Donald Trump est perquisitionné par le FBI: Nous l’aurons ce salaud, nous l’aurons !

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Carla Montet: Cette perquisition chez Trump n'est que le dernier épisode d'une liste déjà longue pour le réduire au silence, après la suppression de ses comptes Twitter, Facebook et YouTube, et après la fraude électorale. Actuellement, c'est cela le West, et sa crédibilité est proche de zéro face au Rest, les 90% de la population mondiale.
Et comme leurs moyens ne manquent jamais de créativité, les agents du FBI peuvent apporter sur place autant d'éléments de culpabilité qu'ils voudront.
Donc, voici la dernière trouvaille: Trump le voleur de documents classifiés, après une longue liste de Trump le fou, le misogyne, le violeur, le vendu aux Russes, les procédures d'impeachment tout au long des quatre ans et au-delà, sans oublier les accusations encore en cours de coup d'État au Capitole…
Et si rien ne marche, il restera encore le suicide de Trump en prison avec les caméras malencontreusement en panne.
Heureusement que notre civilisation est alliée avec cette "plus grande démocratie du monde"!

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lexpress.fr - Pourquoi la perquisition de la résidence de Trump par le FBI n'est pas (si) surprenante

Donald Trump a annoncé lundi que sa résidence de Floride, Mar-a-Lago, avait été "perquisitionnée" par la police fédérale. En cause : sa gestion de documents présidentiels classifiés.

"Ils ont même forcé mon coffre-fort!". Donald Trump est indigné. L'ancien président américain a annoncé lundi 8 août que sa célèbre résidence de Floride, Mar-a-Lago, avait été "perquisitionnée" par la police fédérale (FBI). "Notre nation vit des jours sombres, ma belle demeure, Mar-a-Lago à Palm Beach, en Floride, est assiégée et a été perquisitionnée et occupée par de nombreux agents du FBI", a déclaré Donald Trump dans un communiqué, se disant victime d'une "persécution politique".

"Après avoir travaillé et coopéré avec les agences gouvernementales concernées, cette perquisition non annoncée de mon domicile n'était ni nécessaire ni appropriée", a affirmé Donald Trump, qui ne se trouvait pas sur place, selon le New York Times. Des images aériennes de Mar-a-Lago ont montré des voitures de police à l'extérieur de la propriété. Des partisans de Donald Trump se sont également rassemblés à l'extérieur, brandissant des banderoles portant son nom ou des drapeaux américains à son effigie. Contacté par l'AFP, le FBI, qui n'a pas encore confirmé la perquisition, n'a pas souhaité faire de commentaire.

Le républicain, lié de près ou de loin à plusieurs dossiers judiciaires, n'en a pas précisé la raison. Mais, selon des médias américains, notamment le New York Times, qui cite des sources proches de l'enquête, l'intervention relève d'une enquête sur la mauvaise gestion de documents classifiés, qui avaient été envoyés à Mar-a-Lago. En février 2022, les Archives nationales avaient déclaré avoir dû récupérer en Floride quinze cartons de documents que Donald Trump avait emportés avec lui lors de son départ de Washington en janvier 2021.

Des liasses de papiers bouchant les toilettes

Dans ces boîtes, des lettres de Barack Obama et du leader nord-coréen Kim Jong Un, une carte des Etats-Unis qui avait fait l'objet d'échanges houleux avec le service météo américain, mais aussi, selon le Washington Post, plusieurs documents marqués "secret-défense".

Les Archives nationales assurent que le républicain n'avait en aucun cas le droit de partir avec ces cartons : en vertu d'une loi de 1978, tout président américain doit transmettre l'ensemble de ses e-mails, lettres et autres documents de travail à cette agence, chargée de les conserver. Cette agence fédérale avait demandé à la justice américaine d'ouvrir une enquête sur ces faits, selon des médias américains.

Le personnel de la Maison Blanche découvrait aussi régulièrement des liasses de papiers bouchant les toilettes d'après un livre à paraître d'une journaliste vedette du New York Times, ou encore des documents classifiés déchiquetés dans sa chambre et ailleurs, conduisant parfois les fonctionnaires à les recoller.

