Melissa Cascarino – ou l’apothéose du crétinisme de l’art contemporain subventionné

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Melissa Cascarino - Route00 - VelvetBlues - Geneva - Performance - Art

15 juin 2017 (5:11)

La journaliste de la RTS explique que les performances de Madame Cascarino durent parfois jusqu'à huit heures par jour, trois jours d'affilée! Mais ce n'est pas tout! Accrochez vos pédales! Voici Melissa Cascarino, la "danseuse, animal rustique" en paroles.

A pleurer de rire...  jaune, car son art est subventionné.

https://www.rts.ch/audio-podcast/2022/audio/melissa-cascarino-danse-et-animalite-25841056.html

En réponse, Mélissa Cascarino ressort son charabia d'art moderne, fait de baragouin et de tortillage néomarxiste maniéré, puis dit en soupirant:
"J'essaye d'être une fossile vivante"
Et voici le principal guide spirituel de Melissa Cascarino, Juan Manuel Garrido (Chili):

2 commentaires

  1. Posté par Sergio le

    On en a connu d’autres, comme Pillilotti Rist ou inénarrable directrice de l’Expo O2 Nathalie Wenger. Quant à l’absurde, Madame Cascarino, une future conseillère fédérale ?

  2. Posté par Fanfouet le

    C’est pourtant tout simple à comprendre :
    « WILD ROSE est ancré dans la recherche La Rabbia poetica que mène Melissa Cascarino depuis 1 an et dont certaines étapes ont résidé au Galpon. En co-écriture avec Pascal Gravat, WILD ROSE trace un road trip chorégraphique et musical sur l’excès, la véhémence, la passion, l’extrême et l’insurrection à travers le mythème de l’homme et de la femme écorchés vifs unis à la manière du Road Movie. Dans la quête d’un absolu, ils s’élancent insoumis et à corps perdus dans un inconnu idéalisé. La puissance poétique, la rage et la sublimation, le rire, ainsi que l’animalité, la transcendance et l’immanence sont à l’oeuvre dans le mouvement continu et irréversible que tendent ces figures ardentes au bord du vide. Un voyage à travers chair de la lande, cri du crépuscule et rage de l’aurore. Un soupir délivre l’énergie du soulèvement et sourit. Les paysages traversés sont des puzzles teintés de L’Infini turbulent de Michaux, lumières de Tarkovski et énigmes de Lynch. »
    Pour la diarrhée ordinaire, il y a l’Imodium, mais pour la diarrhée cérébrale, hélas…

Et vous, qu'en pensez vous ?

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