Les « Twitter Files »

Stéphane Montabert
Suisse naturalisé, Conseiller communal UDC, Renens
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Les Twitter Files constituent une spectaculaire preuve de la collusion entre états et médias. Les deux travaillent main dans la main pour contrôler l'opinion, truquer les élections et manipuler le débat public.

Mème sur Elon Musk libérant Twitter et son flot de rage et de conséquences inattendues.Lorsque Elon Musk a annoncé puis procédé au rachat de Twitter en 2022, il pensait restaurer la liberté d'expression dans le débat public et ramener l'entreprise à la rentabilité. À ce moment-là, Twitter ressemblait davantage à l'oie ventripotente d'un élevage de foie gras qu'à l'humble oiseau bleu de son logo, avec des employés ouvertement communistes passant bien peu de temps à travailler - quand ils se donnaient la peine de se rendre physiquement au bureau. Mais ces problèmes superficiels en cachaient de plus profonds, et d'une toute autre nature.

En achetant Twitter, Elon Musk devint propriétaire d'une marque, de locaux et du logiciel de Twitter lui-même ; il n'avait pas idée de ce qu'il allait trouver d'autre. Les données de Twitter hébergent les tweets et les comptes des utilisateurs, mais aussi les tweets effacés par la modération (ils ne l'ont jamais été totalement), les e-mail reçus ou envoyés par les employés, et même les messages privés transmis via la plateforme. Tous ces éléments donnent un aperçu très différent de ce qui se passe dans les coulisses.

L'analyse de toutes ces données est en cours.

Les Twitter Files jusqu'ici

Les documents internes montrent un niveau de collusion inédit entre les agences gouvernementales américaines, les médias et la hiérarchie de Twitter. La connivence est si grande que la façon de diffuser les révélations se posa. Si tous les journalistes sont corrompus et tous les médias manipulés, comment faire passer l'information?

Elon Musk résolut la question en choisissant une poignée de journalistes indépendants - Matt Taibbi, Bari Weiss, Michael Shellenberger, Lee Fang et David Zweig - réputés pour leur intégrité et leur opiniâtreté. Et le canal de diffusion de leurs découvertes serait Twitter lui-même.

Nos journalistes commencèrent à travailler sur les données de Twitter à l'automne. Après des semaines d'effort, ils purent livrer au monde leurs trouvailles, petit à petit... La diffusion a commencé le 2 décembre 2022 et couvre une dizaine de thèmes, les derniers était publiés début janvier.

Fourni par Matt Taibbi, voici donc un récapitulatif des sujet abordés par les journalistes.

1. Twitter et l'histoire de l'ordinateur portable de Hunter Biden

Partie 1, 3 décembre 2022, par Matt Taibbi (archive)

L'épisode raconte le drame interne de Twitter autour de la décision de bloquer toute mention de l'article fracassant du New York Post sur Hunter Biden en octobre 2020. (Sujet traité sur LesObservateurs.ch en parties 1, 2 et 3.)

Twitter a bloqué tout lien sur l'article et bloqué des comptes sur la base de sa politique de rejet de tout "matériel piraté", mais les dirigeants savaient en interne que leur décision était fragile. "Pouvons-nous honnêtement affirmer que cela fait partie de notre politique?" C'est ainsi que Brandon Borrman, responsable des communications, exprime ses doutes. De plus, lorsqu'un consultant de Twitter interroge des membres du Congrès sur la décision, il s'entend répondre par les démocrates qu'ils veulent plus de modération, pas moins, et que "le Premier Amendement [de la Constitution américaine, garantissant la liberté d'expression] n'est pas absolu."

Partie 1a (supplément), 6 décembre 2022 par Matt Taibbi (archive)

Ce fil relate la façon dont Jim Baker, une taupe du FBI infiltrée au sein même de Twitter, a tenté de retarder une série de publications des Twitter Files. M. Baker a fait de son mieux pour bloquer la livraison de données aux journalistes.

