Après la démocratie? – L’Amérique et le monde au temps de l’administration Biden, de Guy Millière

Francis Richard
Resp. Ressources humaines
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Donner les moyens de comprendre est d'autant plus important que ce qui se passe aujourd'hui aux États-Unis est extrêmement grave et préoccupant, et devrait susciter l'intérêt et la vigilance de tous ceux qui sont attachés au droit, à la démocratie et à la liberté.

Le livre de Guy Millière est intéressant parce que ce qu'il dit va à l'encontre de tout ce qui se dit dans les médias francophones. Ceux-ci ne sont que les caisses de résonance des grands médias américains, tous, à de rares exceptions, de connivence avec le parti démocrate.

Le parti démocrate américain n'est plus ce qu'il était il y a vingt ou trente ans. Il est devenu un parti d'extrême-gauche dont le but est de détruire l'Amérique des pères fondateurs. Ce but est sur le point d'être atteint quand un obstacle se dresse avec l'élection de Donald Trump.

Avant même, et depuis cette élection, il est l'homme à abattre et avec lui tous ceux qui défendent l'Amérique originelle. Tous les moyens sont bons pour ce faire. Si la pandémie n'avait pas été instrumentalisée contre lui, le parti démocrate ne serait pas revenu aux commandes.

Car, pendant les trois premières années de son mandat, l'Amérique s'est redressée. Les impôts ont baissé. Des milliers de dollars ont été investis. La croissance est revenue et avec elle le plein emploi. Des milliers d'entreprises ont été créées. Le niveau de vie de tous a augmenté:

Il a en trois années, détruit l'État islamique, asphyxié le régime des mollahs, fait considérablement reculer le terrorisme islamique sur la planète, endigué le régime nord-coréen, puis le régime chinois. Il a par les accords d'Abraham, fait avancer la paix au Proche-Orient comme personne, en plus de sept décennies, n'était parvenu à le faire avant lui.

Dans les médias francophones, il est de bon ton de dire que Donald Trump, quand il a contesté le résultat de l'élection de novembre 2020, s'est montré mauvais perdant. Comme autant de tartuffes, ils ont dissimulé les preuves et témoignages des nombreuses fraudes qui l'ont permis.

La pandémie a justifié, dans les États démocrates, la récolte des bulletins de vote. Ainsi ont pu voter des gens qui n'avaient pas la citoyenneté américaine, qui étaient partis vivre ailleurs ou qui étaient... décédés. Sans oublier que, pour voter, une pièce d'identité n'était pas exigée:

Des images vidéo surveillance [montrent] des arrivées massives de bulletins, par camions, des utilisations tout aussi suspectes de clés USB branchées puis débranchées sur les machines à voter, l'extraction de cartons entiers de bulletins de vote de sous les tables de dépouillement après que les observateurs républicains ont été renvoyés chez eux.

Si la justice américaine a refusé de prendre en compte ces preuves et témoignages et les a balayées sans même les examiner cela ne veut pas dire qu'elles n'existent pas. A contrario les preuves et témoignages d'une prétendue tentative de coup d'État le 6 janvier 2021 n'existent pas.

Il n'y a tout simplement pas eu de relation de cause à effet entre le discours de Donald Trump et cette intrusion, contrairement aux conclusions de la commission parlementaire de la Chambre des Représentants, laquelle recommande aujourd'hui des poursuites pénales contre lui.

Le 15 février 2021, Nancy Pelosi, alors présidente de la Chambre des Représentants, demande et obtient la création de cette commission d'enquête qui serait semblable, dit-elle sans rire, à celle qui a enquêté, près de vingt ans plus tôt sur les attentats du 11 septembre 2001:

Nancy Pelosi ajoute que ce qui s'est passé le 6 janvier est "aussi grave" que ce qui s'est passé le 11 septembre 2001.

Comme le souligne Guy Millière, le 6 janvier, il n'y a eu aucune attaque terroriste, aucune personne ne menaçant la vie de quiconque, des dégâts très mineurs, et quatre morts, tous parmi les manifestants: rien à voir avec les trois mille morts du 11 septembre 2001 et ses dégâts:

Les émeutes1 qui ont marqué l'été 2020 ont été bien plus graves, puisqu'elles ont fait des milliards de dégâts, incendié des immeubles et laissé derrière elles plus de vingt-cinq morts, dont des enfants en bas âge et des centaines de policiers blessés, certains mutilés à vie.

En moins de deux ans, le bilan est sévère: le niveau de vie a baissé, des dizaines de milliards de dollars ont été dilapidés, une forte inflation est apparue, des centaines de milliers de gens ont immigré illégalement, les grandes villes se sont tiers-mondisées, l'insécurité a monté.

Dans les domaines de la justice, de l'école, des médias, de la culture, de la liberté d'expression, la destruction et la déconstruction de l'Amérique sont à l'oeuvre avec l'approbation et la complicité de l'administration Biden, qui favorise la haine d'une gauche protéiforme et monstrueuse.

L'Amérique sort affaiblie de la débâcle en Afghanistan, de l'invasion de l'Ukraine, qui n'aurait pas eu lieu si un minimum de fermeté avait été montré, des connivences du parti démocrate, des grandes entreprises, de l'administration Biden et de Biden lui-même avec la Chine.

Guy Millière a terminé ce livre cet été, avant les élections de mi-mandat qui ont vu s'opposer ceux qui veulent la mort de l'Amérique et ceux qui veulent la sauver. Il le conclut avec cette citation de William J. Bennett, ministre de l'Éducation de Ronald Reagan, à méditer:

Il y a toujours chez ceux que le totalitarisme fascine un penchant pour la destruction qui ressemble au nihilisme.

 

Francis Richard

 

1 - Les émeutiers étaient qualifiés de manifestants pacifiques par la même Nancy Pelosi...

 

Après la démocratie? - L'Amérique et le monde au temps de l'administration Biden, Guy Millière, 324 pages, Balland

 

Livres précédents:

La Septième dimension Cheminements (2009)

Le désastre Obama Tatamis (2012)

Face à l'islam radical David Reinharc (2012)

L'islam radical est une arme de destruction massive David Reinharc (2013)

L'État à l'étoile jaune Tatamis (2013)

Voici revenu le temps des imposteurs Tatamis (2014)

Après Obama, Trump? La Maison d'Édition (2016)

 

Publication commune LesObservateurs.ch et Le blog de Francis Richard

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