Ces Suisses qui volent l’argent des Français à la pompe

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Loïc Hervé, sénateur de Haute-Savoie, se plaint des frontaliers helvétiques qui viennent faire le plein sur le dos de l’État français. Le conseiller d’État Mauro Poggia lui rappelle que la situation n’est pas aussi simple.

 

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5 commentaires

  1. Posté par Alex le

    Ce sénateur est un petit monsieur qui ne sait pas compter. Pas étonnant d’ailleurs …

  2. Posté par mady le

    Je suis étonnée de la polémique au sujet des Suisses achetant leur essence en France voisine.
    On arrête pas de parler par exemple du Grand Genève, on construit des transports tram et Ceva pour ne plus avoir de frontière. L’économie de la France profite des achats des frontaliers suisses. Le constat est vite fait quand on regarde les plaques des voitures sur les parkings des supermarchés. De plus, les nombreux emplois bien rénumérés offerts aux frontaliers français, parfois comme à Genève au détriment des Suisses dès qu’un responsable est lui-même français
    et ouvrir une telle polémique n’est pas de bon aloi…..
    A l’époque où l’essence était moins chère en Suisse, il y avait un flux contraire !!!!
    Et si on veut aller plus loin, il faudrait interdire aux frontaliers français bien payés de faire leur plein en France!!!!!!!

  3. Posté par bobo le

    Ben M. Hervé reprenez vos frontaliers français qui font leurs courses en France sur le dos de l’état Suisse.

  4. Posté par antoine le

    Et que dire des Français qui faisaient le plein de leurs autos lors la situation était inversée ?
    Ce sénateur se plaint, mais de quoi en particulier ?
    A-t-il été lésé ? Encore un qui a une dent contre les Suisses … !!

  5. Posté par Anubis de la vallée le

    Le prix de l’essence est un vol de l’état par taxe interposée, faire le plein n’en demeure pas moins bénéfique pour la France, le manque à gagner étant pour les caisses fédérales….
    Et en général les achats se font dans le même passage, bénéfice pour qui? Non, personne?
    Parler pour ne rien dire est certes l’apanage des politiques mais parler pour envenimer les relations…..

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