2. Les listes noires secrètes de Twitter

Partie 2, 9 décembre 2022, par Bari Weiss (archive)

Bari Weiss donne une réponse attendue à la lancinante question: "Est-ce que Twitter utilise le shadowban contre des utilisateurs?" (Le shadowban consiste à rendre le contenu d'un utilisateur visible de lui seul seulement, et sans l'en informer). La réponse est affirmative. Au sein de la société on appelle cela le "filtrage de la visibilité". Twitter avait également un conseil supérieur, appelé SIP-PES, décidant de la marche à suivre pour les comptes à haute visibilité controversés.

Twitter disposait d'une vaste boîte à outils pour restreindre à certains utilisateurs l'accès au grand public. Elle comprenait une "liste noire de recherche" (utilisée contre Dan Bongino), une "liste noire des tendances" (utilisée contre le Dr Jay Bhattacharya de Stanford) et un paramètre "ne pas amplifier" diminuant l'influence des comptes de conservateurs (utilisé contre l'activiste Charlie Kirk). Weiss cite un employé de Twitter: "Considérez le filtrage de la visibilité comme un moyen pour nous de supprimer, à différents niveaux, ce que les gens voient. C'est un outil très puissant."

3. La suppression de Donald Trump, première partie (20 octobre 2020 - 6 janvier 2021)

Partie 3, 9 décembre 2022, par Matt Taibbi (archive)

Premier de trois épisodes sur la façon dont Twitter a pris la décision de suspendre Donald Trump. Nous découvrons comment tous les outils de "filtrage de la visibilité" de Twitter ont été présentés et déployés après le 6 janvier 2021.

Le chef de l'intégrité et de la sécurité de Twitter, Yoel Roth, n'a pas seulement régulièrement rencontré le FBI, mais aussi le DHS (Department of Homeland Security) et l'ODNI (Office of the Director of National Intelligence). De plus, Twitter appliquait de manière agressive les outils de "filtrage de la visibilité" contre Trump bien avant les élections de 2020.

4. La suppression de Donald Trump, deuxième partie (7 janvier 2021)

Partie 4, 10 décembre 2022, par Michael Shellenberger (archive)

Ce fil de Michael Shellenberger s'attarde sur le jour-clé du lendemain de l'émeute du 6 janvier au Capitole, avant que Trump ne soit finalement banni de Twitter. Il montre comment Twitter modifie ses règles internes à la volée afin que le bannissement de Donald Trump corresponde à leur "politique officielle".

Au moins un employé de Twitter s'inquiète de la "pente glissante" de l'entreprise. "Un PDG d'une plateforme en ligne globale (...) peut s'ériger en gardien des propos tenus dans le monde entier", explique-t-il. Son opinion est rapidement défaussée. Au passage, le censeur en chef Yoel Roth plaide pour un bannissement du membre du Congrès Matt Gaetz, même si de son propre aveu cela "ne correspond pas tout à fait [aux règles de modération de Twitter]". Twitter change sa "politique d'intérêt public" pour ouvrir la voie à la fermeture du compte de Donald Trump.

5. La suppression de Donald Trump, troisième partie (8 janvier 2021)

Partie 5, 12 décembre 2022, par Bari Weiss (archive)

Aussi en colère contre Donald Trump soient les employés de Twitter après l'émeute du Capitole, ils hésitent à suspendre son compte. "Je pense que nous aurions du mal à dire que [les propos de Trump] sont de l'incitation [à l'émeute]". Mais la volonté de réduire au silence le Président des États-Unis est la plus forte. Le pistolet de la censure braqué sur le compte de Trump, ils pressent la détente.

Le fil révèle des dissensions entre employés. "Peut-être parce que je viens de Chine", déclare l'un d'eux, "je comprends profondément comment la censure peut détruire le débat public". Ces réserves sont balayées par des cadres supérieurs comme Vijaya Gadde et Yoel Roth. Citant la "banalisation du mal", ce dernier compare ceux qui préféreraient s'en tenir à une interprétation stricte des règles de Twitter – c'est-à-dire préserver le compte de Trump, qui n'a commis jusqu'ici aucune violation - à des "nazis suivant les ordres".

