La démocratie est revenue à Kherson, les personnes soupçonnées d’avoir collaboré avec les Russes sont attachées à des poteaux

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Albert Coroz: Kherson est occupée de nouveau par l'armée ukrainienne et les médias suisses ont diffusé à l'unisson des images et des reportages sur les habitants, tous reconnaissants pour le retour des héros.

Bien entendu, tous ceux qui ont vraiment collaboré ont déjà été évacué de la ville lors de la retraite russe car les pratiques ukrainiennes envers ces personnes sont connues. Les russophones qui sont restés et ne participent pas à la fête servent de défouloirs. Ces proies, attachés à des poteaux, sont battus, insultés, humiliés... Ces pratiques de lynchage barbare nous rappelle les pogroms contre les innocents d'antan.

Ces punitions passent comme tout à fait normales dans la population. Nous avons vu depuis le début de la guerre que personne n'a l'idée de détacher ces malheureux, offerts sans jugement à la vindicte populaire, et ceci en dit long sur la mentalité.
Suivant la guerre en Ukraine par d'autres canaux d'informations que nos médias subventionnés, nous avons acquis la conviction que la majorité des atrocités et barbaries sont commises du côté ukrainien et non par l'armée russe.

Hier, une ixième manifestation s'est déroulée à Lausanne pour réclamer non pas la paix en Ukraine, mais que Poutine soit traduit devant la Cour pénale internationale pour crimes de guerre.
Notons que nous n'avons jamais vu une manifestation pour conduire Clinton devant la CPI, bien que l'OTAN (les USA), dans sa guerre contre la Serbie ait bombardé ce pays, rasé des écoles, des hôpitaux, des églises, détruit 25'000 bâtiments, 600 km de voies ferrées, 500 km de routes, causé de graves cancers aux habitants pour des décennies suite à l'utilisation de bombes à l'uranium appauvri… tout cela sans aucune légitimité internationale, pour offrir le Kosovo aux musulmans et y installer la plus grande base de l'OTAN en Europe.

Et l'Europe continue d'alimenter une guerre tout aussi abjecte qui se déroule actuellement en Ukraine, à la solde des mêmes puissances.
A la place des dizaines de milliards dépensés pour faire durer ces affrontements – car sans l'aide des Occidentaux, la guerre cesserait – le prétendu camp du Bien devrait plutôt verser ces sommes aux Serbes pour essayer de réparer les erreurs du passé.

Le Syndicat Sud avec son drapeau était présent à la manifestation lausannoise, les slogans scandés au micro n'avaient pas un mot de reconnaissance pour les efforts fournis par le peuple suisse.

Nous constatons que la partie audible de ces réfugiés ukrainiens s'est associée avec les gauchistes suisses, qui y reniflent un nouvel électorat et une nouvelle cause. Ces manifestants semblent incapables de voir quels sont les vrais enjeux de cette guerre, et encore moins de reconnaître les responsabilités du gouvernement Zelensky. Et nous pensons qu'ils pourraient au moins se montrer plus discrets et chercher prioritairement à ne plus être à la charge des contribuables.

image du 13 novembre 2022

Mars - avril 2022: https://observers.france24.com/en/europe/20220404-ukraine-poles-public-humiliation-punishment-looting

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Nouveau reportage absolument surréaliste  de Maurine Mercier:

Reportage RTS dans la ville de Kherson, reprise par les Ukrainiens  / Forum / 5 min. / : Le reportage de Maurine Mercier à Kherson:
"Certains torturaient pour le plaisir": les habitants de Kherson relatent leurs souffrances durant l'occupation

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21 avr. 2014 VICE News (11:54) Simon Ostrovsky (GB)

La semaine dernière, l'Ukraine a lancé une campagne antiterroriste pour reconquérir les villes occupées par les rebelles pro-russes. Jusqu'à présent, la campagne ne s'est pas très bien déroulée.

Le 16 avril, deuxième jour de la campagne, les militaires ukrainiens sont entrés dans Sloviansk - le point central des forces pro-russes - et ont abandonné leur équipement. Les forces blindées ont été amenée au centre de la ville où elles sont devenues une attraction locale.

Ailleurs, une foule de manifestants pro-russes a arrêté une colonne de troupes ukrainiennes à Kramatorsk et les a obligées à se désarmer. Le correspondant de VICE News, Simon Ostrovsky, était sur place lorsque les forces ukrainiennes ont dû déposer les culasses de leurs armes, aprés quoi elles pouvaient repartir avec leurs blindés.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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