Botanique migratoire
Dans le cadre de la campagne menée par Arcinfo en vue d’inciter la gauche à lui verser d’importantes subventions publiques, la journaliste Estelle Liechti nous parle d’une manifestation organisée au Jardin botanique de Neuchâtel dans le cadre de la semaine d’actions contre le racisme.
Le questionnement est grave. « Invasif, exotique ou indigène : pourquoi utilise-t-on les mêmes mots pour parler des migrants et des plantes ? (…) Exemple, le terme invasion, utilisé tant pour parler de l’arrivée de migrants que pour évoquer l’apparition de plantes à l’appétit territorial important. »
Une conservatrice en ethnobotanique conteste ces termes, expliquant que « cela signifie qu’une hiérarchie est effectuée entre les plantes présentes sur un territoire donné. Il y aurait des espèces biologiques qui 'ne sont pas ici chez elles', 'n’ont pas le droit d’être là', voire qui 'prennent la place des autres'. »
On voit mal ce qu’il y a de contestable à évoquer la réalité avec les mots appropriés. L’exemple du palmier chanvre au Tessin le montre. Connaissant un développement rapide, cette plante a délogé les espèces indigènes des sous-bois, ce qui a conduit à son interdiction afin de sauver les espèces locales. Même le canton de Neuchâtel reprend la terminologie querellée sur son site officiel consacré à la « liste des néophytes envahissantes prioritaires pour le canton de Neuchâtel, plantes qui peuvent poser de graves problèmes (santé, perte de biodiversité,…) »
On apprend ainsi qu’il y a lieu d’éradiquer entre autres espèces nuisibles le Bunias d’Orient, la Berce du Caucase, le Chèvrefeuille du Japon, les Renouées asiatiques et le Séneçon du cap, toutes plantes que l’adjectif exotique ne trahit pas.
Les mêmes précautions s’imposent dans le domaine de la migration. Lorsque l'imam de la mosquée de Bienne appelle Allah à détruire Juifs, Chrétiens, Russes, Américains et quelques autres, le mot nuisible ne semble pour le moins pas déplacé. Lorsqu’une religion prétend remplacer notre mode de vie, nos lois par la charia, s’opposer relève de la lutte pour la survie.
Refuser la lapidation des femmes adultères, le fait de ne pas serrer la main d’une enseignante, l’interdiction de la gymnastique pour les fillettes et adolescentes, les horaires séparés dans les piscines publiques, c’est simplement veiller aux respects de nos valeurs face à une religion qui vise à les détruire.
Si certains termes sont communs à la botanique et la migration, c’est sans doute eu égard à la similitude du principe, une espèce venue d’ailleurs qui prétend s’imposer puis se substituer au vivant existant. Très exactement ce que les islamistes cherchent à faire. Avec la complicité de certains spécimens indigènes. Curieux de constater que nous ne prenons pas pour notre propre société les mêmes mesures de protection que pour notre flore locale.
Yvan Perrin, 10.04.2025
”Avec la complicité de certains spécimens indigènes.”
La gôche, PS, verts de gris et verts pastèques (communistes) sont le pilier de la 5ème colonne en Suisse.
”Curieux de constater que nous ne prenons pas pour notre propre société les mêmes mesures de protection que pour notre flore locale.”
Il doit y avoir une fixation spécifique entre l’immigration de remplacement constatée réellement et les éradications préconisées pour la flore (petites fleurs bleus …).
Bravo M. Perrin, et lorsque vous indiquez “Avec la complicité de certains spécimens indigènes” il vous faut préciser lesquelles, car certains naïfs et naïves, pensent encore que ces espèces indigènes sont rares.
Toute ce qui peut être à gauche est concerné, ainsi que le centre mou. Voilà pour la précision.