Comme le rappelle le quotidien américain, les codes pénaux peuvent être utilisés pour poursuivre quiconque "blesse délibérément ou commet une déprédation contre tout bien des Etats-Unis" et quiconque "dissimule, enlève, mutile, efface ou détruit volontairement et illégalement" des documents gouvernementaux. Une infraction passible d'une peine de prison. En 2007, par exemple, Donald Keyser, expert de l'Asie et ancien haut responsable du département d'Etat, a été condamné à une peine de prison après avoir avoué avoir conservé plus de 3000 documents sensibles - allant des classifiés au top secret - dans son sous-sol.

Ces autres affaires qui attendent Donald Trump

L'annonce de la perquisition n'a pas manqué de provoquer l'indignation dans les rangs républicains. Le chef des conservateurs à la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, a ainsi dénoncé une "intolérable instrumentalisation à but politique" du ministère de la Justice, promettant une enquête sur son fonctionnement quand les républicains reviendraient au pouvoir. Le directeur du FBI, Christopher Wray, a en tout cas été nommé... par Donald Trump.

D'autres affaires menacent l'ancien chef de l'Etat. Une commission parlementaire cherche à faire la lumière sur le rôle que le milliardaire a joué dans l'assaut contre le Capitole le 6 janvier 2021. Ce jour-là, des centaines de ses partisans avaient semé la violence et le chaos à l'intérieur du siège du Congrès, retardant la certification de la victoire de Joe Biden à la présidentielle.

Le 21 juillet, Bennie Thompson, le président de la commission d'enquête parlementaire sur l'attaque du Capitole avait estimé que tous les responsables de l'assaut devraient répondre de leurs actes devant la justice, y compris à la Maison Blanche. Même si Bennie Thompson n'a pas nommé Donald Trump, sa petite phrase a encore accentué la pression sur le ministre de la Justice Merrick Garland, à qui il reviendra d'inculper ou non l'ancien président républicain. Selon plusieurs juristes, Donald Trump pourrait plutôt être poursuivi pénalement pour "entrave à une procédure officielle" ou sur un chef très large de "fraude au gouvernement" qui implique d'avoir perturbé le fonctionnement des institutions.

Le ministère de la Justice enquête sur cette attaque contre le Capitole mais n'a pour l'heure pas engagé de poursuites contre l'ancien président. Fin juillet, Merrick Garland n'avait toutefois pas écarté cette possibilité. "Nous avons l'intention de faire rendre des comptes à quiconque est responsable pénalement pour (son rôle dans) les événements autour du 6 janvier, dans une quelconque tentative d'interférer avec le transfert légal du pouvoir d'une administration à l'autre", avait-il dit. Enfin, deux enquêtes, l'une civile et l'autre pénale, sont menées à New York sur des soupçons de fraudes financières au sein de la Trump Organization.

Donald Trump, toujours très populaire parmi les républicains, flirte de plus en plus ouvertement avec l'idée de se présenter à l'élection présidentielle de 2024. Certains mettent donc en garde contre des poursuites judiciaires qui seraient immanquablement perçues comme politiques. "Inculper l'ancien et le futur adversaire du président serait un cataclysme dont la nation peinerait à se relever", a ainsi écrit Jack Goldsmith, un ancien haut responsable du ministère de la Justice dans une tribune publiée par le New York Times. "Cela alimenterait l'acrimonie déjà brûlante entre nos deux partis."

Donald Trump, lui, se présente déjà comme victime d'une cabale politique. La perquisition dans sa célèbre résidence de Floride, Mar-a-Lago, est "une faute du procureur, l'instrumentalisation du système judiciaire et une attaque des démocrates de la gauche radicale qui ne veulent désespérément pas que je me présente à la présidence en 2024", a ainsi dénoncé l'ancien président américain, selon le New York Times.

source: https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/pourquoi-la-perquisition-de-la-r-c3-a9sidence-de-trump-par-le-fbi-nest-pas-si-surprenante/ar-AA10t7hu

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Eric Trump, fils de Donald Trump : Le raid du FBI à Mar-a-Lago va au-delà de la politique. (12:09) sous-titres automatiques

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La vengeance du deep state (7:21, sous-titres automatiques)

Laura Ingraham : J'ai le sentiment de vivre dans une république bananière.
La véritable cible de cette enquête, c'est vous !

Et vous, qu'en pensez vous ?

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