6. Twitter, filiale du FBI

Partie 6, 16 décembre 2022, par Matt Taibbi (archive)
Partie 6a décrivant encore plus d'implication du FBI, par Matt Taibbi (archive)

La relation entre Twitter et le FBI était "constante et omniprésente". Le personnel du FBI envoyait régulièrement des "rapports" à Twitter, principalement depuis le bureau de San Francisco. Ces listes énuméraient les comptes de nombreux Américains avec une audience limitée et faisant des plaisanteries dans leurs tweets. Des contributeurs tant de la gauche que de la droite ont été affectés. Un jour, l'entreprise reçoit tant de demandes de modération du FBI qu'un cadre félicite les membres du personnel pour avoir mené à bien "la tâche monumentale".

Un cadre supérieur de Twitter rapporte: "Le FBI est catégorique: il n'y a aucun obstacle au partage" d'informations classifiées. Twitter accepte également de "promouvoir" du contenu sur recommandation d'acteurs gouvernementaux ou assimilés. Cela va du FBI à l'agence de sécurité intérieure CISA en passant par le projet d'intégrité électorale de Stanford et les gouvernements des États fédérés.

7. Le FBI et l'ordinateur portable de Hunter Biden

Partie 7, 19 décembre 2022, par Michael Shellenberger (archive)

Les Twitter Files mettent davantage l'accent sur la relation de l'entreprise avec le FBI et les renseignement fédéraux. Elles montrent une communication intense entre le FBI et Twitter juste avant la publication dans le New York Post du sujet sur la pédophilie de Hunter Biden et le trafic d'influence au bénéfice de son père.

L'agent de San Francisco Elvis Chan envoie 10 documents au responsable de l'intégrité du site de Twitter, Yoel Roth, via Teleporter, un canal de communication à sens unique du FBI vers Twitter, la veille de la publication de l'article du Post:

Échange d'emails en Elvis Chan du FBI et Yoel Roth, chef de l'intégrité de Twitter.

De plus, Jim Baker explique dans un e-mail que le FBI a indemnisé Twitter pour le "traitement de ses demandes": "Je suis heureux d'annoncer que nous avons collecté 3'415'323 $ depuis octobre 2019!"

8. Comment Twitter a discrètement soutenu une campagne de propagande en ligne orchestrée par le Pentagone

Partie 8, 20 décembre 2022, par Lee Fang (archive) et aussi via un article dans l'Intercept.

Lee Fang fait un chemin fascinant en examinant comment Twitter a approuvé et soutenu, des années durant, des opérations secrètes orchestrées par le Pentagone. La société a explicitement déclaré au Congrès qu'elle n'autorisait pas un tel comportement. Néanmoins, la plateforme était un partenaire attitré, à travers de faux comptes, dans les programmes de l'État américain.

Après que le Commandement central américain (CENTCOM) a envoyé une liste de 52 comptes en langue arabe "que nous utilisons pour amplifier certains messages", Twitter accepte de les "mettre sur liste blanche". Cela contrevient pourtant à toutes les règles de Twitter. En fin de compte, le programme sera révélé dans le Washington Post en 2022 – deux ans après que Twitter et d'autres acteurs aient officiellement cessé leur participation. Contrairement à ce qui est publié dans l'article, Twitter était au courant et a aidé ces programmes pendant au moins trois ans à partir de 2017.

9. Twitter et "d'autres agences gouvernementales"

Partie 9, 24 décembre 2022, par Matt Taibbi (archive)

Ce fil de discussion détaille le fonctionnement des canaux de communication entre le gouvernement fédéral et Twitter. Il révèle que Twitter a reçu directement ou indirectement des listes de contenus signalés par "d'autres agences gouvernementales", le nom de code pour la CIA.

