Des trafiquants d'êtres humains en fuite ont tiré sur des policiers. Les auteurs ont été arrêtés, aucun blessé n'a été signalé.
Le 14 novembre 2022, vers 7h22, sur l'autoroute M5, dans la zone d'Inárcs, les policiers du siège de la police du comté de Pest ont voulu contrôler un Ford Transit avec des plaques d'immatriculation hongroises se dirigeant vers la capitale sur la base des informations criminelles du Bureau national d'enquête.
La camionnette a continué à rouler, ignorant le signal distinctif de la voiture de patrouille et l'appel à l'arrêt, plusieurs coups de feu ont été tirés depuis la voiture en direction de la voiture de police.
Malgré cela, la police a continué à suivre le véhicule, qui a finalement été contraint de s'arrêter à la limite de Budapest.
Le conducteur et l'homme assis à côté se sont enfuis dans une forêt voisine, tandis que d'autres coups de feu ont été tirés sur la police.
L'un des policiers a riposté après avoir tiré un coup de semonce.
Malgré cela, la police a continué à suivre le véhicule, qui a finalement été contraint de s'arrêter à la limite de Budapest.
Le conducteur et l'homme assis à côté se sont enfuis dans une forêt voisine, tandis que d'autres coups de feu ont été tirés sur la police.
L'un des policiers a riposté après avoir tiré un coup de semonce.
Le siège de la police de Budapest a bouclé la zone, a envoyé une équipe, des unités canines et des enquêteurs sur les lieux du crime.
L'unité opérationnelle du Centre antiterroriste s'est également jointe à la poursuite des tireurs vers 8h20 au sud de Budapest. Les auteurs présumés ont été arrêtés; deux hommes prétendant être des Irakiens et 21 migrants illégaux dans la camionnette se disant syriens.
L'unité opérationnelle du Centre antiterroriste s'est également jointe à la poursuite des tireurs vers 8h20 au sud de Budapest. Les auteurs présumés ont été arrêtés; deux hommes prétendant être des Irakiens et 21 migrants illégaux dans la camionnette se disant syriens.
Le quartier général de la police de Budapest engagera des poursuites pour trafic d'êtres humains et le bureau du procureur général d'enquête central pour violence contre un fonctionnaire.
Un peu plus à l’ouest, les trafiquants seraient libérés pour vice de forme. Ceux qui ont contribué à les arrêter sévèrement condamnés et bannis de la société.
Pourquoi la police ne les a pas simplement abattus ? tant que ces pourris ne risqueront pas leur peau, ça continuera !
»Le quartier général de la police de Budapest engagera des poursuites pour trafic d’êtres humains »
En Hongrie, les peines de prisons font pâlir les malfrats !
Peines sévères
Pas de sortie avant d’avoir purger la peine complète
Pas de remise de peines
etc …
La »j »ustice européenne pourrait en prendre de la graine !