Romaine Morard rejoint Frédéric Borloz
«Je trouve fascinant de devoir préparer les enfants au monde de demain»

La journaliste de la RTS a été nommée collaboratrice personnelle du prochain chef du Département vaudois de la formation.

Le début de la prochaine législature approche et les nouveaux élus préparent leur prise de fonction. Ce vendredi, le Canton a annoncé la nomination de la journaliste Romaine Morard comme collaboratrice personnelle de Frédéric Borloz, futur chef du Département de la formation.

[...] quatre membres sur sept s’apprêtent à quitter le Château cantonal, qui approuve les collaborateurs des futurs ministres. [...] (suite réservée aux abonnés)

https://www.24heures.ch/romaine-morard-nommee-collaboratrice-personnelle-de-frederic-borloz-333196275267

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Carla Montet: Alors que les médias subventionnés sanglotent encore sur l'incompréhensible non-réélection (seulement momentanée) de la splendide et irréprochable Cesla Amarelle, la magistrate sortante de l'éducation vaudoise, dont la brillante carrière n'aurait jamais dû être interrompue par un faux-pas des électeurs, voilà que Frédéric Borloz, le nouveau ministre de Droite de l'enseignement, qui dit ne pas connaître grand-chose à la formation.
Pour palier l'inexpérience de Borloz, la journaliste RTS Romaine Morard sera sa collaboratrice personnelle, connue de toute la Suisse romande pour ses positions à tendance gauchiste.

Cette journaliste n'a rien fait d'autre dans sa vie qu'étudier et être gauchiste engagée du service public, où elle a débuté il y a 19 ans en tant que stagiaire.

Frédéric Borloz est un PLR et un expert-comptable, qui a été performant pendant quinze ans en tant que syndic d'Aigle, et depuis novembre 2015 conseiller national. Il fallait donc le coller à l'éducation, le faire coacher par l'inexperte Romaine Morard, et filer les finances à Valérie Dittli, totalement inexpérimentée, alors que de sombres nuages économiques s'accumulent.

Le Canton de Vaud a les impôts parmi les plus hauts de Suisse et d'Europe et les prestations sociales qui vont avec. Le gouvernement, après le décès du dernier UDC, a viré au rouge durant dix ans, il s'est endetté avec une politique de gauche, et à côté des élues socialistes, un homme écologiste des Vert·e·s vient d'enrichir la collection.

Valérie Dittli, la jeune élue du Centre suisse-allemande, victorieuse grâce à l'alliance avec l'UDC, sans aucune expérience de vie, a annoncé la couleur:  elle va défendre la marotte de sa génération, la cause écologique, (avec le nouveau ministre Vert), d'autant plus que son papa est un cultivateur bio.

Officiellement, la RTS résume ainsi le remaniement:

"Le plan climat fera l'objet d'une co-présidence entre Christelle Luisier et Vassilis Venizelos.
La nouvelle présidente du gouvernement vaudois se réjouit de cette collaboration gauche-droite. "Pour aborder les thèmes climatiques et écologiques, il faut dépasser les clivages partisans. On a besoin de tous les partis pour avancer", poursuit-t-elle.

A terme et après sa fusion avec le Bureau de la durabilité, la nouvelle entité redéfinie fera l'objet d'un rattachement au département en charge de l'agriculture, précise le communiqué du gouvernement."

Dans ce concours à l'incompétence, il ne manquait plus qu'une apparatchik de la RTS, le premier parti de Suisse, vienne aide Borloz à accomplir "le virage à droite" de l'instruction publique!

Mais après tout, la RTS au gouvernement, c'est assez légitime. La Suisse n'a-t-elle pas rejeté en 2018 l'initiative No Billag par 71,6% des voix et la totalité des cantons ? Déjà à l'époque, la RTS était le premier parti de la Suisse.

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