Les responsables de la CIA ont assisté à au moins une conférence avec Twitter à l'été 2020. Des entreprises comme Twitter et Facebook ont ​​reçu des "briefings OGA", lors de leurs réunions régulières "de l'industrie" tenues en collaboration avec le FBI et le DHS. Le FBI et son FITF (Foreign Influence Task Force) se réunissaient régulièrement "non seulement avec Twitter, mais aussi avec Yahoo!, Twitch, Cloudfare, LinkedIn, et même Wikimedia".

10. Comment Twitter a manipulé le débat sur le COVID

Partie 10, 26 décembre 2022, par David Zweig (archive)

David Zweig explique comment Twitter a limité les informations sur le COVID lorsqu'elles étaient vraies mais gênantes pour les fonctionnaires. Twitter a ainsi "discrédité les médecins et autres experts qui n'étaient pas d'accord" avec la doxa.

Des mémos du personnel de Twitter assurant la liaison avec des responsables de l'administration Biden montrent que ceux-ci étaient "très en colère" que Twitter n'ait pas supprimé plus de comptes. Les responsables de la Maison Blanche, par exemple, voulaient attirer l'attention sur le journaliste Alex Berenson. Dans d'innombrables cas, Twitter a fermé ou étiqueté comme "désinformation" des comptes parfaitement authentiques mais nourrissant la controverse. Twitter suspendit par exemple Andrew Bostom, un médecin de Rhode Island, pour avoir fait référence aux résultats d'une étude sur les vaccins à ARNm, bien que l'étude en question soit parfaitement correcte et évaluée par des pairs.

11. Comment Twitter a laissé entrer la Communauté du Renseignement
12. Twitter et le "nombril du FBI"

Partie 11, 3 janvier 2023, par Matt Taibbi (archive)
Partie 12, 3 janvier 2023, par Matt Taibbi (archive)

Ces deux parties se concentrent sur la seconde moitié de 2017 et sur une période s'étendant approximativement de l'été 2020 à nos jours, respectivement. Le premier décrit comment Twitter est tombé sous la pression du Congrès et des médias pour produire du "matériel" démontrant l'existence d'une conspiration de comptes russes sur leur plateforme. Le second, comment Twitter a tenté un moment de résister aux demandes de censure issues du Département d'État, avant de finalement laisser tomber. L'État et d'autres agences gouvernementales pourront dès lors envoyer leurs demandes par l'intermédiaire du FBI, que l'agent Chan appelle "le nombril [du gouvernement américain]".

En 2017, Twitter prend une décision-clé en interne. Vis-à-vis du grand public, l'entreprise revendiquera son indépendance et promettra que le contenu supprimé ne le sera qu'à "la seule discrétion" de Twitter. Les directives internes font état d'une toute autre réalité. Elles indiquent, par écrit, que Twitter supprimera les comptes "identifiés par la communauté du renseignement américain" comme "apparentés à des entités parrainées par des États tiers et menant des cyber-opérations".

Le deuxième fil montre comment Twitter a reçu des demandes de censure de tout le monde – Trésor, HHS, NSA, FBI, DHS, etc. – y compris des demandes personnelles de politiciens comme le membre démocrate du Congrès Adam Schiff, qui a demandé la suspension du journaliste Paul Sperry.

Quelles leçons tirer de tout ceci?

L'innocent oiseau bleu est mort depuis longtemps. Twitter est devenu au fil des ans un outil secret de manipulation des masses privilégié par l'état profond américain.

La collusion entre Twitter, entreprise de droit privé, et l'État américain, administration publique, est et a toujours été totalement illégale. Aucun texte de loi, aucune jurisprudence, aucun décret présidentiel n'a autorisé ni régi la relation entre les deux entités. Cette relation parfaitement occulte n'était même pas connue des instances démocratiques concernées.

