c’est de laisser accessible, une heure de plus, les bureaux de vote qui fermaient à 18 heures, et ce, pour éviter les « fuites « des premiers résultats. Pour ne pas influencer les électeurs se déplaçant tardivement, s’il vous plaît…
La quatrième et dernière consiste à ne comptabiliser que les six derniers mois de campagne électorale (à compter du scrutin, donc) et de faire fi des dépenses liées aux primaires des partis. Evidemment, pas besoin de primaires au Front national…
Tambouille, tripatouille, ratatouille, le but ? Asseoir une bonne fois pour toutes le parti devenu unique, l’LRPS.
C’est quel régime, déjà, en Corée du Nord ?
Extrait de: Source et auteur
La dérive socialo-traîtresse de la République française noircit des siècles d’histoire de cette nation précurseur. Peuple français, secoue-toi, ose te regarder dans le miroir, dis ce que tu penses, refuse l’assistanat socialo-communautariste qui te dégrade, te relègue au niveau d’une cervelle vide.
db