Le FBI a payé Twitter au moins 3,5 millions de dollars pour censurer des utilisateurs de droite. Le FBI a fait pression sur Twitter pour obtenir des informations qui auraient demandé un mandat, bien qu'ils n'aient pas de mandat. Jusqu'aux élections de 2020, le FBI tenait des réunions hebdomadaires avec Twitter pour leur dire quels tweets écraser et quels comptes bloquer. Pratiquement tous ces comptes concernaient des utilisateurs de droite.

L'ordinateur portable de Hunter Biden contenait des preuves authentiques de la corruption de Joe Biden, et le FBI le savait. Portées à la connaissance du public, elles auraient certainement fait basculer l'opinion. À deux mois des élections présidentielles de 2020, le FBI œuvra avec Twitter pour l'empêcher. Ils lancèrent une campagne de désinformation à grande échelle, prétextant qu'il s'agissait de désinformation russe et poussant au passage sous le tapis les crimes de Hunter Biden, des crimes suffisant à envoyer sous les verrous n'importe quel individu normal. Ainsi, Twitter et le FBI ont indiscutablement manipulé l'élection présidentielle américaine.

Bien des "ex-employés" du FBI devinrent consultants ou salariés de Twitter, si nombreux qu'ils disposaient de leur propre canal de discussion interne. Ils travaillaient à orienter la modération selon leur allégeance. Celle-ci était entièrement tournée vers la bureaucratie américaine et ses relais politiques démocrates. À chaque instant, ils firent de leur mieux pour orienter Twitter vers leurs objectifs partisans, au mépris de toute déontologie. Les uns et les autres n'hésitèrent jamais à mentir à ce sujet, même sous serment devant des commissions du Congrès.

Pour finir, toutes ces accusations sont prouvées et documentées.

Malgré leur nom, les Twitter Files montrent que le phénomène n'est pas restreint à Twitter. D'autres réseaux sociaux, moteurs de recherche et acteurs numériques de premier plan sont cités. Ils ont été inclus dans des programmes organisés par le FBI auxquels Twitter était un participant parmi d'autres. Nul doute que des outils de "filtrage de la visibilité" existent sous d'autres noms chez Google ou Facebook.

Le rachat de Twitter par Elon Musk sonne le glas de ces pratiques là-bas, on peut l'espérer, mais c'est la pointe de l'iceberg. À côté des Twitter Files, le scandale du Watergate semble une aimable plaisanterie. Le peu d'écho des Twitter Files par les médias américains démontre que la corruption s'étend loin au-delà du réseau social. Quant à l'absence de couverture hors des États-Unis, comme en Suisse, elle nous prouve simplement que la manipulation de masse de l'opinion scandalise très peu nos propres "journalistes" dévoyés.

4 commentaires

  1. Posté par antoine le

    Quelle était la probabilité de connaître la Vérité avant l’achat par M. Elon Musk de Twitter ? ZERO !
    Par quel miracle M. Elon Musk s’est intéressé à l’achat de Twitter ?
    Pour découvrir et publier ces Twitter files, il a sûrement reçu un message de l’au-delà …

  2. Posté par antoine le

    Depuis que les médias ont choisi la voie  »collabos » à la solde de gouvernements pourris et corrompus, le Monde ne peut qu’aller MAL !
    – Perte totale de la confiance dans les élus.
    – Perte totale dans la crédibilité des informations
    – Recherche de sites de réinformation intègres
    – Méfiance de toutes les infos provenant des sites officiels
    – etc …
    Il existe encore des journalistes qui respectent la déontologie de leur métier.
    Les médias devraient être un contre-poids aux gouvernements …. on en est très loin !
    Selon la déontologie des journalistes seule l’information (la vraie) compte !

  3. Posté par Géo le

    Quid de l’influence de Twitter sur la guerre en Ukraine ?

  4. Posté par SEPH54 le

    Excellent article de M. Montabert, comme toujours très précis et documenté

Et vous, qu'en pensez vous ?

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